gagner ses éperons
1éperon — [ ep(ə)rɔ̃ ] n. m. • esperon 1080; frq. °sporo 1 ♦ Pièce de métal, composée de deux branches, fixée au talon du cavalier et terminée par une roue à pointes (⇒ molette), ou par une tige acérée pour piquer les flancs du cheval. Faire sonner ses… …
2éperon — (é pe ron) s. m. 1° Petite branche de métal qui s adapte aux talons, et est armée à l extrémité d une espèce de roue en étoile dont les pointes servent à exciter le cheval. Anciennement. Chausser les éperons, faire chevalier ; locution qui… …
3Technologie médiévale — Traduction à relire Medieval technology → …
4ÉPERON — s. m. Petite branche de fer ou d autre métal, qui s adapte aux talons, et à l extrémité de laquelle joue une espèce d étoile appelée Molette, dont les pointes servent à piquer le cheval afin qu il aille plus vite. Éperon doré. Éperon d argent.… …
5ÉPERON — n. m. Petite branche de fer ou d’autre métal, qui s’adapte aux talons, dont la pointe ou les pointes servent à piquer le cheval afin de modifier son mouvement. Branche d’éperon. Molette d’éperon. Ce cheval est tendre, est sensible à l’éperon. Dur …
6Sporen — Sich die Sporen verdienen: sich durch eine besondere Tat oder große Leistung im Kampf auszeichnen, um Aufnahme in die Ritterschaft zu erlangen. In übertragener Bedeutung heißt die Redensart viel allgemeiner: sich durch Geschicklichkeit oder große …
7Bataille de Crécy — Pour les articles homonymes, voir Crécy. 50° 15′ 25″ N 1° 54′ 14″ E …
8Le Pèlerinage de Childe Harold — Childe Harold Pilgrimage Couverture d une édition de 1825 du Pèlerinage de Childe Harold Au …
9ÉPÉE — Arme blanche individuelle, l’épée accompagne souvent le guerrier barbare dans sa tombe. Childéric Ier, père de Clovis (mort en 481/482), fut inhumé avec une épée à poignée d’or enrichie de grenats (des débris au cabinet des médailles de la… …
10Attaque d'Anvers — Pour les articles homonymes, voir Siège d Anvers. Attaque d Anvers (1583) Carte des Flandes, 1609. Anvers dans le coin supérieur gauche …
