Usson-en-Forez

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Usson-en-Forez
Usson-en-Forez
Vue générale du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Montbrison
Intercommunalité Loire Forez Agglomération
Maire
Mandat
Hervé Béal
2020-2026
Code postal 42550
Code commune 42318
Démographie
Gentilé Ussonnais, Ussonnaises
Population
municipale
1 474 hab. (2021 en diminution de 1,73 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 23′ 27″ nord, 3° 56′ 32″ est
Altitude Min. 767 m
Max. 1 137 m
Superficie 47,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-Saint-Rambert
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Usson-en-Forez
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Usson-en-Forez
Géolocalisation sur la carte : Loire
Voir sur la carte topographique de la Loire
Usson-en-Forez
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Usson-en-Forez
Liens
Site web usson-en-forez.fr

Usson-en-Forez est une commune française située dans le département de la Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes, et faisant partie de Loire Forez Agglomération.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Comme son nom l'indique, Usson fait partie du Forez[1].

Usson-en-Forez est une commune située dans le département du Loire et de la région Auvergne Rhône-Alpes.

La commune est 42 km au sud-ouest de sa sous-préfecture Montbrison[2] et à 51 km à l'ouest de sa préfecture Saint-Étienne[3].

Usson se trouve aux limites du Velay, du Forez et de l'Auvergne.

Située sur un plateau montagneux, la commune bénéficie d'un micro-climat ensoleillé[réf. nécessaire]. Usson-en-Forez compte 55 hameaux[1].

La commune fait partie de la Communauté de communes du Pays de Saint Bonnet le Château.

Les 1 441 habitants du village de Usson-en-Forez vivent sur une superficie totale de 47 km2 avec une densité de 31 habitants par km2 et une moyenne d’altitude de 920 m.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Localisation du village et des communes aux alentours.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Usson-en-Forez compte 55 hameaux[1].

La superficie de la commune est de 47,24 km2. Elle dispose d'une densité de 31 hab./km2.

Son altitude varie de 767 à 1 137 mètres[4]. Son altitude moyenne est de 920 m.

Le hameau Le Poyet est le plus élevé. Le point culminant de la commune est à 1 137 m sur le contrefort du Jametton[1].

Les gares les plus proches de Usson-en-Forez se trouvent à Saint-Romain-le-Puy (23km), Vorey (23 km), Retournac (22 km), Beauzac (21 km) et Chamalières-sur-Loire (20 km).

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par le Chandieu.

L'Ance coule sur la limite de la commune et le département de la Haute-Loire.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 855 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tiranges », sur la commune de Tiranges à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 758,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Usson-en-Forez est une commune rurale ; elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

En 2020, la commune comportait 1 188 logements dont 59,3 % sont des résidences principales, 28,6 % des résidences secondaires et logements occasionnels et 12,1 % des logements vacants[16].

83,9 % sont des maisons et 16 % des appartements[16].

Parmi les résidences principales, 74,9 % sont occupées par des propriétaires[16].

Au , la commune ne dispose d'aucun hôtels mais dispose de deux campings[16] et neuf gites[17].

La commune dispose de 172 voies et 1 154 numéros répertoriés[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Icidmagus (lire *Icio-) au IVe siècle[19].

Il remonte à un type toponymique gaulois Icio-mago[20], le second élément étant bien identifié, à savoir le gaulois magos « champ, marché » (cf. vieil irlandais mag, génitif maige « plaine, terrain découvert, champ »)[21],[22]. Il a parfois abouti à la terminaison -on dans la toponymie française, aussi bien au nord qu'au sud (cf. certains Argenton).

En revanche, la nature du premier élément Icio- pose davantage problème. On peut y voir un anthroponyme gaulois Iccius[21], que l'on retrouve dans le type toponymique *Icciacum (combiné au suffixe de localisation et de propriété -acum, d'origine gauloise) qui a donné les Issy, Issac, etc. ou encore un appellatif ico-, dont le sens est hypothétique, peut-être un nom d'oiseau proche parent du latin pīcus, pīca « pivert, pie »[23], on le rapproche alors du nom de personne Icovici, qui serait formé sur le même modèle que Brannovices sur branno- « corbeau »[23], à moins d'y voir un icos « pointe, pic, montagne »[23].

Le village fait partie de l'aire d'influence de l'occitan et y est appelé Usson de Forés.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Usson succède à un ancien site gallo-romain Iciomago. Des routes d'époque romaine sont d'ailleurs encore présentes sur la commune. La ville est citée sur la table de Peutinger sur la voie Bolène reliant Aquis Segete (Moingt) et Reuessione (Ruessio, Saint-Paulien). La voie a été signalée à Chalenconnet, 3,9 km au nord du bourg. Elle passait ensuite au hameau de la Boulaine à 3 km au nord-est d'Usson[24] Une borne milliaire portant le nom de l'empereur Maximin (235-238)[25] a été trouvée au hameau de Grangeneuve à 500 m au nord d'Usson, ainsi que des monnaies de Trajan, Néron, Domitien[26]… Elle est plus ou moins visible à Jouanzecq (3 km au sud-ouest du bourg), après quoi elle descend la pente raide de la vallée de l'Ance et sort de la commune en traversant cette rivière aux abords de Pontempeyrat[27],[1]. Le « GR 765 ouest » recoupe souvent son trajet sur la commune[1]. Une borne milliaire a été trouvée sur Usson-en-Forez, qui était utilisée pour soutenir une galerie ; mais il semble qu'elle a été perdue, avant 1858[28]. Son inscription cite l'empereur Maximin (25-28) et, plus précisément, son proconsulat ; ce qui date la borne de l'an 236 au plus tard[29]. Cette inscription indique aussi qu'elle marque le quatorzième milliaire et qu'elle a été installée en remplacement d'une borne détruite par vétusté[30].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, un seigneur local avait construit un château dont il reste aujourd'hui des portions de fortification. Le château est cité dans le cartulaire de Chamalières, entre 954 et 981 et devait appartenir à la famille des Baffie. Plusieurs tours sont encore dressées. L'une d'entre elles est comprise dans l'enceinte de l'écomusée du Forez[31].

Un des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle passe par Usson, en descendant de Montarcher. À l'âge d'or du monastère de la Chaise Dieu, des moines Casadéens étaient fixés à Usson sur le site de l'église de Chambriac.

Au XIIIe siècle, le seigneur d'Usson appartenait à la famille de Rochebaron, puis à la famille de La Roue. Elle est pillée en 1361 par un seigneur de Polignac, probablement Armand IX. De nouveau attaquée vers 1380, le château et l'église Saint-Barthélemy sont saccagés. La paroisse dépendait au spirituel du diocèse du Puy-en-Velay et la ville possédait deux églises : Saint-Barthélemy, dite église majeure en 1347, et Saint-Symphorien.

Période moderne[modifier | modifier le code]

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? 1943 Daniel Col   révoqué par le Gouvernement de Vichy[32]
1959 1971 Daniel Col   commerçant
1971 1977 Maurice Aubert   hôtelier
1977 1989 Jean Picard   pâtissier
1989 1997 Guy Rival   restaurateur
1997 2001 Jean Picard   pâtissier
mars 2001 2008 Jeanine Crozet   fonctionnaire PTT
mars 2008 En cours Hervé Béal[33]   expert comptable

Usson-en-Forez faisait partie de la communauté de communes du Pays de Saint-Bonnet-le-Château de 1996 à 2016, puis a intégré Loire Forez Agglomération.

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants et habitantes de la commune de Usson-en-Forez sont appelés les Ussonnais et les Ussonnaises.L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2021, la commune comptait 1 474 habitants[Note 2], en diminution de 1,73 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 0003 5783 5062 8733 8003 7693 7883 7803 736
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 5613 4703 4593 2723 3413 1883 2263 1493 166
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 9292 7962 8782 5072 4062 2012 2392 1031 922
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 8201 6981 4561 3421 2651 2321 3911 4101 466
2015 2020 2021 - - - - - -
1 5001 4901 474------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Scieurs de long du Forez vers 1900
Scieurs de long du Forez vers 1900.

L'histoire économique du village a été marquée comme ailleurs dans la région, par l'agriculture, l'élevage et la sylviculture, mais aussi par la production de poix. Des fours à poix jalonnent la commune, en particulier en bordure de forêts. Cette poix était utilisée pour l'étanchéification des rambertes, barques en bois qui descendaient la Loire.

Venus des monts du Forez, les scieurs de long partaient à la scie de la Saint-Michel à la Saint-Jean vers des climats plus méridionaux. La montagne de Lure, suivie du mont Ventoux fut un de leurs lieux de prédilection. Organisés en brigades, venant du même village et souvent parents, ils apportaient leurs scies pour débiter les troncs des hêtres en planches. Même si quelques-uns avaient fait le voyage au cours du XVIIIe siècle, le gros de leur contingent vint travailler dans les forêts de Lure à partir du premier Empire, où à Saint-Étienne-les-Orgues la population passa de 700 habitants, en 1806, à 1 326, en 1836. Leurs carnets d'ouvriers, obligatoirement visés par les autorités, ont permis de connaître leurs noms et leurs lieux d'origine. Ils arrivaient de Saillant, Usson-en-Forez et Saint-Julien-Chapteuil. Ils se nommaient Allivot, Savinel, Courveille, Jouvet, Bouillon ou Faveral et leurs patronymes se retrouvent encore sur place quand ils ont fait souche. Installés, ils devenaient marchands de bois ou de vin[38].

À partir de 1873, l'économie d'Usson a connu un essor important après la construction du chemin de fer qui reliait directement la commune à Saint-Étienne. Cette voie est aujourd'hui interrompue. Seul subsiste un train touristique entre Estivareilles et Sembadel.

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune d'Usson-en-Forez dispose d'une école primaire publique. [1]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Un lavoir en pierre situé au hameau de Daniecq.
  • Aurelle
  • la Borie
  • le Besset-Bas
  • le Besset-Haut
  • la Breure
  • la Breurette
  • Chalanconnet
  • Daniecq
  • Danizet
  • le Faveyrial
  • Fraisse la Côte
  • Fraisse Rival
  • Fromentier
  • la Garde-Montsagny
  • la Garde-Paradis
  • Grangevieille
  • Grangeneuve
  • Jouanzecq
  • Lair
  • Lissac
  • Mons
  • le Moulin-Rival
  • le Pin
  • Pontempeyrat
  • les fonds
  • Périgaud
  • Roche
  • Salayes
  • les Sucs
  • les Terrasses
  • le Trémolet
  • le Vernet
  • Teyssonnières
  • l'Hermet

Lieux notables[modifier | modifier le code]

L'église et la croix de mission construite en 1828.

La ville de Usson-en-Forez abrite deux monuments historiques (la Chapelle de Chambriac et l'église) et un musée (l'écomusée des Monts du Forez[39]).

La reconstruction a été entreprise par les moines de l'abbaye de la Chaise-Dieu. Au moment de sa construction, l'église ne comprenait qu'une seule nef orientée est-ouest sur laquelle s'ouvraient dix chapelles latérales. Ces chapelles étaient desservies par des confréries ou des congrégations ou appartenaient à des familles de notables dans lesquelles elles avaient leurs bancs et leurs sépultures. Le cimetière entourait l'église sur trois côtés. Le clocher a été construit en 1601.
En 1731, les deux chapelles proches du chœur et situées de part et d'autre — chapelle de la Vierge et chapelle Saint-Symphorien — sont agrandies pour former un transept. Quelques années plus tard, on ajouta à l'est à chacune de ses chapelles une sacristie.
L'augmentation de la population de la commune nécessita d'agrandir l'église en 1883. Le curé Dumas fit reporter vers l'extérieur les murs des chapelles pour créer de part et d'autre de la nef centrale des collatéraux plus large que le vaisseau central.
Le clocher est modifié en 1871 pour lui donner sa forme actuelle[42].
  • La chapelle Notre-Dame-de-Chambriac[43] qui date du XIIe siècle.
  • La chapelle Sainte-Reine au hameau de Lissac[44], qui contient une miniature originale sur les instruments de la Passion fabriquée en ivoire.
  • Des croix et des oratoires, dont les hameaux de la commune sont parsemés, à la croisée des chemins. Ces croix, en pierre ou en métal, sont très anciennes et caractéristiques de la région du Forez.
  • L'écomusée des Monts du Forez (anciennement musée rural[45]), est situé sur le site d'un ancien couvent, intégré dans les ruines du château, labellisé « musée de France » depuis 2002 et « jardin remarquable » depuis 2006. Entre 3000 et 10 000 visiteurs fréquentent chaque année ce musée[46]. C'est un chirurgien-dentiste, Alex Folléas, qui initia le musée avec le don de la collection initiale, qui compte actuellement 1 500 m2 de surface d'exposition et un jardin de curé[47].
  • La borne qui marque la frontière entre Forez, Auvergne et Velay.
  • Les fours à poix.
  • Un plan d'eau, à l'entrée du village, alimenté par les eaux du Chandieu. Cette retenue n'étant pas surveillée, la baignade est interdite mais un étang qui se situe quelques mètres en amont constitue un plan d'eau idéal pour baignade, pique-nique, partie de pétanque.
  • La ligne de chemin de fer touristique du Haut-Forez, qui franchit la rivière Ance par le viaduc de Pontempeyrat, reliant les communes d'Usson-en-Forez et de Craponne-sur-Arzon.
  • Cinéma « Le Quai des Arts »

Évènements[modifier | modifier le code]

Le festival de bandas Band'Ance a lieu alternativement sur les trois communes d'Usson-en-Forez, Saint-Pal-de-Chalencon et Craponne-sur-Arzon fin septembre.

La fête patronale a lieu fin août.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-Pierre Bravard (1811-1876), évêque de Coutances et Avranches de 1862 à 1876, est né à Usson.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Usson-en-Forez se blasonnent ainsi :
Écartelé : au 1er de gueules au dauphin d’or et au chef de gueules chargé d'une divise ondée cousue d’azur, aux 2e et 3e de sinople à la tour droite d’argent ouverte de sable, au 4e d’or au gonfanon de gueules frangé de sinople et au chef d'or chargé d’une divise ondée d’azur.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Gabrielle Trénard, Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine, tome VI, Jean-Claude Courveille, p. 134–135, sous la direction de Xavier de Montclos, éd. Beauchesnes, Paris, 1994 (ISBN 2701013054)

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f et g « Usson-en-Forez, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
  2. © les contributeurs d'OpenStreetMap, « Distance par la route entre Usson-en-Forez et Montbrison », OpenStreetMap (consulté le ).
  3. © les contributeurs d'OpenStreetMap, « Distance par la route entre Usson-en-Forez et Saint-Étienne », OpenStreetMap (consulté en ).
  4. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Usson-en-Forez et Tiranges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Tiranges », sur la commune de Tiranges - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Tiranges », sur la commune de Tiranges - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. a b c et d « Dossier complet − Commune d'Usson-en-Forez (42318) | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
  17. « Hébergements touristiques d'Usson-en-Forez (42) », sur www.usson-en-forez.fr (consulté le ).
  18. « Usson-en-Forez (42318) », sur adresse.data.gouv.fr (consulté le ).
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 691a.
  20. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise. Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, éditions Errance, (ISBN 2-87772-237-6), p. 186.
  21. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  22. Xavier Delamarre, op. cit., p. 213.
  23. a b et c Xavier Delamarre, op. cit., p. 187.
  24. [Faure 1997] Roger Faure, « En suivant la voie Bolène », Village de Forez, nos 71-72, supplément, 25 p.,‎ , p. 21 (lire en ligne [PDF] sur forezhistoire.free.fr, consulté en ).
  25. « Milliaire (Usson-en-Forez, rue du Stand) », notice no IA42000414, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. J.-E. Dufour, Dictionnaire topographique de la Loire, 1007-1008, Publications de l'université de Saint-Étienne, Saint-Étienne, 2006 (ISBN 978-2862724126).
  27. Faure 1997, p. 23.
  28. [Bernard 1859] Auguste Bernard, « Première lettre de A. Bernard à M. Guillien du 22 décembre 1858 », dans Supplément à la « Description du pays des Ségusiaves » (cette lettre donne de nombreux détails sur la « colonne milliaire » de Moingt et sur d'autres bornes milliaires des alentours), Paris, libr. Dumoulin, , 171 p. + supplément 61, sur books.google.fr (lire en ligne), p. 6 de cette lettre
    médaille d'or pour cet ouvrage au concours des Antiquités nationales de 1859 (voir vers la fin du livre, entre les deux "Suppléments").
  29. [Maret 1858] Alain Maret, « La colonne milliaire d'Usson en Forez », Revue du Lyonnais, t. 17,‎ , p. 317-320 (voir p. 318 pour la datation) (lire en ligne [sur books.google.fr], consulté en ).
  30. Maret 1858, p. 320.
  31. Voir le site de l'écomusée du Forez.
  32. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6490619t/f4.highres
  33. « USSON-EN-FOREZ », sur le site de l'association des maires de France (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Guy Barruol, André de Réparaz et Jean-Yves Royer, La Montagne de Lure, op. cit., p. 102.
  39. « Ecomusée des Monts du Forez », sur Ecomusée des Monts du Forez (consulté le ).
  40. Notice no IA42000263, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Église Saint-Symphorien.
  41. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  42. Documentation : panneau d'information à l'intérieur de l'église.
  43. Notice no IA42000401, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Chapelle ; couvent de filles, Notre-Dame de Chambriac.
  44. Notice no IA42000454, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : chapelle Sainte-Reine.
  45. Visiter l'écomusée d' Usson-en-Forez, Forez Infos, .
  46. Fréquentation sur la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture et de la Communication .
  47. Musée, Usson-en-Forez.