Saint-Médard-d'Excideuil

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Saint-Medard-d'Excideuil)

Saint-Médard-d'Excideuil
Saint-Médard-d'Excideuil
Le village de Saint-Médard-d'Excideuil.
Blason de Saint-Médard-d'Excideuil
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord
Maire
Mandat
Éric Villemaine
2020-2026
Code postal 24160
Code commune 24463
Démographie
Population
municipale
544 hab. (2021 en augmentation de 3,03 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 20′ 24″ nord, 1° 04′ 19″ est
Altitude Min. 145 m
Max. 332 m
Superficie 18,35 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Excideuil
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Isle-Loue-Auvézère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Médard-d'Excideuil
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Médard-d'Excideuil
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Saint-Médard-d'Excideuil
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Médard-d'Excideuil
Liens
Site web www.st-medard-excideuil.fr

Saint-Médard-d'Excideuil est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

La commune est localement célèbre pour son usine Repetto[1], le célèbre confectionneur de chaussons de danse de la rue de la Paix à Paris.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Dans le nord-est du département de la Dordogne et du Périgord central, la commune de Saint-Médard-d'Excideuil est arrosée par la Loue et bordée au nord par son affluent, la Haute Loue.

Le bourg de Saint-Médard-d'Excideuil, implanté entre la route départementale (RD) 705 et la Loue, se situe, en distances orthodromiques, deux kilomètres à l'est d'Excideuil et sept kilomètres au sud-ouest de Lanouaille.

La commune est également desservie au sud par la RD 76 et à l'est par la RD 704.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Saint-Médard-d'Excideuil est limitrophe de huit autres communes, dont Cherveix-Cubas au sud, par un quadripoint. Son territoire est limitrophe de celui d'Anlhiac en deux endroits disjoints séparés par la commune de Preyssac-d'Excideuil : par un quadripoint à l'est, et sur environ trois kilomètres au sud-est. À l'ouest, le territoire de Saint-Martial-d'Albarède est distant d'environ 560 mètres.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Médard-d'Excideuil est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[2].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques. La formation la plus ancienne, notée δψ, fait partie de l'Unité supérieure des gneiss (USG) et est composée d'éclogites et amphibolites dérivées, en petits corps ou bancs minces (Cambrien à Silurien). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 735 - Thiviers » et « no 736 - Saint-Yrieix-la-Perche » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et leurs notices associées[5],[6].

Carte géologique de Saint-Médard-d'Excideuil.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 145 mètres[7] à l'ouest, près du lieu-dit la Tuilière, au niveau du pont de la route départementale 705, là où la Loue quitte la commune et entre sur celle d'Excideuil, et 332 mètres[7] à l'est, au lieu-dit Rezonzac, en bordure des communes d'Anlhiac, Preyssac-d'Excideuil et Lanouaille[8].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[10]. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[11],[12].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 18,35 km2[7],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,95 km2[4].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Loue, la Haute-Loue, le Pontillou, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 22 km de longueur totale[17],[Carte 1].

La Loue, d'une longueur totale de 50,87 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Saint-Yrieix-la-Perche et se jette dans l'Isle en rive gauche à Coulaures[18],[19]. Elle traverse la commune du nord-ouest au sud-ouest sur près de sept kilomètres, lui servant de limite naturelle sur 350 mètres, face à Lanouaille.

La Haute Loue (ou Coulon dans sa partie amont), d'une longueur totale de 18,6 km, prend sa source dans la commune de Payzac et se jette dans la Loue en rive gauche, en limite de Lanouaille et Saint-Médard-d'Excideuil[20],[21]. Elle borde le territoire communal au nord-est sur deux kilomètres et demi, face à Lanouaille.

Affluent de rive droite de la Loue, le ruisseau du Pontillou arrose l'ouest de la commune sur 1,2 km dont 850 mètres en limite d'Excideuil.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[22]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [23].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[24]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[25].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 966 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[26]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Thenon à 23 km à vol d'oiseau[27], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[28],[29]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[30].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Médard-d'Excideuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[31],[32],[33]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Excideuil, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[34] et 2 419 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[35],[36]. La commune est en outre hors attraction des villes[37],[38].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,2 %), forêts (31,1 %), prairies (13 %), terres arables (5,5 %), cultures permanentes (4,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,9 %), zones urbanisées (0,4 %)[39]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Outre le bourg de Saint-Médard-d'Excideuil proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[40] :

  • Beau
  • Bois du Caillou
  • Bois de la Garenne
  • le Bosquet
  • le Bourdeix
  • las Brandas
  • les Bruyères
  • la Cerise
  • le Chadeau
  • le Charreau
  • le Clos du Faure
  • la Croix Baumade
  • la Croix de l'Arbre
  • la Croix de Fayolle
  • Essendiéras
  • la Farge
  • Fayolle
  • les Fourches
  • la Gacherie
  • Gandumas
  • la Garenne
  • les Gissoux
  • le Grand Claud
  • le Grand Pré
  • la Guichardie
  • la Jarissade
  • la Jaurie
  • Lambertie
  • le Long
  • Maison Neuve
  • le Martinet
  • le Montanet
  • Moulin du Bouc
  • le Moulin des Fourches
  • Petit Brouillac
  • Petit Teillac
  • les Petites Terres
  • Pierregrelière
  • la Pigeonnière
  • le Plantier
  • Puy de Dôme
  • les Rivailles
  • les Roches
  • le Ruisseau
  • Tourenne
  • Tout Vent
  • la Tuilière
  • Vauzelle
  • la Vigerie.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Médard-d'Excideuil est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[41]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[42].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Loue et la Haute Loue. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2007 et 2008[43],[41].

Saint-Médard-d'Excideuil est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[44]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[45],[46].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Médard-d'Excideuil.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[48]. 27 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[49].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[41].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Médard-d'Excideuil est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[50].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune fait référence à saint Médard, évêque de Noyon au VIe siècle[51], et à la proximité d'Excideuil[52].

En occitan, la commune porte le nom de Sent Medard d'Eissiduelh[53].

Histoire[modifier | modifier le code]

Révélée dans le testament de saint Yrieix, la première mention écrite connue d'une ancienne église du lieu date du VIe siècle, sous la forme Cella in honore S. Medardi (« église en l'honneur de saint Médard »)[52].

En 1120, une bulle du pape Calixte II précise que l'église de Saint-Médard, citée sous la forme Capella S. Medardi infra muros Exidolii (« Chapelle (ou église) Saint Médard à l'intérieur d'Excideuil »)[52], dépend de l'abbaye de Tourtoirac[54].

Jusqu'au début du XIVe siècle, l'église était celle d'une abbaye et le lieu portait le nom de « Saint-Médard l'Abbaye »[55]. Lors de ce même siècle, Saint Médard devient archiprêtré à la place d'Excideuil[51], et administre jusqu'à 66 paroisses à la veille de la Révolution française[55].

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, deux des cinq moulins à papier de la vallée de la Loue dans la châtellenie d’Excideuil sont situés à Saint-Médard d’Excideuil[56].

En 1792, la commune de Gandumas fusionne avec Saint-Médard-d'Excideuil. La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Médard sur la Loue[57],[58].

En 1943, deux groupes du groupement 28 des Chantiers de la jeunesse se sont implantés sur la propriété de la famille Pouquet, notamment au moulin du Bouc[59].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Médard-d'Excideuil a, dès 1790, été rattachée au canton d'Excideuil qui dépendait du district d'Excideuil jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux[7].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[60]. La commune est alors rattachée au canton d'Isle-Loue-Auvézère.

En 2017, Saint-Médard-d'Excideuil est rattachée à l'arrondissement de Nontron[61],[62].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Fin 2009, Saint-Médard-d'Excideuil intègre la communauté de communes du Pays de Lanouaille, neuf ans après la création de cette dernière. Celle-ci, agrandie en 2017, prend le nom de communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[63],[64].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1989 ? juin 1998 ? Jean-Robert Cousty[Note 5] Apparenté PCF  
juin 1998 ? mai 2016[65] Jean-Jacques Boyer[Note 5] SE[66] Agriculteur
mai 2016
(réélu en mai 2020[67])
En cours Éric Villemaine    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Médard-d'Excideuil relève[68] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[69]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[70].

En 2021, la commune comptait 544 habitants[Note 6], en augmentation de 3,03 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9509941 0097406748818377641 091
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0561 2109719319021 0131 0091 008968
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
922930915840805783774756698
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
700667658641665622616615540
2017 2021 - - - - - - -
546544-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[71].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

L'usine Repetto de Saint-Médard-d'Excideuil.

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[73], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 232 personnes, soit 43,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-trois) a légèrement diminué par rapport à 2010 (vingt-cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,0 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte quarante-huit établissements[74], dont dix-huit au niveau des commerces, transports ou services, douze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, neuf dans la construction, six dans l'industrie, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[75].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Les ateliers de l'usine Repetto de Saint-Médard-d'Excideuil produisent 85 % des chaussons de danse et des ballerines de la marque[76]. L'usine, qui s'est agrandie fin 2012, emploie 170 personnes sur le site[77], et possède son propre centre de formation. Au printemps 2021, à la suite de la crise économique provoquée par la pandémie de Covid-19, le groupe Repetto supprime 50 emplois dont 31 sur le site de Saint-Médard-d'Excideuil qui n'emploie plus que 110 personnes[78] ; en septembre 2021, l'usine passe en activité partielle[78].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La Loue à Saint-Médard-d'Excideuil, en amont du moulin du Bouc.

En amont du lieu-dit la Farge, les vallées de la Loue et de son affluent, la Haute Loue, constituent une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1 à dominante boisée, partagée avec huit autres communes[91],[92].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Médard-d'Excideuil Blason
D'or à la fasce ondée d'azur accompagnée, en chef, d'un fer de moulin de sable et, en pointe, d'un tourteau du même ; au chef d'azur chargé d'une crosse d'or mouvant du trait du chef.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. a et b Démissionnaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Médard-d'Excideuil » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Repetto
  2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  3. « Carte géologique de Saint-Médard-d'Excideuil » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  4. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Médard-d'Excideuil », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 735 - Thiviers de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. « Notice associée à la feuille no 736 - Saint-Yrieix-la-Perche de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  7. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Repères géographiques du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. « Portrait du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  13. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Médard-d'Excideuil », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  15. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  16. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  17. « Fiche communale de Saint-Médard-d'Excideuil », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  18. « Confluence Loue-Isle au sud du Pont de Vetz » sur Géoportail (consulté le 3 octobre 2022)..
  19. Sandre, « La Loue »
  20. « Confluence Haute Loue-Loue au sud du lieu-dit la Forge » sur Géoportail (consulté le 3 octobre 2022)..
  21. Sandre, « la Haute-Loue »
  22. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  23. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  25. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  26. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  27. « Orthodromie entre Saint-Médard-d'Excideuil et Thenon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  28. « Station Météo-France « Thenon » (commune de Thenon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  29. « Station Météo-France « Thenon » (commune de Thenon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  30. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  31. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  33. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Unité urbaine 2020 d'Excideuil », sur insee.fr (consulté le ).
  35. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  36. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  37. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  38. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  39. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  40. « St-Médard-d'Excideuil » sur Géoportail (consulté le 10 mai 2015)..
  41. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Médard-d'Excideuil », sur Géorisques (consulté le ).
  42. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  43. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  44. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  45. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  46. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  47. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  48. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  49. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  50. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  51. a et b Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 43.
  52. a b c et d Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord,éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 349-350.
  53. Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Medard d'Eissiduelh sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 26 septembre 2021.
  54. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1), p. 233.
  55. a et b Note à l'extérieur de l'église Saint-Médard, vue le 21 août 2014.
  56. Francis A. Boddart, Les papeteries d'Essendiéras et de Saint-Médard en la châtellenie d'Excideuil aux XVIIe et XVIIIe siècles, Bulletin de SHAP, t. CXXXIII, 2006, pp. 71-86.
  57. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 350.
  58. Registre des naissances (An III), sur le site des Archives départementales de la Dordogne.
  59. Francis A. Boddart, Les chantiers de la jeunesse et la Dordogne, 1940-1944 : de la révolution nationale à la production industrielle, Périgueux, IFIE Éditions Périgord, , 342 p. (ISBN 978-2-916265-18-6).
  60. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  61. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
  62. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
  63. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
  64. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.
  65. « Un nouveau maire », Sud Ouest édition Dordogne, 23 juin 2016, p. 15.
  66. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 8.
  67. « Bruno Lamonerie a été réélu », Sud Ouest édition Dordogne, 23 juillet 2020, p. 25.
  68. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  69. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  70. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  71. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  72. « Une belle réussite pour la 12e édition de Truffes en fête pour lutter contre le cancer », Sud Ouest édition Dordogne / Lot-et-Garonne, , p. 18.
  73. Dossier complet - Commune de Saint-Médard-d'Excideuil (24463) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 21 janvier 2019.
  74. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  75. Dossier complet - Commune de Saint-Médard-d'Excideuil (24463) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 21 janvier 2019.
  76. Julie Martinez, Cette ballerine a conquis le monde, Sud Ouest édition Périgueux, 3 juin 2010.
  77. Colette Goinère, Repetto inaugure l’extension de son site de Dordogne, L'Usine nouvelle du 16 novembre 2012.
  78. a et b Émilie Delpeyrat, Repetto passe en activité partielle longue durée, Sud Ouest édition Dordogne, 24 septembre 2021, p. 16.
  79. « Tour des Charreaux », notice no PA00082875, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 10 mai 2015.
  80. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 102.
  81. a b et c Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 179-180.
  82. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 106.
  83. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 130.
  84. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 137.
  85. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 145.
  86. Construction de l’église actuelle de Gandumas sur le site Mémoire de pierres à Gandumas, consulté le 22 mars 2013.
  87. De la Révolution à nos jours sur le site Mémoire de pierres à Gandumas, consulté le 22 mars 2013.
  88. [PDF] Liste des jardins labellisés « jardin remarquable » au 31 janvier 2015, sur le site du Comité des parcs et jardins de France, consulté le 11 mai 2015.
  89. Ludivine Loncle, « L'art de l'arboretum », Le Mag no 167, supplément à Sud Ouest, 13 juin 2015, p. 40.
  90. a et b Hervé Chassain, « Silence, l'art pousse », Le Mag no 393, supplément à Sud Ouest, 12 octobre 2019, p. 30.31.
  91. [PDF] Vallées du réseau hydrographique de la Loue en amont d'Excideuil de l'INPN, consulté le 8 mai 2015.
  92. Carte de la ZNIEFF 720012829, sur le site de l'INPN, consulté le 8 mai 2015.
  93. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, p. 660, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4).