Villa de l'Astrolabe
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 15e arrt Villa de l'Astrolabe
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| Situation | |||
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| Arrondissement | 15e | ||
| Quartier | Necker | ||
| Début | 119, rue de Vaugirard | ||
| Fin | 17, villa du Mont-Tonnerre | ||
| Morphologie | |||
| Longueur | 110 m | ||
| Largeur | 10 m | ||
| Historique | |||
| Création | Vers 1824 | ||
| Dénomination | |||
| Ancien nom | Impasse Béranger Impasse de l'Astrolabe Rue de l'Astrolabe |
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| Géocodification | |||
| Ville de Paris | 0479 | ||
| DGI | 0507 | ||
| Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 15e arrondissement de Paris
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 Images sur Wikimedia Commons |
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La villa de l'Astrolabe est une voie située dans le quartier Necker du 15e arrondissement de Paris, en France.
Situation et accès[modifier | modifier le code]
Elle débute 119, rue de Vaugirard et se termine 17, villa du Mont-Tonnerre.
Avec la villa du Mont-Tonnerre, la villa de l'Astrolabe forme une boucle qui commence et finit rue de Vaugirard.
Origine du nom[modifier | modifier le code]
Elle a été nommée en souvenir du navire L'Astrolabe de Jean-François de La Pérouse utilisé lors de son voyage de circumnavigation.
Historique[modifier | modifier le code]
Ancienne « impasse Béranger » ouverte vers 1824, devenue « impasse de l'Astrolabe » puis « rue de l'Astrolabe », cette voie prend son appellation « villa de l'Astrolabe » par arrêté municipal du .
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]
- Le no 1 villa de l'Astrolabe possède également les adresses 117 et 119 rue de Vaugirard[1], l'immeuble ayant sa façade principale sur la rue. C'était avant guerre là qu'habitait Élisabeth Roserot de Meslin. Durant l'Occupation, son appartement servait de boite aux lettres au réseau Cohors de Jean Cavaillès[2]. Différents agents du réseau sonnaient chez la vieille dame pour lui remettre leurs rapports, qu'ensuite elle remettait rassemblés dans les mains d'un agent de liaison. Quelques réunions de la direction du réseau s'y sont tenues jusqu'à ce qu'en , le Sicherheitsdienst opère une perquisition[3].
- Dans les années 1950, l'école Fleuri-Delaporte avait ses locaux dans la villa.
- au no 11, petit atelier d'artistes[4].
- au no 12 habita de 1861 à 1871 Nathalie Lemel, animatrice de l'Union des femmes pendant la Commune de Paris.
Références[modifier | modifier le code]
- Cadastre, cité in « 1 villa de l'Astrolabe 75015 Paris », Bercail.com, Paris, [s.d.
- Anne Thoraval, Les Lieux de la Résistance à Paris, p. 85, Parigramme, Paris, 2007 (ISBN 978-2840964315).
- P. Y. Canu, « Jean Cavaillès : intellectuel, résistant, combattant », p. 8, Maison des Sciences de l'homme, Nancy, 7 mai 2010.
- « Les ateliers de Montparnasse », sur ArcGIS StoryMaps, (consulté le )
