Saint-Lambert (Yvelines)

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Saint-Lambert
Saint-Lambert (Yvelines)
La mairie.
Image illustrative de l’article Saint-Lambert (Yvelines)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Vallée de Chevreuse
Maire
Mandat
Olivier Bedouelle
2020-2026
Code postal 78470
Code commune 78561
Démographie
Gentilé Lambertinois
Population
municipale
444 hab. (2021 en diminution de 1,55 % par rapport à 2015)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 43′ 57″ nord, 2° 01′ 18″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 169 m
Superficie 6,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Maurepas
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Lambert
Liens
Site web saintlambertdesbois.fr

Saint-Lambert, parfois appelée Saint-Lambert-des-Bois, est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du parc naturel régional de la Haute-Vallée de Chevreuse.


Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par le Rhodon.

Hameaux de la commune[modifier | modifier le code]

Il y a deux hameaux reliés à cette commune :

  • la Brosse, en sortant du Mesnil-Saint-Denis vers le sud. On peut passer par la Brosse pour aller au château de la Madeleine.
  • le Vaumurier, en sortant du village vers le site de Port Royal, de l'autre côté de la D 91.

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

Saint-Lambert est accessible par la D 91 et par la D 46.

Bus[modifier | modifier le code]

Les dimanches et jours fériés, le village de Saint-Lambert se trouve sur le passage du Baladobus, organisé par le PNR.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Choisel à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records CHOISEL (78) - alt : 176m, lat : 48°41'04"N, lon : 2°00'01"E
Records établis sur la période du 01-01-1974 au 31-08-2019
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1 3,1 5 8,4 11,4 13,2 13 10,1 7,4 4,1 1,6 6,6
Température moyenne (°C) 4 4,4 7,5 10,1 13,8 17 19,2 19 15,4 11,6 7,2 4,2 11,1
Température maximale moyenne (°C) 6,7 7,7 11,9 15,3 19,2 22,6 25,1 25 20,8 15,8 10,4 6,9 15,6
Record de froid (°C)
date du record
−14,2
14.01.1979
−13,5
07.02.1991
−10,4
13.03.13
−4,5
15.04.19
−1
07.05.1997
2,2
04.06.1991
4,9
19.07.1974
4,3
21.08.14
1,8
30.09.12
−4
30.10.1997
−9,5
24.11.1998
−10,6
29.12.1996
−14,2
1979
Record de chaleur (°C)
date du record
15,5
27.01.03
18,5
24.02.1990
24
29.03.1989
28
21.04.18
31,6
28.05.17
36,4
27.06.11
37,5
01.07.15
39,5
06.08.03
33
05.09.13
28,5
03.10.11
21
08.11.15
16,5
07.12.00
39,5
2003
Précipitations (mm) 61,4 51,7 51,5 48,9 67,8 61,5 52,4 56,3 51,6 65,8 64,7 75,5 709,1
Source : « Fiche 78162001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Lambert est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols simplifiée[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 90,27 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 5,37 % d'espaces ouverts artificialisés et 4,36 % d'espaces construits artificialisés[12].

Occupation des sols détaillée[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 3,4 % 26
Terres arables hors périmètres d'irrigation 38,1 % 250
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 7,0 % 46
Forêts de feuillus 50,9 % 334
Source : Corine Land Cover[13]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Jusqu'à la fin du XVIIe siècle, la paroisse s'appelait Germainvile (aujourd'hui hameau de Saint-Lambert) dans les archives départementales des Yvelines et de l'ancien département de Seine-et-Oise[14],[15]. Depuis le IVe siècle, l'église est dédiée à saint Blaise de Veroli ; elle n'est consacrée à saint Lambert qu'en 1538. Pourtant, Ernest Nègre et Hippolyte Cocheris l'attestent sous la forme Sanctus Lambertus dès le XIIIe siècle[16] vers 1205[17], sans citer leurs sources.

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Lambert-les-Bois[18].

L'hagiotoponyme tiendrait son nom de saint Lambert, apôtre de la Belgique.

Histoire[modifier | modifier le code]

La vie de Saint-Lambert-des-Bois s’est organisée, dès l’origine, autour de la première chapelle datant du Xe siècle, puis, peu à peu, autour de l’église et du cimetière, lequel conserve les restes des religieuses de Port-Royal des Champs.

Très tôt, Saint-Lambert a été incorporé au duché de Chevreuse. En 1269, les seigneurs de Chevreuse font don à l'Ordre du Temple d'un domaine à la Brosse. Les anciennes propriétés dépendant de la commanderie des templiers (fermes de la Brosse et de Champ Garnier) continuent encore aujourd'hui leurs activités, liées à l’agriculture.

La commune de Saint-Lambert a été fortement marquée par la présence proche du monastère de Port-Royal des Champs, qui fut le haut-lieu du jansénisme du milieu du XVIIe siècle jusqu'à 1709, date de la fermeture du monastère par ordre de Louis XIV. Dès le Moyen Âge, les artisans et paysans du village travaillent pour les religieuses de l’abbaye. Certains des solitaires de Port-Royal avaient des habitations dans la paroisse, comme l'historien Louis-Sébastien Le Nain de Tillemont.

En 1829, le nouveau propriétaire des ruines de Port-Royal, Louis Silvy, créa de petites écoles gratuites dans le village, qui tinrent lieu d'écoles publiques jusqu'en 1975. Elles ont profondément marqué la population locale.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 1989 Jacques Guibert    
1989 2014 Jean-Pierre Le Métayer SE  
2014 2020 Bernard Gueguen DVD  
2020 En cours Olivier Bedouelle    

Communauté de communes[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Lambert-des-Bois participe à la communauté de communes de la Haute Vallée de Chevreuse (CCHVC).

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

En 2021, la commune comptait 444 habitants[Note 3], en diminution de 1,55 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
99250271211246248257247253
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
272225194232251229227271258
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
291272246207209228183192299
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
224198371376382380377375415
2014 2019 2021 - - - - - -
448447444------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 230 hommes pour 219 femmes, soit un taux de 51,22 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[22]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,5 
6,1 
75-89 ans
7,8 
17,5 
60-74 ans
18,3 
25,3 
45-59 ans
21,6 
15,7 
30-44 ans
19,7 
14,0 
15-29 ans
11,0 
21,4 
0-14 ans
21,1 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[23]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le village de Saint-Lambert-des-Bois compte une école communale accueillant les enfants de maternelle et primaire.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La mairie de Saint-Lambert-des-Bois soutient Calisto-235 et l'organisation du festival Nomade, Musiques en liberté.

Sports[modifier | modifier le code]

L'association sportive du village propose des activités et des cours en utilisant les équipements que lui met à disposition la mairie, notamment les courts de tennis.

Économie[modifier | modifier le code]

Eau minérale[modifier | modifier le code]

La Société Val Saint Lambert exploite la source Saint Lambert en extrayant et embouteillant l'eau d'une nappe phréatique située à 600 mètres de profondeur. Préalablement propriété du groupe Nestlé qui commercialisait l'eau de la source sous la marque Aquarel[24], la société est depuis 2013 propriété du Groupe Ogeu qui commercialise l'eau sous la marque Chevreuse[25].

Autres[modifier | modifier le code]

Plus de 20 entreprises sont installées à Saint-Lambert-des-Bois[Quand ?][réf. nécessaire].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Lambert-et-Saint-Blaise.
Le monument aux morts.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Lambert-et-Saint-Blaise, édifice du XIIIe siècle, détruit puis reconstruit durant le deuxième quart du XVIe siècle[26].
    • Porche du XIXe siècle.
    • Lanterne des morts détruite après 1952.
    • Vitraux non figuratifs en 1960 par Lorin.
    • Statue de la Vierge, qui y est vénérée depuis le XIVe siècle sous le nom de « Notre-Dame de Vie ». Un pèlerinage pour la défense de la vie y a lieu tous les ans[27].
  • Le cimetière de l'église Saint-Lambert :

L'église et le cimetière sont protégés au titre des monuments historiques depuis 1926[26].

  • Le parc de Vaumurier (privé, site classé, à l'état de vestiges), où s'élevait l'ancien château du duc de Luynes.
    • Le château de Vaumurier fut construit en 1651-1652 par le duc Louis-Charles de Luynes sur une terre de l'abbaye de Port-Royal des Champs[29]. Il connaît sa période de gloire durant les années 1652-1660[30]. Le duc de Luynes avait fait construire le château de Vaumurier au moment où sa mère, Marie de Rohan, s'engage dans la Fronde afin de se rapprocher de ses amis de Port-Royal des Champs. Le château servira de refuge à quelques solitaires lors des persécutions. Jean Racine[31], Lemaître de Sacy et Blaise Pascal visitèrent fréquemment ; Claude Lancelot y dirigeait l'éducation du jeune duc de Chevreuse. Le château fut détruit vers 1680. Les seuls vestiges qui demeurent aujourd'hui sont des caves et une fontaine.
  • La mairie, construite durant le troisième quart du XIXe siècle par Charles Brouty (maître d'œuvre), monument inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel.
  • Le manoir, dit « Maison Silvy », construit durant la seconde moitié du XVIIe siècle. Bien national acheté à la fin du XVIIIe siècle par Louis Silvy, fondateur des écoles chrétiennes de Saint-Lambert qui en fait don à la paroisse en 1829. Monument inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel.
  • L'ancien presbytère, situé 15-17 rue de la Mairie, construit durant le dernier quart du XVIIIe siècle. Le premier presbytère de Saint-Lambert était accolé à l'église en 1694. L'édifice actuel a été rénové entre 1788 et 1789 par Le Masson (maître d'œuvre), et sa partie sud a été construite au XIXe siècle, probablement pour l'école des filles. Le cadran solaire portant la date 1635 a été réemployé à cette époque. Monument inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel.
  • La ferme des chevaliers de la Commanderie de Belle (privé, site classé, à l'état de vestiges) à la Brosse[32], ayant appartenu aux chevaliers de l'ordre de Malte qui la tenait de l'ordre du temple - chevaliers de la milice du Temple, d'hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem. La chapelle Saint-Jacques qui s'y trouvait, fondée au XIIIe siècle, a été démolie en 1820. La voûte du bâtiment date probablement du XVIIe siècle ; la grange et logis du XIXe siècle. Monument inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel.
  • Le lavoir.
  • Le prieuré Saint-Benoît et sa chapelle, fondés par des moines bénédictins en 1963[33].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]






lambert

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Saint-Lambert », p. 192–194

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Lambert et Choisel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Choisel » (commune de Choisel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Choisel » (commune de Choisel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  13. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  14. Annick Bezaud, Archives départementales des Yvelines et de l'ancien département de Seine-et-Oise, Arnaud Ramière de Fortanier - Guide des archives des Yvelines et de l'ancien département de Seine-et-Oise: Séries anciennes (séries A à H)- 2002 -, pages 156, 208 et 217 (ISBN 2860780130).
  15. Bourselet Victor, Clérisse Henri - "Mantes et son arrondissement", Mantes, imprimerie A.Beaumont, 1933, pages 139 et 140 (AD78, US L50.
  16. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1553.
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Lambert (78561) », (consulté le ).
  23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  24. Article du journal Le Parisien du 3 mars 2004.
  25. Historique du groupe OGEU
  26. a et b « Eglise paroissiale Saint-Lambert et Saint-Blaise », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  27. Famille chrétienne, no 1916 du 4 au 10 octobre 2014, p. 65
  28. Armand Boutillier du Retail et Louise Faure-Favier, Mercure de France : La Solitaire de Port-Royal, (lire en ligne), p. 106-114
  29. Voir Jean Lesaulnier, « La vie de Claude Lancelot, solitaire de Port-Royal par le bénédictin Charles Clémencet » [1], en ligne sur le site des Amis de Port Royal, p. 6, note 26.
  30. Jean Lesaulnier, loc. cit., p. 6, note 26.
  31. « Jean Racine. De l'austérité à l'aristocratie », Document du Parc Naturel de la Haute Vallée de Chevreuse
  32. « Maisons et Commanderies de l'Ordre du Temple en France », sur templiers.net (consulté le ).
  33. « HISTOIRE – Origines du prieuré bénédictin à Saint-Lambert – Prieuré Saint Benoît », sur prieuresaintbenoit.fr (consulté le ).
  34. Véronique Alemany, La dernière Solitaire de Port-Royal : survivances jansénistes jusqu'au XXe siècle, Paris, Éditions du Cerf, coll. « Cerf histoire », , 683 p. (ISBN 978-2-204-09951-6), p. 175, § 2