Sancourt (Somme)

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Sancourt
Sancourt (Somme)
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité Communauté de communes de l'Est de la Somme
Maire
Mandat
Michel Martin
2020-2026
Code postal 80400
Code commune 80726
Démographie
Population
municipale
267 hab. (2021 en augmentation de 2,3 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 46′ 26″ nord, 3° 02′ 23″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 82 m
Superficie 7,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Ham
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Sancourt
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Sancourt
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Sancourt
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Sancourt

Sancourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Sancourt
Matigny Douilly
Offoy Sancourt Villers-Saint-Christophe
Eppeville Ham

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Germaine à Sancourt.

La commune, traversée par la Germaine, est limitée au sud-ouest par la Somme et le canal de la Somme.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 698 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 12 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ham, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

La commune a lancé l'aménagement en 2017 d'un lotissement de 18 lots, qui devrait permettre d'accueillir jusqu'à 50 nouveaux habitants[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,1 %), forêts (9,5 %), zones urbanisées (5 %), prairies (4,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 50, Péronne - Matigny - Ham)[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Suoncourt (1048) ; Villa Suencurtii (1107) ; Suencourt (1135) ; Sancourt (1125) ; Soencourt (1145) ; Souncort (11..) ; Suencort (1116) ; Suencurt (1153) ; Soencort (1145) ; Seoncourt (1214) ; Suennecourt (1219) ; Seaucourt (1290) ; Saucourt (xve siècle) ; Sencourt (1573) ; Cencourt (1638) ; Saulcourt (1801)[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale

La commune est située dans la zone des combats de la Première Guerre mondiale, elle est occupée par l'armée allemande et subit d'importantes dégradations[16].

Le château sert à une époque de quartier général du général Von Hutier, avant sa destruction par l'armée allemande[17], [18], [19], [20]

À la fin du conflit, le village est considéré comme détruit[21]. Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [22].

Seconde Guerre mondiale

Lors de la bataille de France, le 19 mai 1940, deux soldats du 140e RIA sont tués lors d'une patrouille[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

La commune fait partie depuis 1793 du canton de Ham[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune fait toujours partie, est modifié, passant passe de 19 à 67 communes.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie depuis 2002 de la communauté de communes du Pays Hamois, qui succédait au district de Ham, créé en 1960.

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[25], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le 30 mars 2016 prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[26].

La fusion intervient le et la nouvelle structure, dont la commune fait désormais partie, prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[27],[28].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1830 1880 M. Delacourt    
1880 1892 M. Delafalize    
1892 1913 J. Delorme    
1913 1924 Ch. Delorme    
1924 1925 M. Gauchy    
1925 1937 Elisée Delorme    
1937 1944 Henri Rose    
1945 1947 M. Wynands    
1947 1953 Yves Delorme    
1953 1971 M. Gambart    
1971 1995 Marius Désormeaux    
1995 2001 Pierre Dossin    
mars 2001 avril 2014 Bernard Demonchy[30],[31]   Salarié DDE
Vice-président de la CC du Pays Hamois (2008 → 2014)
Vice-président du syndicat d’assainissement (2008 → 2014)
avril 2014[32] juillet 2020[33] Christian Vilbert[34]   Tourneur en mécanique générale retraité
juillet 2020[35] En cours Michel Martin    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2021, la commune comptait 267 habitants[Note 3], en augmentation de 2,3 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
353402456402418452439437457
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
459475492468442423395374389
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
402370353196255241261272356
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
331294273310317279279279261
2017 2021 - - - - - - -
267267-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le syndicat intercommunal scolaire des 9 clochers (SISCO) regroupe en 2018 les élèves de Croix-Moligneaux, Douilly, Matigny, Offoy, Quivières, Sancourt, Ugny-l'Équipée, Voyennes et Y[39].

Économie[modifier | modifier le code]

En 2022, la commune héberge un des deux éleveurs de canards de la Somme qui en produit toute l'année. Un élevage de plusieurs milliers de poules est également associé[40].

Un distributeur automatique de pains frais a été installé par une boulangerie de Ham en . Il vend, à son installation, entre 60 et 70 baguettes par jour[41].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Médard[42] du XVIe siècle, restaurée après les dégradations de la Première Guerre mondiale et bénie à nouveau après ces travaux en 1926.
  • Le monument aux morts, en forme de colonne quadrangulaire surmontée d'un coq[43].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le sergent Germain et l'alpin Bonnavaud, du 140e RIA, tués au combat le [23].

La place du village a été renommée place Noël-Arnaud (1914-2006), sergent-chef du 140e R.I.A., survivant et mémoire de l'attaque du , par délibération du conseil municipal du [23]. Un monument commémoratif y a été érigé.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Sancourt Blason
D'argent fretté de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Laon [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Sancourt et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ham », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Justine Esteve, « Bientôt un lotissement de dix-huit maisons », Le Journal de Ham, nos 32/2017,‎ , p. 6.
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 301 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  16. Jean-Georges Achard, « Tableau : Ruines à Sancourt », Dessins et peintures de la Grande Guerre, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  17. Section photographique de l'armée, « Photo : Sancourt. Destructions systématiques par les Allemands : le château, (ancien quartier général du général Von Hutier) détruit à la mine », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 43, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  18. Section photographique de l'armée, « Photo : Sancourt. Destructions systématiques par les Allemands. Le château (ancien quartier général du général Von Hutier) détruit à la mine », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 43, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  19. Section photographique de l'armée, « Photo : Sancourt. Destructions systématiques par les Allemands ; le château (ancien quartier général du général Von Hutier) détruit à la mine », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 43, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  20. Section photographique de l'armée, « Photo : Sancourt. Au château (ancien quartier général du général Von Hutier). Caveau funéraire violé et pillé par les Allemands », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 43, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  21. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  22. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  23. a b et c « Voyage à Sancourt (Somme) », En veux-tu ? En voilà... - Bulletin de l'amicale du 140e R.I.A., no 68,‎ , p. 9 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  26. Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
  27. V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Imposée par l’État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
  28. « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50,‎ , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l’Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
  29. « Les maires de Sancourt », sur francegenweb.org (consulté le ).
  30. « Sancourt (80) L’ancien maire Bernard Demonchy n’est plus », Le Courrier picard,‎ (www.courrier-picard.fr/archive/recup%3A/region/sancourt-80-l-ancien-maire-bernard-demonchy-n-est-plus-ia201b0n366475, consulté le ) « L’ex-édile, originaire du Pas-de-Calais, avait été élu pour la première fois au conseil municipal en 1977. Cet ancien salarié de la DDE avait également occupé un mandat de vice-président chargé de l’urbanisme à la Communauté de communes du Pays hamois, entre 2008 et 2014 ».
  31. Marjorie Michaud, « L’hommage à Bernard Demonchy », Le Journal de Ham,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Toutes les écharpes ont trouvé preneur », Le Journal de Ham, nos 15/2014,‎ , p. 2 (ISSN 0755-1398).
  33. Justine Esteve, « Sancourt : Christian Vilbert s’arrête après 37 ans », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Christian Vilbert, ancien maire de Sancourt, est décédé mardi soir », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il aura été élu pendant 37 ans à Sancourt, village où il est né, avant de tirer sa révérence. Élu en 1983 comme conseiller municipal, il a ensuite occupé les postes d’adjoint puis de maire en 2014 ».
  35. « Michel Martin élu maire de Sancourt, en attendant la décision du tribunal administratif », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La préfecture, après vérification des bulletins, s’est aperçue qu’un bulletin pour un des colistiers de Xavier Delorme, légèrement découpé sur un coin, était en fait valable. La différence s’étant faite d’une voix, ce bulletin en sa faveur lui aurait probablement apporté la majorité et permis d’être élu ».
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « Syndicat intercommunal scolaire des 9 clochers (N° SIREN : 200039402) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur - DGCL, (consulté le ).
  40. Ludovic Lascombe, « Grippe aviaire : je me lève chaque matin dans l'angoisse que mes canards soient morts », Courrier picard,‎ , p. 7.
  41. Arnaud Brasseur, « Du pain à toutes heures », Le Journal de Ham, nos 21/2017,‎ , p. 9.
  42. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Sancourt, d'après nature, 18 octobre 1876 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  43. « Sancourt », Les monuments aux morts - France & Belgique, Université Lille-IIII (consulté le ).