Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle

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Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle
Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle
La mairie.
Blason de Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté de communes Xaintrie Val'Dordogne
Maire
Mandat
Jean-Michel Teulière
2020-2026
Code postal 19430
Code commune 19189
Démographie
Population
municipale
39 hab. (2021 en diminution de 26,42 % par rapport à 2015)
Densité 6,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 03′ 37″ nord, 2° 03′ 45″ est
Altitude Min. 247 m
Max. 564 ou 571 m
Superficie 5,94 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Argentat-sur-Dordogne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Argentat-sur-Dordogne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle est une commune française située dans le département de la Corrèze, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Au sud du département de la Corrèze, en Xaintrie, la commune de Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle est limitée au nord par la Maronne, dont la partie amont de la retenue du barrage de Hautefage.

Le bourg de Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle, à la jonction des routes départementales 136 et 136E2, se situe, en distances orthodromiques, dix kilomètres à l'est-sud-est d'Argentat.

Le point culminant de la commune, situé à l'ouest, en deux endroits du bois de Chauvin, se trouve à 564 ou 571 mètres[Note 1]. L'altitude la plus basse se situe au nord-ouest, au niveau de la retenue du barrage de Hautefage, sur la Maronne à 247 mètres[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Seules trois communes entourent Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle : Saint-Geniez-ô-Merle au nord et au nord-est, Goulles de l'est au sud et Sexcles du sud-ouest au nord-ouest.

Communes limitrophes de Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle
Saint-Geniez-ô-Merle
Sexcles Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle
Goulles

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 307 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Privat à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 324,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle est une commune rurale[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argentat-sur-Dordogne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,8 %), prairies (49,3 %), eaux continentales[Note 4] (0,9 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 2,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 49 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage d'Enchanet, un ouvrage de classe A[Note 5] situé dans le Cantal et disposant d'une retenue de 92,7 millions de mètres cubes[20]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[21].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune se réfère à saint Bonnet, évêque de Clermont de 691 à 701. La seconde partie du nom mentionne les tours de Merle, ensemble médiéval proche, mais situé sur la commune voisine de Saint-Geniez-ô-Merle.

Histoire[modifier | modifier le code]

Sous la Révolution française, pour suivre un décret de la Convention, la commune change de nom pour Bonnet-le-Pauvre. Par délibération en date du , à la suite d'une demande du conseil municipal, Saint-Bonnet-le-Pauvre devient Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle (sous la présidence de Gaston Doumergue).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 2008 André Aumont    
mars 2008 2014 Michel Cueille    
mars 2014
(réélu en juillet 2020)
En cours Jean-Michel Teulière   Fonctionnaire

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Le la commune a reçu le trophée de la biosphère de l'UNESCO à Paris pour son engagement à la préservation de son cadre de vie[23].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 39 habitants[Note 6], en diminution de 26,42 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
251253278275276249255257260
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
249226249220221212216221219
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
21220319415413413212313097
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
919874717445434349
2018 2021 - - - - - - -
4539-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle est un village pittoresque, typique de la Xaintrie. Dans le bourg se trouve l'église saint-Bonnet du XIIe siècle avec clocher à peigne, et quelques anciennes fermes. Il présente des maisons bien restaurées, sous leurs hautes toitures de lauzes, d’ardoises ou de tuiles canals, typiques de l’architecture du pays.

Sur la route de Sexcles se situe le château du Rieux (ou du Rieu), juste à la sortie du village. Ce château où vécut le maréchal Ney, est une propriété privée (famille Brugnon) et ne se visite pas. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1931[28]. À son pied, les bâtiments du hameau de la Roffie sont d'anciennes dépendances du château.

La commune présente un petit patrimoine bâti varié (four à pain, fontaines, croix). Parmi ces dernières, le long du sentier de randonnée qui conduit vers la Maronne, se remarque la « croix de Laval », une grande croix en bois très originale, en remplacement d'une ancienne croix disparue, ex-lieu de procession connu et fréquenté par les habitants du village qui venaient y implorer la pluie. Peinte par un artiste contemporain, Bertrand Cholet, cette création récente est composée « d'aplats de couleurs primaires » qui rappellent les vitraux d'une église.

À proximité, les tours de Merle, situées sur un promontoire au-dessus de la Maronne, font partie de la commune de Saint-Geniez-ô-Merle.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Au nord de la commune, dans la partie comprise entre les barrages d'Enchanet et de Hautefage, les gorges de la Maronne sont répertoriées comme site Natura 2000[29]. Le réseau Natura 2000 est un ensemble de sites naturels européens, identifiés pour la rareté ou la fragilité des espèces sauvages, animales ou végétales et de leurs habitats. Les gorges de la Maronne, affluent de la Dordogne, abritent une biodiversité d'espèces végétales et animales remarquables à l'échelle nationale et européenne. Ainsi de nombreuses espèces rares et menacées sur d'autres territoires subsistent ici telles que la loutre d'Europe, une grande variété de chauves-souris, et des rapaces tels que l’aigle botté ou le milan royal.

Deux sentiers de randonnée sont balisés, l’un sur le plateau, l’autre dans les gorges de la Maronne.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Joseph Espalioux (1921-1986), artiste peintre né à Saint-Bonnet-le-Pauvre. Son œuvre est présente dans les musées de Castres, Albi, Pamiers, Frontignan, Brive-la-Gaillarde et Osaka.
  • Jean-Michel Teulière, chroniqueur radio à France Bleu Limousin et auteur de plusieurs ouvrages sur la nature en Limousin (Le Loup en Limousin, petite histoire d'une grande disparition, (Éd. Souny, 2002), L'incroyable histoire de Trana la Grue (Éd. Souny, 2004), Le Limousin côté Nature (Éd. CREN-2000, ouvrage collectif).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle Blason
D'argent à la bande de gueules accompagnée de six flanchis de même posés en orle.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Deux valeurs différentes selon le géoportail et l'IGN : 564 mètres dans les écrits, 571 mètres (en deux endroits) sur la carte au 1/15000.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[19].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle sur le site de l'Institut géographique national
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle et Saint-Privat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Privat » (commune de Saint-Privat) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Saint-Privat » (commune de Saint-Privat) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle », sur Géorisques (consulté le )
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  19. Article R214-112 du code de l’environnement
  20. « barrage d'Enchanet », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  22. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  23. Jean-Marc Grandclaude, « Le trophée de biosphère pour la commune », La Montagne, 3 octobre 2016.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Château du Rieux », notice no PA00099842, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 juillet 2015.
  29. FR7401103 - Vallée de la Dordogne sur l'ensemble de son cours et affluents sur le site de l'INPN, consulté le 12 juillet 2015.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]