Saint-Brieuc-des-Iffs

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Saint-Brieuc-des-Iffs
Saint-Brieuc-des-Iffs
Le bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Communauté de communes Bretagne Romantique
Maire
Mandat
Rémi Couet
2020-2026
Code postal 35630
Code commune 35258
Démographie
Gentilé Briochin, Briochine
Population
municipale
326 hab. (2021 en diminution de 4,12 % par rapport à 2015en diminution de 4,12 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Population
agglomération
654 478 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 17′ 31″ nord, 1° 51′ 00″ ouest
Altitude 78 m
Min. 34 m
Max. 133 m
Superficie 8,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Combourg
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.saintbrieucdesiffs.fr

Saint-Brieuc-des-Iffs est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 326 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de la commune de Saint-Brieuc-les-Iffs.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est entièrement située dans le bassin de la Rance. Elle est parcourue du sud au nord par deux cours d'eau, le ruisseau du Vau Russel et le ruisseau de Montmuran, qui confluent au lieu-dit du Clos Roquet.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 789 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Quiou à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Brieuc-des-Iffs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,8 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %), prairies (10,1 %), zones urbanisées (3,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), forêts (2,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Ifs séculaires dans l'enclos de l'église (ancien cimetière).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes ecclesia de sancto Brioceo en 1122, parochia Sancti Brioci au XIIe siècle ; ce nom fait référence à saint Brieuc, saint patron de la paroisse.

Les Iffs serait dû à la déformation de l'ancien français eveïs ou eaveïs « lieu où il y a de l'eau », « marécage », hérité du latin tardif aquaticum, lui-même dérivé de aqua « eau », dont un autre dérivé est le français évier.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Occupation à l'époque préceltique attestée par la découverte en 1891 d'un dépôt important d'objets datant de l'âge du bronze final (outils, bouterolles, etc.). Ce dépôt a servi à définir l'horizon de Saint-Brieuc-des-Iffs, qui marque le début de l'industrie du bronze du secteur atlantique.

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

La paroisse semble avoir été créée au XIe siècle, par démembrement de la paroisse primitive de Tinténiac. La paroisse de Saint-Brieuc et celle des Iffs furent réunies en une seule du début du XIIIe siècle à 1629. Saint-Brieuc-des-Iffs aurait autrefois porté le nom de Saint-Brieuc des Vaux, probablement en raison des vallées qui percent les collines de Bécherel sur son territoire en direction de La Chapelle-Chaussée et de Saint-Symphorien.

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Saint-Brieuc-des-Iffs porte les noms de 13 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[14].

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Stèle au chevet de l'église, à la mémoire de Jean Nobilet et ses compagnons, martyrs de la Résistance.

Jean Nobilet, qui s'était distingué dans l'infanterie coloniale pendant la Première Guerre mondiale, et qui s'était installé comme agriculteur dans la ferme de la Talmachère, hébergera en 1943 un officier anglais, "George", du réseau Buckmaster et accepta d'organiser un parachutage d'armes destinées aux maquis dans ses champs le  ; les Allemands envahissent sa ferme le et arrêtent tous les hommes présents : Jean Nobilet[Note 4], son frère Albert Nobilet[Note 5],ses deux fils Mary[Note 6] et Jean Nobilet, et deux domestiques, Eugène Charpentier[Note 7] et Henri Levey[Note 8], tous déportés et morts la plupart au camp de concentration de Mauthausen, sauf Henri Levey, décédé à Melk en Autriche ( à l'exception du fils Jean Nobilet, le seul revenu vivant), ainsi que "George"[Note 9] et Louis Moyne[Note 10],son officier de liaison[15].

Le monument aux morts de Saint-Brieuc-des-Iffs porte les noms de 5 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[14].

Économie[modifier | modifier le code]

Principalement fondée autrefois sur le textile, comme l'attestent l'existence de maisons de tisserands et de fours à chanvre, l'économie reposait au XIXe siècle sur l'agriculture, l'extraction de pierre (carrières, inexploitées depuis 1970) et le bois (scierie). Elle est aujourd'hui essentiellement agricole ou basée sur des emplois extérieurs à la commune.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Saint-Brieuc-des-Iffs appartient à l'arrondissement de Saint-Malo depuis 2017 et au canton de Combourg depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle faisait partie du canton de Bécherel.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1986 de la troisième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Claudia Rouaux[16] (PS-NUPES). Auparavant, elle a successivement appartenu à la circonscription de Saint-Malo (Second Empire), la circonscription de Montfort (IIIe République) et la 1re circonscription (1958-1986).

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

De 1990 jusqu'à sa dissolution, Saint-Brieuc-des-Iffs appartenait à la communauté de communes du Pays de Bécherel. Elle a rejoint la communauté de communes Bretagne Romantique le .

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[17].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Maire en 1949   Louis Blaire    
mars 1959 juin 1995 Jean Henry[18]   Artisan-commerçant, maire honoraire (1995)
juin 1995 mars 2014 Maryvonne Texier   Exploitante agricole, maire honoraire (2014)
mars 2014 En cours
(au 26 mai 2020)
Rémi Couet[19] SE Charpentier
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

En 2021, la commune comptait 326 habitants[Note 11], en diminution de 4,12 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
479658613651578557565537544
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
541552570553547555522537504
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
456442433386361355332313314
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
280258257279288296352352361
2014 2019 2021 - - - - - -
340331326------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Brieuc.
  • Église paroissiale Saint-Brieuc : bâtie en granite de Bécherel et en calcaire du Quiou[24]
  • Détails[25]
    • Chaire en loupe d'orme de 1775[26]
    • Statues
  • Vieilles croix de chemin :
    • Croix du Pas de la Haie[27]
    • Croix de l'Embour[28]
    • Croix de la Picais[29]
    • Croix du Breil Marin[30]
    • Croix du vieux presbytère
  • Manoirs :
    • Ancien manoir de la Rivaudais, du quatrième quart du XVe siècle[31]
    • Ancien manoir de la Bougrais, avec chapelle intégrée[32]
    • Ancien manoir de Clairville
    • Ancien manoir de la Noë Mahé[33]
    • Ancien manoir de la Bécassais
    • Ancien manoir de la Talmachère
    • Ancien manoir de Lambourg
    • Ancien manoir de la Godelivais
    • Ancien manoir du Pas de la Haye
    • Ancien manoir de la Pontelais
    • Ancien manoir de Lessichère (vestige), four à pain
    • Ancien manoir de la Durantais
    • Ancien manoir de la Rabillère
    • Ancien manoir du Breil Marin
    • Ancien manoir de la Boscheraye
    • Ancien manoir de la Sifflais
  • Fermes :
    • Ancienne ferme de l'Hormondais, en bauge
  • Fours anciens :
  • Moulins :
    • Ancien moulin à eau de la Bougrais (ruines)
    • Ancien moulin à vent
  • Monument à Jean Nobilet et ses compagnons, martyrs de la Résistance[34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

Commune du Pays de Brocéliande

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Jean Nobilet, mort en déportation le .
  5. Albert Nobilet (1886-1944)
  6. Mary Nobilet (1920-1945)
  7. Eugène Charpentier (1902-1945)
  8. Henri Levey (1922-1945)
  9. On ignore le sort qui fut réservé à "George".
  10. Louis Moyne (1922-1945, déporté au camp de concentration de Neuengamme)
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Brieuc-des-Iffs et Le Quiou », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Le Quiou » (commune du Le Quiou) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Le Quiou » (commune du Le Quiou) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. a et b ACAM-MEMORIAL, « Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  15. Alain Lefort et Bernard Lucas, "Les hauts lieux de la Résistance en Bretagne", éditions Ouest-France, 1991 et http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=11016&dpt=35
  16. Elle remplace François André décédé en cours de mandat
  17. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  18. Ouest-France du 21 mars 1977.
  19. « Rémi Couet, nouveau maire de la commune », Ouest-France, 1er avril 2014.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Louis Chauris, Le calcaire du Quiou-Tréfumel ou « pierre de jauge », dans Le Pays de Dinan, 2006, p. 319-339.
  25. Notice no IA00007989, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  26. Notice no IM35001395, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  27. Notice no IA00008174, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  28. Notice no IA00008173, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  29. Notice no IA00007991, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  30. Notice no IA00007990, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  31. Notice no IA00007995, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  32. Notice no IA00007992, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  33. Notice no IA00007994, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  34. Eric Chopin, « Centenaire 14-18. Jean Nobilet, poilu en 14, résistant en 43 », sur ouest-france.fr, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Briard (J.) et Onnée (Y.), Le dépôt du bronze final de Saint-Brieuc-des-Iffs, Rennes, 1972 (Travaux du Laboratoire d'Anthropologie ; 41 pp. + 1 pl.)

Liens externes[modifier | modifier le code]