Unverre

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Unverre
Unverre
L'église Saint-Martin et le monument aux morts réalisé par Félix Charpentier.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Châteaudun
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Châteaudun
Maire
Mandat
Marie-Dominique Pinos
2020-2026
Code postal 28160
Code commune 28398
Démographie
Gentilé Unverrois(e)
Population
municipale
1 197 hab. (2021 en diminution de 2,13 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 12′ 01″ nord, 1° 05′ 39″ est
Altitude Min. 153 m
Max. 235 m
Superficie 62,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Brou
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brou
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Unverre
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Unverre
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Voir sur la carte topographique d'Eure-et-Loir
Unverre
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Unverre
Liens
Site web http://www.unverre.fr

Unverre est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune est très étendue (seconde du département, en superficie, après Arrou), avec une vaste surface agricole, et compte près de 180 fermes et hameaux. Le bourg est partagé en deux parties par la Sainte-Suzanne : Unverre, au nord, et les Moulins d'Unverre, au sud.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Unverre est arrosée par trois rivières : la Sainte-Suzanne, et son affluent en rive droite la Sonnette, et, plus au nord, la Mozanne. La Sainte-Suzanne et la Mozanne se rejoignent en aval d'Unverre pour former l'Ozanne.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 695 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Miermaigne à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 755,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Unverre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brou, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,2 %), prairies (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %), forêts (0,8 %), zones urbanisées (0,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Unverre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Sainte-Suzanne, l'Ozanne et la Sonnette. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995 et 1999[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Unverre.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[16]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 51,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 741 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 480 sont en aléa moyen ou fort, soit 65 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Inverria en 1128[20], Unveria en 1130[21], Unverrium en 1142[22], Unum vitrum en 1173[23], Ungverre en 1532[24], Unvers en 1676[25], Unguerre au Perche Gouet en 1678[26],[27].

Le dictionnaire géographique attribue à Unverre une origine mérovingienne (Ve siècle).

Selon Guy Villette, l'étymologie du nom serait gauloise : an(de) voberia, ce qui signifie « terre humide ». Unverre est un *Ande vara (« l'eau inférieure ») situé au confluent souvent inondé des deux Ozannes[28](Géoportail signale une autre source de l'Ozanne, au lieu-dit les Mézarbières)[29].

Unverre, unum vitrum au XIIe siècle, serait primitivement un vara gaulois, signifiant « lieu inondé »[30].

Histoire[modifier | modifier le code]

Pendant l'Ancien Régime, la commune fait partie de la baronnie de Brou (la Noble) qui constitue jusqu'à la Révolution française l'ancienne province du Perche-Gouët, avec les baronnies d'Alluyes (la Riche), d'Authon (la Gueuse), de La Bazoche (la Pouilleuse) et de Montmirail (la Superbe).

En 1793, elle est rattachée au district de Châteaudun[31].

De 1908 à 1933, Unverre est desservi par les tramways d'Eure-et-Loir qui exploitent la ligne Brou-Nogent-le-Rotrou. L'ancienne gare du tramway présente aujourd'hui une scène extérieure permettant d'accueillir des manifestations culturelles[32].

En 2004, Unverre héberge le siège de la communauté de communes du Perche-Gouët avant de rejoindre le la communauté de communes du Grand Châteaudun.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1813 1825 Charles-Adrien Le Chapellier de Grandmaison   Député d'Eure-et-Loir
1830 janvier 1856 Marin Louis Guinebert    
1856 1858 Charles Gabriel David de Thiais   Garde du corps du roi
1859 1862 Abel Astère Thierré    
1862 1865 Louis Alfred David de Thiais   Conseiller général[réf. nécessaire]
1865 1870 Victor Marchais    
1870 1871 Abel Astère Thierré    
1872 1874 Louis François Botineau    
1874 1876 François Charron    
1876 1881 Jean-Louis Lemarié    
1881 1885 Henry de Boissieu    
1885 1889 Jean-Louis Honoré Cochin    
1889 1893 François-Mathias Chevallier    
1893 1896 Louis Octave Théophile Guinebert    
1896 1899 Auguste Guillaume Colon    
1899 1900 François Chevallier    
1900 1904 Antoine François Marie Henri de Boissieu    
1904 1916 Jacques Ferdinand Galerne    
1916 1919 François Léon Chevallier    
1919 1925 Pierre Désiré Chevreau    
1925 1935 Jules Auguste Girard   Conseiller général[réf. nécessaire]
1935 janvier 1936 Auguste Félix Hallouin    
janvier 1936 1944 Louis Chambrier    
1944 1955 Alfred Lesieur    
5 avril 1955 23 mars 1959 Albert Jubert    
23 mars 1959 27 mars 1965 Bernard Hubert    
27 mars 1965 20 mars 1977 Abel Vallée    
20 mars 1977 mars 2001 André Hameau    
Mars 2001 28 mars 2014 Robert Weber    
28 mars 2014 Juillet 2020 Luc Bonvallet DVD Agriculteur
Juillet 2020 En cours Marie-Dominique Pinos    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 1 197 habitants[Note 3], en diminution de 2,13 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 3012 4072 3852 4092 4822 4292 4532 4782 442
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3642 3862 3842 3012 2942 1042 1522 1852 164
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1942 1042 1071 8741 8951 8421 8121 7271 565
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 5051 2941 2381 1091 0229771 1401 2571 204
2021 - - - - - - - -
1 197--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La fête de la Louée a lieu chaque année depuis 1991, le troisième dimanche de juin, sur la place de l'église, ainsi que dans le parc des Grand'Maisons. Elle a pour origine l'embauche des ouvriers agricoles qui, au début du XXe siècle, venaient deux fois par an (à la Saint-Jean pour les 4 mois d'été et à la Toussaint pour les 8 autres mois de l'année) "se louer" aux patrons sur la place du village. Un thème est choisi chaque année :

  • En 2014, "Du blé au pain"
  • En 2013, les voitures anciennes
  • En 2012, les abeilles
  • En 2011, les attelages de chevaux de course
  • En 2010, la fauconnerie
  • En 2009, "Il était une fois la libération"
  • En 2008, la chasse
  • En 2007, les pompiers
  • En 2006, les voitures anciennes
  • En 2005, le cheval Percheron
  • En 2004, les tracteurs anciens
  • En 2003, "Du labour aux semailles"
  • En 2002, le travail du bois
  • En 2001, la moisson "de la faucille à nos jours"
  • En 2000, les chiens de race
  • En 1999, le marché à l'ancienne
  • En 1998, la ferme, ses animaux et ses produits
  • En 1997, le mouton
  • En 1996, le travail du chanvre

La Saint-Jean a lieu le samedi suivant la fête de la Louée, avec un rallye pédestre suivi d'une soirée musicale et dansante et du feu de Saint-Jean à la nuit tombée.

Un concert est traditionnellement organisé à l'église chaque année le dernier samedi du mois d'avril. Des artistes aux styles et répertoires variés se sont succédé :

  • En 2014, orgue et bombarde par Florence Ladmirault et Jean Hauray
  • En 2013, Harmonie Municipale de Vendôme
  • En 2012, Orchestre d'Harmonie de Chartres
  • En 2011, trompes de chasse du Rallye Saint-Hubert de Chartres et chorale des Ménestrels du Perche
  • En 2010, gospels et negro spirituals par Rogers Esse
  • En 2009, harpe paraguayenne et chants des Amériques par Hugo Pamcos et Claudette Lagacé
  • En 2008, duo Iberia, composé d'une soprano accompagnée à la guitare

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martin[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin, des XIIe et XVIe siècles, est un édifice remarquable du village par son architecture et son riche mobilier : retable, maître-autel, fonts baptismaux, chemin de croix...

Elle se caractérise extérieurement par son porche à claire voie en colombages (caquetoire), son bas-côté nord de style gothique comprenant un alignement de cinq pignons avec gargouilles et son clocher à haute flèche couverte en ardoises.

L'église Saint-Martin abrite le mobilier suivant :

  • Les deux cloches de l'église, qui dataient de 1862, ont été remplacées au printemps 2010 ; les deux nouvelles, coulées par la fonderie Voegele de Strasbourg, conservent les mêmes prénoms, Marie-Louise et Constance-Élisabeth. La première a été bénite le par Mgr Michel Pansard, évêque de Chartres et la seconde, le par l'abbé Laurent Percerou, vicaire général.
  • Cinq verrières du XVIIe siècle (baies 1, 3, 5, 7 et 9) sont inscrites en tant que monument historique au titre d'objet en 1906 : l'Annonciation, la Charité de saint Martin, sainte Barbe, l'Adoration des bergers et d'anges, chanoine donateur, saint Denis et saint Étienne, l'Adoration des Mages et donatrice[36].
Deux vitraux sont signés des ateliers Lorin de Chartres, l'un est daté de 1894, l'autre de 190O.
  • Fonts baptismaux, bas-relief, baldaquin des fonts baptismaux du XVIIe siècle représentant le baptême du Christ, Logo monument historique Inscrit MH (1908)[37].

Édifices civils[modifier | modifier le code]

Monument aux morts[modifier | modifier le code]

Érigé sur la place de l'église, le monument aux morts de la guerre 1914-1918 a été réalisé par Félix Charpentier (1858-1924), sculpteur d'origine provençale installé à Chassant (Eure-et-Loir).

Château des Grand'Maisons[modifier | modifier le code]

Le château des Grand'Maisons, demeure du XVe siècle agrandie au XVIIe siècle, se situe au centre du village. Il jouxte un parc boisé, traversé par la rivière Sainte-Suzanne.

Il fut notamment la propriété de Charles-Adrien Le Chapellier de Grandmaison (1776-1851), personnalité politique du département d'Eure-et-Loir.

La Forçonnerie[modifier | modifier le code]

La Forçonnerie, moulin et ancienne forteresse des XIIIe et XVe siècles, qui défendait autrefois l'ancienne route royale allant de Chartres au Mans (connue sous le nom de chemin de César ou chemin Henri IV). Il subsiste aujourd'hui le logis seigneurial et les granges à colombages. Le pont-levis a disparu.

Manoir de la Camusière[modifier | modifier le code]

Manoir situé dans un parc boisé.

Musée-école[modifier | modifier le code]

Le musée-école, ouvert en 2003 dans les locaux d'une ancienne école du village, se situe derrière l'église. Il présente l'école rurale d'autrefois à travers la reconstitution d'une classe des années 1900 avec son mobilier, son matériel pédagogique, des registres depuis 1878, des photos de classes, cahiers, livres, témoignages écrits et audios. Il s'accompagne de diverses expositions sur la vie rurale (maison de l'écolier, histoire du grain de blé dans le Perche-Gouët, la lessive de nos grand-mères, les vêtements d'autrefois...).

Les moulins à eau[modifier | modifier le code]

Plusieurs anciens moulins à eau : La Boissière, Epassé, Ferchaud.

Parcs et jardins[modifier | modifier le code]

Promenade des Ponts-Neufs[modifier | modifier le code]

La promenade des Ponts-Neufs relie la place de l'église aux Moulins d'Unverre, longeant la propriété des Grand'Maisons et la rivière Sainte-Suzanne.

Sentier de randonnée pédestre[modifier | modifier le code]

L'un des sentiers de randonnée pédestre de la communauté de communes du Perche-Gouët part de la place de l'église d'Unverre. D'une longueur de 12 km, alternant petites routes et chemins ombragés, il prend d'abord la direction de Moulhard avant de continuer vers le nord de la commune puis de revenir vers le bourg en passant à proximité du moulin de la Forçonnerie.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Plaque commémorative de la naissance du professeur Félix Lejars
Plaque commémorative de la naissance du professeur Félix Lejars.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Unverre et Miermaigne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Miermaigne », sur la commune de Miermaigne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Miermaigne », sur la commune de Miermaigne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Unverre », sur Géorisques (consulté le )
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  15. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Unverre », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  19. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. Cartulaire de Thiron.
  21. Charte de l'abbaye de Saint-Jean-en-Vallée.
  22. Cartulaire de Saint-Denis de Nogent-le-Rotrou, fol. 3.
  23. Cartulaire du grand Beaulieu, p.72.
  24. Charte de la fabrique de la Madeleine de Brou.
  25. Charte de la fabrique de Mottereau.
  26. Charte de la seigneurie de la Chenardière.
  27. Lucien Merlet, Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Société archéologique d'Eure-et-Loir, , p. 183.
  28. Bernard Robreau, Histoire du pays dunois, vol. 1, , p. 58.
  29. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  30. Jacques Chaurand, Hommage à Guy Villette : quelques études toponymiques et historiques de Guy Villette présentées par Marianne Mulon et Gérard Taverdet, vol. 19-20, A.B.D.O., coll. « Nouvelle revue d'onomastique », , p. 255-258.
  31. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Marie Carillo, « La Guinguette connaît une vraie réussite », sur http://www.lechorepublicain.fr (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « 5 verrières figurées : l'Annonciation, la Charité de saint Martin, sainte Barbe, Adoration des bergers et d'anges (l'), chanoine donateur, saint Denis et saint Étienne, Adoration des Mages (l') et donatrice (baies 1, 3, 5, 7, 9) », notice no PM28000601, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  37. « Fonts baptismaux, bas-relief, baldaquin des fonts baptismaux : le Baptême du Christ. », notice no PM28000602, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  38. D'après une notice des moines de Marmoutier éditée par le Corpus Étampois.
  39. Journal "L'Action républicaine" du 13 août 1932 : "Le professeur Lejars est mort".
  40. http://gw1.geneanet.org/index.php3?b=figarl&lang=fr;p=antoine+francois+marie+henry;n=de+boissieu