Saint-Étienne-du-Rouvray

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Saint-Étienne-du-Rouvray
Saint-Étienne-du-Rouvray
L'église Saint-Étienne.
Blason de Saint-Étienne-du-Rouvray
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Joachim Moyse (PCF)
2020-2026
Code postal 76800
Code commune 76575
Démographie
Gentilé Stéphanais
Population
municipale
28 508 hab. (2021 en augmentation de 0,14 % par rapport à 2015)
Densité 1 562 hab./km2
Population
agglomération
525 638 hab.
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 43″ nord, 1° 06′ 18″ est
Altitude Min. 3 m
Max. 87 m
Superficie 18,25 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Cantons de Saint-Étienne-du-Rouvray et de Sotteville-lès-Rouen
Législatives 3e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Liens
Site web https://www.saintetiennedurouvray.fr/

Saint-Étienne-du-Rouvray est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Située en bordure de la forêt de la Londe-Rouvray, la ville est en plein centre de la Métropole Rouen Normandie, à moins de 10 kilomètres du centre-ville de Rouen.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Sotteville-lès-Rouen, Amfreville-la-Mi-Voie, Belbeuf, Gouy, Le Grand-Quevilly, Oissel et Petit-Couronne.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Située dans un méandre de la Seine, elle est bordée à l'est par celle-ci.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 766 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boos à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 847,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Catte topographique de la commune en 2020.

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Étienne-du-Rouvray est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[12] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (63,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (58,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (34,8 %), forêts (29,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (28 %), prairies (3,4 %), eaux continentales[Note 3] (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 13 152, alors qu'il était de 12 654 en 2015 et de 11 726 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 91,1 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 7,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 52,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 46,3 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Étienne-du-Rouvray en 2020 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,9 %) inférieure à celle du département (4,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 45 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (47,9 % en 2015), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Saint-Étienne-du-Rouvray en 2020.
Typologie Saint-Étienne-du-Rouvray[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,1 87,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,9 4,1 9,7
Logements vacants (en %) 7,9 8,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Rame du « métro » au terminus Technopôle à Saint-Étienne-du-Rouvray.

Saint-Étienne-du-Rouvray est à une heure et demie de Paris et à une heure et quart de Caen, par l'autoroute A13. La ville est un lieu de passage – et de halte – pour ceux qui venant du Nord de la France, traversent l'agglomération vers la Normandie ou la Bretagne, mais aussi Alençon et Le Mans via l'A28.

Depuis juillet 2008, la ville est desservie par la rocade Sud, périphérique du grand Rouen. Elle offre deux accès supplémentaires par le sud au territoire communal, par la Vente Olivier et par le technopôle du Madrillet.

La gare de Saint-Étienne-du-Rouvray est située sur la ligne de chemin de fer de Paris-Saint-Lazare au Havre et est desservie par les trains TER Normandie, sur les relations de Rouen-Rive-Droite à Val-de-Reuil ou à Mantes-la-Jolie, mais également d'Yvetot à Elbeuf - Saint-Aubin via Rouen-Rive-Droite. L'important technicentre industriel de Rouen Quatre-Mares, qui entretient les matériels roulants de la SNCF, est implanté dans la commune.

L'aéroport le plus proche est celui de Rouen Vallée de Seine, situé à Boos.

Saint-Étienne-du-Rouvray est desservie par le tramway de Rouen, localement dénommé « métro de Rouen » depuis le prolongement vers le technopôle du Madrillet en 1997. La ligne Technopôle traverse la ville avec cinq stations à une fréquence d'une rame toutes les six minutes en heure de pointe. Le tramway permet de rejoindre le centre-ville de Rouen en une vingtaine de minutes et Sotteville-lès-Rouen en quelques minutes.

Six lignes de bus (F3, 10, 27, 32, 33 et 42) du Réseau Astuce s'articulent autour de la ligne de « métro » et offrent la possibilité de rejoindre des communes voisines non desservies par le tramway telle que Oissel.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctum Stephanum vers 1025, Sancti Stephani en 1032 et 1035[18], De Sancto Stephano au XIIIe siècle, Sanctus Stephanus en 1337, Saint-Etienne jouxte Rouvray en 1362 et en 1365, Saint Etienne de Rouvray entre 1605 et 1616[19], Saint Estienne du Rouvray en 1715, Saint Etienne du Rouvray en 1757[20].

Le nom de la commune est issu de l'hagiotoponyme saint-Étienne et de la forêt de Rouvray qui borde la ville, ce qui donna Saint-Étienne-du-Rouvray[21]. Rouvray dérive du mot rouvres qui, en vieux français, signifie chêne (Quercus Robur), du latin robora. Il désigne alors le territoire d'une chênaie (ou rouvraie).

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Des outils néolithiques (2 000 ans av. J.-C.) tout comme des traces d'habitat gallo-romain (200/300 ans apr. J.-C.) témoignent d'une occupation ancienne du site en bordure des zones anciennement inondables, aux alentours de l'actuelle avenue du Bic-Auber.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Un hameau appelé Sancti Stephani et dépendant de l'abbaye de Saint-Wandrille est signalé au IXe siècle dans une charte royale. Marques de l'arrivée puis de l'implantation des Vikings tout au long de la Seine, des toponymes d'origine scandinave (la Haie Brout, les Longs Boëls, le Fossé Roger) se rencontrent encore dans certains quartiers. Le bourg se développe ensuite le long de la route reliant Rouen à Paris. Aux XVe et XVIe siècles, la paroisse compte cinq cents habitants. La population cultive les terres arables en bord du fleuve et pratique l'élevage sur les terres incultes, forêts, landes et taillis.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Étienne, rue de Paris, construite au XVIe siècle, dépendait du diocèse de Lisieux.

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

À la Révolution française, en 1790, Saint-Étienne-du-Rouvray se constitue en commune avec administration politique.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

De la ville industrielle à la conscience ouvrière[modifier | modifier le code]

Au moment où le Château blanc s'urbanise, les fermes du plateau du Madrillet côtoient les premiers immeubles qui sortent de terre.

Le bourg commence à prendre son caractère urbain et industriel à partir du milieu du XIXe siècle, avec l'arrivée du chemin de fer et les débuts de la révolution industrielle.

En 1843, l'arrivée du chemin de fer ouvre la voie au développement de la commune. Les premiers trains à vapeur de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest relient Paris à Rouen. L'arrivée du train favorise l'implantation d'entreprises et le bourg rural devient peu à peu une cité industrielle. En 1865, la Société cotonnière s'implante à Saint-Étienne-du-Rouvray. Elle est alors la plus grosse entreprise de Normandie qui emploiera jusqu'à 2 000 personnes. La ville commence à changer avec l'implantation de nouveaux quartiers construits pour les ouvriers, comme la Cité Neuve, de nouvelles rues…

Au début du XXe siècle, l'ouverture des ateliers ferroviaires de Quatre-Mares (1913), l'arrivée de la Fonderie Lorraine en 1916 et des Papeteries de la Chapelle (1928) viennent renforcer le caractère industriel de la ville. Dans le même temps, les premières grèves et grands mouvements de revendication forgent la conscience ouvrière. 1911 est ainsi marquée par une importante grève des salariés de la Cotonnière qui réclament la journée de 10 heures. Les solidarités s'organisent comme en témoigne la création de l'Émancipation par les ouvriers de la Cotonnière, en 1893. Cette société coopérative obtient des prix bas pour les denrées de première nécessité, mais offre également un secours aux malades et colis aux grévistes.

Après la Première Guerre mondiale, et la révolution bolchevique d'octobre 1917, la conscience ouvrière trouve également une expression politique. En 1923, trois ans après le congrès de Tours qui voit se séparer la majorité communiste (SFIC) de la minorité socialiste (SFIO), Saint-Étienne-du-Rouvray est l'une des premières villes de France à devenir communiste. En 1935, alors que la Société cotonnière ferme, dans un contexte de profonde récession, la commune et de nombreux Stéphanais adhèrent au Front populaire.

Histoire récente[modifier | modifier le code]

Le , aux alentours de h 25, deux individus islamistes font irruption dans l'église de la ville par une porte située à l'arrière de l'édifice. Ils prennent six personnes en otage, un prêtre, trois religieuses et un couple de fidèles. Les assaillants sont équipés d'armes blanches, dont des couteaux, et de fausses bombes. La police, prévenue par une religieuse qui a réussi à s'échapper, ne peut entrer, les otages étant obligés de faire barrage. La BRI tue les assaillants, sur le parvis de l'église. Le prêtre de l'église, Jacques Hamel, se sacrifie pour sauver ses fidèles, et est égorgé. Le mari d'un couple de paroissiens est quant à lui gravement blessé à la gorge. Daech revendique l'attaque le jour-même.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Rouen du département de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie de 1801 à 1892 du canton de Grand-Couronne, puis, de 1892 à 1982, du canton de Sotteville-lès-Rouen, année où la commune est scindée entre les cantons de Saint-Étienne-du-Rouvray et Sotteville-lès-Rouen-Est[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 des cantons de Saint-Étienne-du-Rouvray et Sotteville-lès-Rouen.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté d'agglomération dénommée Agglomération de Rouen (CAR), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1995 par transformation de l'ancien SIVOM de l'agglomération rouennaise institué en 1974.

Cette intercommunalité fusionne avec ses voisines le pour former la communauté d'agglomération Rouen-Elbeuf-Austreberthe (CREA), qui se transforme en métropole le sous le nom de Métropole Rouen Normandie, dont est désormais membre Saint-Étienne-du-Rouvray.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Maritime, la liste PCF-PS-EELV menée par le maire sortant Hubert Wulfranc obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 5 472 voix (84,90 %, 33 conseillers municipaux élus dont 7 métropolitains), devançant très largement celle EXG menée par Philippe Briere, qui a recueilli 973 voix (15,09 %, 2 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 54,13 % des électeurs se sont abstenus[23].

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste d'union de la gauche PCF-LFI-PS menée par le maire sortant (PCF) Joachim Moyse — qui avait succédé en 2017 à Hubert Wulfranc comme maire de Saint-Étienne-du-Rouvray après son élection comme député — obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 3 599 voix (78,94 %, 32 conseillers municipaux élus dont 6 métropolitains), devançant très largement celles menées respectivement par[24] :
- Brahim Charafi[25] (DVC,624 voix,13,69 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- Noura Hamiche[26] (NPA, 336 voix, 7,37 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 70,88 % des électeurs se sont abstenus.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1945 Constant Crestey    
1945 1947 Jean Morisse    
1947 1953 Robert Samson    
1953 1959 Gustave Léger   Médecin
mars 1959 1972 Olivier Goubert PCF  
1973 2002 Michel Grandpierre[27],[28] PCF Cheminot
Conseiller général de Sotteville-lès-Rouen-Est (1982 → 1993)
Député de la Seine-Maritime (3e circ.) (1993 → 1997)
Démissionnaire
2002 juillet 2017[29] Hubert Wulfranc PCF Professeur d'histoire-géographie
Conseiller général puis départemental de Saint-Étienne-du-Rouvray (2004 → 2017),
Député de la Seine-Maritime (3e circ.) (2017 → 2023[30],[31])
Vice-président de la Métropole Rouen-Normandie (2015 → 2017)
Démissionnaire à la suite de son élection comme député
juillet 2017[32] En cours
(au 15 décembre 2023)
Joachim Moyse[33] PCF Conseiller régional de Normandie (2015 → )
Vice-président de la Métropole Rouen-Normandie (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[34],[35]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les écoles de Saint-Étienne-du-Rouvray dépendent de l'académie de Normandie.

Plusieurs écoles, de la maternelle au lycée sont disponibles[Quand ?] aux enfants de la commune :

Équipements sportifs[modifier | modifier le code]

  • Complexe Sportif Youri Gagarine

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[42],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 28 508 habitants[Note 5], en augmentation de 0,14 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4191 3011 3261 4911 4811 4941 4821 5851 547
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5801 6332 1972 5132 8644 2464 4854 6705 145
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5 6566 0686 4488 1299 38810 74111 27510 83315 430
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
25 83334 71337 24232 44430 73129 09227 81528 11828 696
2021 - - - - - - - -
28 508--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le premier recensement fait au XIXe siècle remonte en 1812, Saint-Étienne avait alors 1,328 habitants. En 1857, sa population était de 1,345 habitants. En 1822 : 1,491 habitants ; en 1828 : 1,390 ; en 1836 : 1,494 avec 414 ménages ; en 1841 : 1,482 avec 370 ménages ; en 1846 : 1,585 avec 424 ménages ; en 1856 : 1,580 avec 443 ménages ; en 1861 : 1,633 avec 461 ménages.

C'est à partir de 1863 que commença, par la suite de la construction de la grande usine de la Société Cotonnière, le mouvement ascendant de la population de Saint-Étienne. Au recensement de 1866, on constatait à Saint-Étienne 2,157 habitants, répartis en 565 ménages. En 1872 : 2,153 habitants avec 681 ménages et 614 maisons. Ce recensement qui fut des plus complets portait également sur le nombre des animaux domestiques. Il révélait l'existence à Saint-Étienne de 147 chevaux, 263 vaches, 1 âne, 164 moutons, 32 porcs, 19 chèvres, 130 chiens, 1284 poules, 176 pigeons et 62 canards.

Saint-Étienne-du-Rouvray est la troisième ville de l'agglomération rouennaise en termes de population. Une ville tout à la fois forte de sa jeunesse avec près d'un habitant sur trois âgé de moins de 19 ans, mais également riche de l'expérience de sa population : les plus de 60 ans représentent un habitant sur cinq.[réf. nécessaire]

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,1 % la même année, alors qu'il est de 26 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 13 960 hommes pour 14 540 femmes, soit un taux de 51,02 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,9 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,5 
5,7 
75-89 ans
8,4 
13,5 
60-74 ans
14,5 
16,9 
45-59 ans
17,0 
19,5 
30-44 ans
18,2 
20,8 
15-29 ans
19,4 
23,0 
0-14 ans
20,9 
Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2020 en pourcentage[45]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,8 
6,5 
75-89 ans
9,5 
16,6 
60-74 ans
17,7 
19,5 
45-59 ans
19,1 
18,5 
30-44 ans
17,6 
19,2 
15-29 ans
17,4 
19,1 
0-14 ans
16,8 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Centre culturel Le Rive Gauche.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Étienne-du-Rouvray Blason
De gueules aux deux léopards affrontés d’or, armés et lampassés d’azur, mouvant des flancs et supportant une roue dentée d’argent soutenus de trois trangles ondées du même, au chef cousu d’azur chargé d’une crosse issante aussi d’or accostée de deux chênes rouvres aussi d’argent[46]
Détails
Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Bibliothèque Elsa Triolet, Saint-Étienne-du-Rouvray, Bibliothèque Elsa Triolet : 1949 1987 : trente-huit ans d'une association au service des Stéphanais, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1987, 30 p.
  • Centre socioculturel Georges Déziré, Regards sur l’église Saint-Étienne, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2002.
  • Yves-Marie Deniel, Un jour en 1936, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2006.
  • Pierre Duchemin, Histoire de Saint-Étienne-du-Rouvray, Rouen, A. Lestringant, 1892, 391 p.
  • Pierre Duchemin, Histoire de Saint-Étienne-du-Rouvray, Paris, Office d’édition et de diffusion du livre d’histoire, coll. « Monographie des villes et villages de France » (no 1350), (ISBN 2-84126-078-X)
  • Olivier Gosse, On appelle ça de l'humanité : mémoire du quartier Hartmann des années 1940 à 2008, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2009.
  • Georgette Gosselin, Les débuts du chemin de fer, 89 lithographies de Daumier, 14e festival culturel, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1976.
  • Georgette Gosselin, Lutes d’hier et d’aujourd’hui, 1843-1996 : les communistes de Saint Étienne du Rouvray, Ed. de la section de Saint-Étienne-du-Rouvray du Parti communiste français, 1996
  • Groupe Archives Quatre-Mares, Les Ateliers de Quatre-Mares : huit décennies au service de la réparation des locomotives, Paris, La Vie du rail & des transports, , 311 p. (ISBN 2-902808-63-1)
  • Groupe Histoire & Patrimoine, Saint-Étienne-du-Rouvray au temps du Front Populaire, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2006.
  • Groupe Histoire & Patrimoine, 1866, en avant la musique, 140 ans de pratiques musicales à Saint-Étienne-du-Rouvray, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2007
  • Groupe Histoire & Patrimoine, 160 ans de commerce et d'artisanat stéphanais, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2010
  • Atelier Histoire & Patrimoine, Vivre, survivre, résister : Saint-Étienne-du-Rouvray pendant la Seconde Guerre mondiale, Lyon, Médiris, 2015
  • Guy Pessiot, Les communes de l'agglomération de Rouen, vol. 2 : De Maromme à Ymare, Rouen, Ed. des Falaises, , 261-512 p. (ISBN 978-2-84811-063-9)
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  • Nathalie Ponsard, Lectures ouvrières à Saint-Étienne-du-Rouvray, des années trente aux années quatre-vingt dix : lecture, culture, mémoire, Paris, L'Harmattan, coll. « Logiques historiques », , 341 p. (ISBN 978-2-296-02592-9)
  • Claude Soloy, Saint-Étienne-du-Rouvray de la Préhistoire à 1945, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1971.
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  • Saint-Étienne-du-Rouvray : Citoyen de demain, Paris, Ed. Franciade, 1996, 64 p.
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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

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Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

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