Villiers-Saint-Benoît

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Villiers-Saint-Benoît
Villiers-Saint-Benoît
L'église.
Blason de Villiers-Saint-Benoît
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Auxerre
Intercommunalité Communauté de communes de Puisaye-Forterre
Maire
Mandat
Patrick Büttner
2020-2026
Code postal 89130
Code commune 89472
Démographie
Gentilé Villerois
Population
municipale
438 hab. (2021 en diminution de 15,93 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 46′ 57″ nord, 3° 12′ 42″ est
Altitude Min. 167 m
Max. 247 m
Superficie 34,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Auxerre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cœur de Puisaye
Législatives Première circonscription
Localisation
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Villiers-Saint-Benoît
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Villiers-Saint-Benoît
Liens
Site web www.villiers-saint-benoit.fr

Villiers-Saint-Benoît est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est située en Puisaye dans la vallée de l'Ouanne, sur la RD 950 de Charny à Toucy.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de Villiers-Saint-Benoît est arrosé par trois cours d'eau et comprend cinq étangs de plus de 0,5 ha. Il inclut également une rivière souterraine et son affluent, avec leur confluence souterraine accessible (en approche spéléologique).

L'Ouanne arrose Villiers-Saint-Benoît en traversant la commune dans la plus petite largeur de cette dernière, soit 3,8 km de cours d'eau. Si l'on rajoute les multiples bras, biefs et autres canaux nombreux aux alentours de Villiers, la longueur totale de l'Ouanne passant sur la commune est d'environ 6 km.

Le ru de Riot, affluent de l'Ouanne venant de la commune de Dracy, entre sur Villiers-Saint-Benoît près des Pommiers Doux au sud du bourg et y coule sur 2 km avant de se jeter dans l'Ouanne à Villiers-Saint-Benoît.

Le Vrin prend source dans un étang d'environ 2 ha situé à l'est de la commune, partagé avec la commune de Merry-la-Vallée qui en a 40 ares (le Vrin lui-même s'écoule sur Merry-la-Vallée). Un autre étang de 1,5 ha se trouve à 400 m au nord-ouest de ce premier étang.

Un affluent du Vrin prend source dans le bois Brûlé dans l'est de la commune (forêt de Merry-Vaux, sur la D 22 vers Merry-la-Vallée), et coule sur le territoire de Villiers-Saint-Benoît pendant 2,9 km avant de passer sur celui de Saint-Aubin-Châteauneuf. Il alimente deux étangs sur Villiers-Saint-Benoît : l'étang de la Ragonnière (environ 80 ares) et l'étang des Moineries (environ 1,6 ha).

L'étang de la Rainerie, en limite de communes avec Sommecaise au nord, fait environ 1/2 ha[1].

La rivière souterraine des Usages coule sous la commune, avec un puits d'accès de 37 m de profondeur aux Petits Usages vers Tannerre[2], au fond duquel coule un petit affluent de 110 m de longueur accessible — en approche spéléologique. La rivière elle-même est accessible sur 404 m, toujours en approche spéléologique, sur plus de 25 m estimés[3]. Une de ses particularités est la possibilité d'accéder à la confluence d'une rivière souterraine avec l'un de ses affluents[4], ici à 80 m en aval du puits indiqué.


Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Les lieux-dits suivis d'une astérisque sont situés à l'écart de la route indiquée.

B

  • La Belle Idée*, Rte de Toucy (D 950)
  • Les Bergers*, Rte de Tannerre (D 132)
  • Les Bindeux*, Rte de Tannerre (D 132)
  • Le Bréau, château Rte de Toucy (D 950)
  • Buisson Seigneur*, Rte de Tannerre (D 132)
  • Le Buisson Saint-Vrain, Rte de Tannerre (D 132)

C

D

F

  • Le Fourneau Boulat*, Rte de Toucy (D 950)

G

H

  • La Haie*, Rte de Toucy (D 950)
  • Heurtebise du Bas, Rte de Heurtebise

L

O

P

  • Les Patouillats*, Rte de Toucy (D 950)
  • Les Petits*, Rte de Toucy (D 950)
  • La Plesse, Rte de Tannerre (D 132)
  • Les Pommiers Doux, Rte de Mézilles (D 99)

R

  • La Ragonnière*, Rte de Tannerre (D 132)
  • Les Ragons*, Rte de Tannerre par la D 22
  • La Rainerie*, Rte de
  • Les Rognotteries, Rte de Mézilles (D 99)
  • La Petite Ronce*, Rte de Toucy (D 950)

S

T

U

  • Les Usages, Rte de Tannerre par la D 22
  • Les Petits Usages, Rte de Tannerre par la D 22

V

  • Vauverlin, Rte de Mézilles (D 99)
  • Villot*, Rte de Heurtebise
  • La Villotte*, Rte de Toucy (D 950)

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 763 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Grandchamp_sapc », sur la commune de Charny Orée de Puisaye à 14 km à vol d'oiseau[7], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 758,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Villiers-Saint-Benoît est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auxerre, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 104 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58 %), terres arables (32,7 %), prairies (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), zones urbanisées (0,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

En 2014, le nombre total de logements dans la commune était de 384 (dont 95,8 % de maisons et 3,4 % d’appartements).

Parmi ces logements, 60,5 % étaient des résidences principales, 29,1 % des résidences secondaires et 10,5 % des logements vacants.

La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 74,3 % contre 21,3 % de locataires. La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 3,5 % [18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

D'après une étude menée par André Bourgeois, instituteur et écrivain du village, « le nom viendrait du latin villici qui signifie fermiers. En 975, Villiers ajouta à son nom celui de Saint-Benoît, lorsque les moines de Saint-Benoît-sur-Loire devinrent propriétaires du sol » et ce jusqu'à la Révolution française de 1789. Villaris est citée en 975 (Gallia Christiana, VIII, paroisse du diocèse d'Orléans, cal 485). En 1170, le lieu est enregistré sous le vocable Sancti Benedicti Villa (cartulaire général de l'Yonne, II, 213). Saint Benoît s'identifie à Benoît de Nursie (480-550). Dr. Irali Jean-Pierre, ethnologue.

Au cours de la Révolution française, la commune fut provisoirement renommée Villiers-sur-Ouanne[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Son activité métallurgique très importante dans l'Antiquité a laissé des traces dans le paysage : le principal ferrier de Villiers-Saint-Benoît, avec celui de Dracy, Toucy et particulièrement Tannerre[20], sont les plus grands de la Puisaye[21],[22] - le ferrier antique de Tannerre-en-Puisaye étant un des plus grands d'Europe. Le lieu-dit le Haut Ferrier se trouve dans le massif boisé au nord de la commune. La rue des Ferriers est à 50 m à l'est de l'église.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1882 1904 Achille Bénard    
1904 1906 Émile Gallet    
1906 1912 Georges Moreau    
1912 1922 Arsène Guillard    
1922 1925 Sosthème Heudebert    
1925 1938 Gustave Picot    
1938 1944 Méry Millot    
2008 mars 2014 François Dugay    
mars 2014 En cours
(au 30 avril 2014)
Patrick Buttner    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 438 habitants[Note 4], en diminution de 15,93 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8768818456468309199611 050993
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9691 0421 0359821 0051 0031 020980977
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
921919898738777710666614593
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
551521527434430429498518511
2018 2021 - - - - - - -
454438-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Le nombre de ménages fiscaux en 2013 était de 209 représentant 458 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 18 932 [18].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2014, le nombre total d’emploi dans la zone était de 65, occupant 187 actifs résidants (salariés et non salariés) .

Le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 74,3 % contre un taux de chômage (au sens du recensement) de 15,2 %. Les inactifs se répartissent de la façon suivante : étudiants et stagiaires non rémunérés 6,5 %, retraités ou préretraités 10,3 %, autres inactifs 8,9 %[18].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2015, le nombre d’établissements actifs était de 33 dont cinq dans l’agriculture-sylviculture-pêche, quatre dans l'industrie, neuf dans la construction, dix dans le commerce-transports-services divers et cinq étaient relatifs au secteur administratif.

Cette même année, 1 entreprise a été créée[18].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Villiers-Saint-Benoît a été labellisée Cité de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté en 2018.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église paroissiale[modifier | modifier le code]

Église Saint-Benoît,
façade ouest.

L'église Saint-Benoît a été construite sur l'emplacement d'une chapelle mi-carolingienne, mi-romane du Xe siècle. Elle date essentiellement du XIIIe siècle[27].

Elle est ornée d'un certain nombre de fresques de la fin du XVe ou du début du XVIe siècle, classées Monuments historiques le [28],[29].

Église Saint-Loup de la Villotte[modifier | modifier le code]

Musée[modifier | modifier le code]

Le Musée d'art et d'histoire de Puisaye est installé dans une demeure bourgeoise reliée à une extension moderne. Ses collections permanentes sont organisées selon les axes suivants :

Histoire de la faïence et du grès de Puisaye aux XVIIIe et XIXe siècles ;
Créations céramiques contemporaines ;
Reconstitutions : cuisine bourgeoise poyaudine, cabinet d'érudit du XIXe siècle ;
Sculptures du XIIe au XVIe siècle.

Le musée propose également des expositions temporaires et des animations.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La commune inclut trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :

  • ZNIEFF des étangs, prairies et forêts du Gâtinais sud oriental[30],[31]. L'habitat particulièrement visé par cette ZNIEFF est fait d'eaux douces stagnantes ; les autres habitats inclus dans la zone sont des eaux courantes, des prairies humides et mégaphorbiaies, et des bois ;
  • ZNIEFF de la vallée de l'Ouanne de Toucy à Douchy[32]. Cette ZNIEFF vise particulièrement les habitats d'eaux courantes, mais on y trouve aussi des tourbières et marais, des prairies améliorées, des cultures et des bocages ;
  • ZNIEFF de la prairie de fauche en vallée de Maurepas et bois voisin de la Faïencerie, soit 183 ha de prairies améliorées et de cultures, comprenant aussi des eaux courantes, des prairies humides et mégaphorbiaies, du bocage et des bois. Cette ZNIEFF s'étend sur les communes de Dracy, Merry-la-Vallée, Toucy et Villiers-Saint-Benoit[33].

Train touristique[modifier | modifier le code]

Gare de Villiers-Saint-Benoît et le train touristique.

Le Train Touristique de Puisaye-Forterre relie Villiers-Saint-Benoit au Four à poterie de Moutiers-la-Bâtisse (près de Moutiers-en-Puisaye) en passant par Toucy, sur l'ancienne ligne SNCF déclassée. Il partage son parcours avec le plus long cyclorail de France[34], le vélorail de Puisaye[35].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Paul Émile Huillard (1875-1966), architecte-décorateur, fondateur du Musée d'art régional de Villiers-Saint-Benoît
  • Augustin Boyer (1821-1896), auteur et associé de l'éditeur Pierre Larousse.
  • Georges Moreau, codirecteur de la Librairie Larousse.
  • Mort Shuman (1938-1991), chanteur, a épousé Élisabeth Moreau à Villiers-Saint-Benoit le .

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Villiers-Saint-Benoît Blason
D'argent au pairle de gueules, à une crosse d'or brochante ; sur le tout, d'azur à une crosse d'or, accosté de deux bosquets au naturel brochant partiellement sur l'écusson[36].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Géoportail - Institut Géographique National (France), « Géoportail » (consulté le ).
  2. « Puits d'accès à l'affluent de la rivière des Usages aux Petits Usages, Villiers-Saint-Benoit » sur Géoportail..
  3. Rivière souterraine des Usages, fiche du spéléo-club de Chablis.
  4. Usages (rivière souterraine des), Fiche d'inventaire du spéléo-club de Chablis. N° d'Inventaire : 89472-0001. N° de fiche : 385. Disponible auprès du club.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Villiers-Saint-Benoît et Charny Orée de Puisaye », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Grandchamp_sapc », sur la commune de Charny Orée de Puisaye - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Grandchamp_sapc », sur la commune de Charny Orée de Puisaye - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Auxerre », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. a b c et d Statistiques officielles de l’INSEE.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Villiers-Saint-Benoît », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  20. l'association du ferrier de Tannerre.
  21. Aperçu historique sur l'exploitation des métaux dans la Gaule. A. Daubrée. p. 306.
  22. La Puisaye au temps des ferriers, François-Pierre Chapat, 1981. Page 52.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Église Saint-Benoît », notice no PA89000013, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Église Saint-Benoît, Dit des trois morts et des trois vifs sur catholique-sens-auxerre.cef.fr.
  29. Église Saint-Benoît, ses peintures murales sur le site Réseau des Peintures Murales de Puisaye-Forterre. Fin 2014, cette association compte 15 sites : Bléneau, La Ferté-Loupière, Lindry, Louesme, Mézilles, Moutiers, Parly, Perreuse, Pourrain, Ronchères, Saint-Amand, Saint-Fargeau, Saints, Villeneuve-les-Genêts, Villiers-Saint-Benoît.
  30. ZNIEFF 260014900 - Étangs, prairies et forêts du Gâtinais sud oriental sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  31. La ZNIEFF des étangs, prairies et forêts du Gâtinais sud oriental rassemble plusieurs sites de mêmes caractéristiques, et nombre de ces sites s'étendent sur des parties de plusieurs communes. Les communes concernées par cette ZNIEFF sont : Aillant-sur-Tholon, Béon, Charny, Chassy, Chevillon, Cudot, Dracy, La Ferté-Loupière, Grandchamp, Merry-la-Vallée, Les Ormes, Parly, Perreux, Précy-sur-Vrin, Prunoy, Saint-Aubin-Château-Neuf, Saint-Denis-sur-Ouanne, Saint-Martin-sur-Ocre, Saint-Romain-le-Preux, Senan, Sépeaux, Sommecaise, Toucy, Villefranche, Villiers-Saint-Benoît, Villiers-sur-Tholon et Volgré.
  32. ZNIEFF 260014921 - Vallée de l'Ouanne de Toucy à Douchy sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN.. Les communes concernées par cette ZNIEFF sont : Charny, Grandchamp, Malicorne, Saint-Denis-sur-Ouanne, Saint-Martin-sur-Ouanne, Villiers-Saint-Benoît.
  33. ZNIEFF 260008535 - Prairie de fauche en vallée de Maurepas et bois voisin de la Faïencerie sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  34. Cyclorail de Puisaye-Forterre.
  35. « Le Vélorail de Puisaye »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur cyclorail.com.
  36. « 89472 Villiers-Saint-Benoît (Yonne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).