Saint-Barthélemy (Haute-Saône)

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Saint-Barthélemy
Saint-Barthélemy (Haute-Saône)
Vue générale depuis le Mont de Vannes.
Blason de Saint-Barthélemy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes des mille étangs
Maire
Mandat
Francis Oudot
2020-2026
Code postal 70270
Code commune 70459
Démographie
Population
municipale
1 095 hab. (2021 en diminution de 3,1 % par rapport à 2015)
Densité 81 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 45′ 00″ nord, 6° 35′ 20″ est
Altitude Min. 324 m
Max. 708 m
Superficie 13,46 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mélisey
(banlieue)
Aire d'attraction Lure
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mélisey
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Barthélemy
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Saint-Barthélemy
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Saint-Barthélemy
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Saint-Barthélemy
Liens
Site web saint-barthelemy.cchvo.org

Saint-Barthélemy est une commune française, située dans le département de la Haute-Saône en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Barthélémy est située dans le nord-est de la Haute-Saône, dans les Vosges saônoises. La commune appartient au canton de Melisey, dans l'arrondissement de Lure. Saint-Barthélémy est limitrophe avec Melisey.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Topographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal dans son contexte local.
Vue générale de Mélisey et de Saint-Barthélemy.

La commune est située au pied du mont de Vannes, dans la haute vallées de l'Ognon.

Géologie[modifier | modifier le code]

Saint-Barthélemy est construite sur le plateau de Haute-Saône dans la dépression sous-vosgienne[1] et s'appuie sur le versant méridional du massif des Vosges[2]. Le territoire communal repose sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La rivière l'Ognon sépare les deux communes de Saint-Barthélémy et Melisey.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 386 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 10,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belfahy_sapc », sur la commune de Belfahy à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 9,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 913,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 35,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,7 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Barthélemy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mélisey, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[14] et 3 131 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lure dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,4 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), zones urbanisées (6,2 %), prairies (3,2 %), terres arables (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transport[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la RD73.

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune doit son nom au titulaire de l'église paroissiale : Saint-Barthélémy.

Histoire[modifier | modifier le code]

Vue aérienne ancienne.

Des mines de minerais métalliques sont exploitées aux XVe siècle et XVIe siècle sur les flancs du mont de Vannes[20].

À l'origine, Saint-Barthélémy appartenait à la baronnie de Melisey et dépendait de la terre de Faucogney. Elle est entrée dans le district de Lure et le canton de Melisey en 1790.

Il y avait autrefois un château à Saint-Barthélémy, à droite de la route actuelle en direction de Malbouhans. Il fut détruit en 1643 par Turenne. Aujourd'hui, seul subsiste le puits.

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Val-de-Melisey[21].

Le village compte de nombreux mineurs travaillant aux houillères de Ronchamp entre le XVIIIe siècle et le XXe siècle. Il fait alors partie du territoire du bassin minier[22]. La plupart des mineurs sont également agriculteur, la majorité vivent au hameau des Granges. Malgré l'éloignement des puits de mines qui sont creusés de plus en plus vers le sud, 32 mineurs sont encore recensés sur la commune en 1930[23]. La compagnie de Mourière possède une concession qui comprend une partie du territoire communal[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Carte départementale représentant en rouge la communauté de communes des mille étangs.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

Elle fait partie depuis 1793 du canton de Mélisey[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton s'est agrandi, passant de 13 à 34 communes.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté de communes des mille étangs depuis le .

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1895   Jules Antoine Thiault    
juillet 1928 juillet 1934 Marcel Thiault    
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1989 Maurice Giboulet PCF Entrepreneur
mars 1989 mars 2008 Maurice Landry-Chapitey PCF  
mars 2008[26] mai 2020 Denis Gillet   Retraité
mai 2020[27] En cours
(au 24 mai 2020)
Francis Oudot    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 1 095 habitants[Note 4], en diminution de 3,1 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7686816147569901 0321 0371 1361 196
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0821 1031 0501 0631 1121 0321 071957967
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
992940901848868834730719786
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
8108809501 0459979001 0961 1471 113
2021 - - - - - - - -
1 095--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Éducation[modifier | modifier le code]

La commune dispose depuis 2014 du pôle éducatif du Mont de Vannes, qui scolarise, pour la rentrée 2016/2017, 144 élèves de classes maternelles ou primaires issus des communes de Malbouhans, Montessaux et Saint-Barthélemy[31],[32], ainsi que d'un pôle périscolaire.

Vie locale[modifier | modifier le code]

L'association La Chormelotte organise de nombreuses animations dans la commune, et notamment un marché de Saint-Nicolas. Celui-ci est le plus gros marché de Noël couvert du département[réf. nécessaire]. Il a lieu chaque année le premier dimanche de décembre, dans la salle Maurice-Giboulet. Une soixantaine d'exposants sont présents (artisanat, produits locaux...).

En juin, l'association propose également un vide-grenier brocante, dont la 7e édition a eu lieu en 2016[33].

Depuis 2012, l'association Les Rendez-vous organise chaque année à la fin du mois d'août un concert de musique classique dans le cadre du Rendez-vous[34]. De prestigieux invités se sont succédé : Natalia Valentin, le Quatuor Eclisses, Nicolas Stavy, Guillaume Latour, Damien Luce et Juliette Salmona.

Économie[modifier | modifier le code]

L'économie de la commune est liée à la ville de Lure, où une partie de la population travaille.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église située au centre du village a la particularité d'être surmontée d'un clocher décoré de la croix de Lorraine. Elle fut construite en 1731. Avant cette date, Saint-Barthélémy faisait partie de la paroisse de Melisey.

Une tourbière est située en partie sur le périmètre de la commune, au lieu-dit étang du Sennepey. Longtemps utilisée comme décharge publique, cette tourbière est aujourd'hui recouverte de terre et végétalisée. Elle fait régulièrement l'objet d'études hydrogéologiques.

La commune possède deux monuments aux morts et des calvaires.

Des vestiges de l’exploitation minière du mont de Vannes subsistent sur les hauteurs de la commune[20]. Un arrêté de protection du biotope des chauve-souris est en vigueur dans ces mines[35].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Barthélemy Blason
Écartelé: au 1er d'or à deux tours couvertes de gueules pavillonnées d'azur, au 2e de sinople à trois gerbes de blé d'or, au 3e de sinople à la roue de moulin d'or, au 4e d'or à deux pics de mineurs de sables passés en sautoir, soutenu d'un croissant du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Jean-Paul Jacob et Michel Mangin, De la mine à la forge en Franche-Comté : des origines au XIXe siècle, Presses Univ. Franche-Comté, (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • L. Suchaux, La Haute-Saône : dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département, (lire en ligne)
  • Jean-Jacques Parietti, Les Houillères de Ronchamp vol. II : Les mineurs, Noidans-lès-Vesoul, fc culture & patrimoine, , 115 p. (ISBN 978-2-36230-001-1). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « La dépression sous-vosgienne », sur http://www.caue-franche-comte.fr/.
  2. [PDF] « Carte du massif des Vosges », sur http://www.massif-des-vosges.com/.
  3. Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Saint-Barthélemy et Belfahy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Belfahy_sapc », sur la commune de Belfahy - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Belfahy_sapc », sur la commune de Belfahy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Mélisey », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lure », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. a et b Jean-Paul JacobMichel Mangin 1990, p. 281-294.
  21. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 14.
  23. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 15.
  24. Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
  25. « Les maires de Saint-Barthélemy », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
  26. « Prêt pour un second mandat », L'Est républicain,‎ (lire en ligne) « À la tête de la commune depuis 2008 après un premier mandat de conseiller en 1983 et adjoint durant dix-neuf ans, son expérience de plus de trente ans dans les affaires communales et son statut de retraité lui permettent de voir demain de façon assez claire ».
  27. « Francis Oudot et son conseil sont installés », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Des élus à la cantine », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  32. « Une rentrée tranquille », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne) « Depuis septembre 2014, dans le cadre de l’ouverture dans la même enceinte du Pôle éducatif réalisé par le Syndicat du Mont de Vannes et du périscolaire mis sur pied par la CCHVO, les petits scolarisés en ce lieu ont la possibilité de prendre leur repas de midi tous les jours de classe, excepté le mercredi où ils ne sont présents que le matin ».
  33. « http://c.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2016/07/04/la-meteo-epargne-la-brocante », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  34. « Les Rendez-vous », sur Les Rendez-vous (consulté le ).
  35. INPN, « Plateau des Mille Étangs » [PDF], sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).