Saint-Armel (Ille-et-Vilaine)

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Saint-Armel
Saint-Armel (Ille-et-Vilaine)
L’église Saint-Armel.
Image illustrative de l’article Saint-Armel (Ille-et-Vilaine)
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Morgane Madiot (SE)
2020-2026
Code postal 35230
Code commune 35250
Démographie
Population
municipale
2 271 hab. (2021 en augmentation de 23,09 % par rapport à 2015en augmentation de 23,09 % par rapport à 2015)
Densité 293 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 00′ 42″ nord, 1° 35′ 26″ ouest
Altitude Min. 22 m
Max. 79 m
Superficie 7,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Janzé
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Armel
Liens
Site web www.saint-armel-35.fr

Saint-Armel est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 2 271 habitants[Note 1].

Ses habitants sont les Arméliens et les Arméliennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Armel est située à 13 km au sud de Rennes. La ville fait partie du canton de Janzé et de Rennes Métropole.

Communes limitrophes de Saint-Armel
Vern-sur-Seiche Nouvoitou
Saint-Armel
Bourgbarré Corps-Nuds
Carte de la commune de Saint-Armel.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le ruisseau de Prunelay coule du sud au nord, passe à l’est du bourg et se jette dans la Seiche. Celle-ci forme la limite nord de la commune[1].

Transports[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

La quatre voies de Rennes à Angers (ancienne route nationale 163 et actuellement route départementale 163) passe à l’ouest du bourg et forme une partie de la limite ouest de la commune.

Saint-Armel est desservie par le Service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) de Rennes Métropole via les lignes 73 (62 les vendredis et samedis soir et les dimanches et jours fériés) et 173ex.

Réseau ferré[modifier | modifier le code]

La gare de Saint-Armel sur la ligne de Châteaubriant à Rennes est desservie par le TER.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 717 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 691,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Armel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,3 %), terres arables (26,8 %), prairies (7,6 %), zones urbanisées (7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,1 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes attestées sont Bochod (VIe siècle), Sancto Ermagero (1152), Sancti Armagilli (1516)[15].

Son nom vient de Saint-Armel des Boschaux, moine d'origine galloise venu en Bretagne au VIe siècle.

La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Sant-Armael-ar-Gilli [15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les historiens s'accordent à penser[évasif] que le village tire son nom de saint Armel, comme Ploërmel et Saint-Armel dans le Morbihan. Ce célèbre saint du VIe siècle terrassa selon la légende locale un dragon dans une forêt voisine. Il fonda un monastère au lieu-dit les Boschaux, sur le territoire de l'actuelle commune, et c'est là qu'il mourut à une date sur laquelle les sources ne sont pas accordées, en 552 ou 570.

Traditionnellement, le dragon représente pour la chrétienté le paganisme. On peut donc supposer que cet acte de la mise à mort du dragon tient au fait que saint Armel a largement œuvré pour la christianisation de la commune et par la même provoqué le recul de la croyance païenne.

Une autre légende fondatrice mentionne le rôle que saint Armel joua durant la plus grave sécheresse connue de l'histoire de la commune. Une fois l'intégralité des puits asséché et l'ensemble des récoltes dévastée, la population désespérée supplia le saint de la délivrer de ses tourments. Saint Armel planta alors un bâton dans le sol et pria. L'eau se mit alors à jaillir abondamment de ce point pour, selon le saint, mettre éternellement à l'abri de la sécheresse la population. Cette fontaine miraculeuse existe toujours et est visitée chaque année par de nombreux chrétiens en quête de ses vertus miraculeuses. La voie qui y mène, le chemin de la Fontaine, commence devant la mairie de la commune.

On trouve d'ailleurs encore aujourd'hui dans l'église une relique, la mâchoire du saint.

Sur le territoire de la commune se trouve le château de Chambières, érigé en vicomté en décembre 1642 pour François Loaisel, président à mortier au parlement de Bretagne (en 1635), et unie ensuite (mars 1660) à son marquisat de Brie[16].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Circonscriptions de rattachement[modifier | modifier le code]

Saint-Armel appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Janzé depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle était rattachée au canton de Châteaugiron.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la cinquième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Christine Le Nabour (RE). Elle appartenait à la circonscription de Rennes sous le Second Empire puis à la deuxième circonscription de Rennes sous la IIIe République et enfin à la 2e circonscription (Rennes-Sud) de 1958 à 1986.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Le , la commune intègre Rennes Métropole (anciennement Rennes District). Avant cette date, Saint-Armel était ce qu'on appelle une commune isolée, c'est-à-dire n'appartenant à aucune structure intercommunale.

Saint-Armel fait aussi partie du Pays de Rennes.

Institutions judiciaires[modifier | modifier le code]

Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal judiciaire (qui a remplacé le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le 1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[17].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1900 1904 Pierre Frogerais    
1904 1912 Pierre-Marie Marolle    
1912 1929 Augustin Picquerel   Minotier
Réélu en 1919[18] et 1925
1929 1956 Louis Bourdon père UN Directeur d'un magasin de vêtements
1956 1971 Louis Bourdon fils    
1971 1983 Charles Miorcec de Kerdanet    
1983 1985 Lucien Boyer    
1985 25 mars 1989 Pierre Grosdoy    
25 mars 1989[19] 14 mars 2008 Daniel Trotoux PS Technicien à la ville de Rennes,
maire honoraire
14 mars 2008 25 mai 2020 Pierric Houssel SE Responsable d'agence bancaire
25 mai 2020 En cours Morgane Madiot[20] SE Cheffe de projet
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 2 271 habitants[Note 4], en augmentation de 23,09 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
501653581672645607646652648
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
650644577519559604624600576
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
616558549476484456450505518
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
5217168091 0031 2901 3931 6501 7211 756
2014 2019 2021 - - - - - -
1 8202 2062 271------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Il y a 207 fiches d’inventaire d'éléments du patrimoine pour la commune[25]. Parmi eux :

  • L'église Saint-Armel, dédiée à saint Armel, est le seul monument historique protégé de la commune ; elle a été inscrite en 1988[26]. Elle renferme un chemin de croix de style art déco, réalisé par le peintre breton Louis Garin en 1932, en plâtre moulé peint faux bois et doré. signé en creux dans l'angle inférieur gauche[27].
  • La fontaine Saint-Armel : cette fontaine de dévotion était le lieu traditionnel de dévotion au saint (sa première mention date de 1624 lors d'une épidémie de peste, mais elle est certainement plus ancienne : selon la tradition, c'est saint Armel qui aurait fait jaillir l'eau une année de sécheresse). Vers 1875 elle était dans un état lamentable, mais fut restaurée peu après, et ornée d'une statue de style sulpicien (remplacée depuis par une statue plus ancienne) afin de remettre à l'honneur le pèlerinage[28] effectué notamment pour invoquer la pluie : pour ce faire, on trempait le pied de la croix dans l'eau da la fontaine[29].

Monuments aux morts[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts se situe sur la place de l'Église. Il a été commandé par la municipalité en hommage à la mémoire de ses enfants morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale. Par la suite, les noms de ceux morts pendant la Seconde Guerre mondiale ont été ajoutés[Note 5].

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. La liste des noms de ces deux guerres se trouve sur le site MemorialGenWeb

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Prunelay (J7445600) ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Armel et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rennes-Saint-Jacques » (commune de Saint-Jacques-de-la-Lande) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Rennes-Saint-Jacques » (commune de Saint-Jacques-de-la-Lande) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Résultats concernant « Saint-Armel » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
  16. Éric Thiou, Dict. des Titres... (2003), pages 87 (Chambières) et 77 (Brie).
  17. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  18. « Les élections des maires : arrondissement de Rennes », L'Ouest-Éclair, 11 décembre 1919, no 7269 (lire en ligne)
  19. « Daniel Trotoux brigue un quatrième mandat aux municipales », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Municipales à Saint-Armel. Une femme maire de la commune pour la première fois », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Stéphanie Ménard et Sabrina Dalibard, « Les églises, chapelles, croix de chemin et cimetière sur la commune de Saint-Armel », sur patrimoine.bzh (consulté le ).
  26. « Église Saint-Armel », notice no PA00090762, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Véronique Orain, « Église paroissiale Saint-Armel (Saint-Armel) », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  28. « Fontaine de dévotion Saint-Armel, chemin de la Fontaine (Saint-Armel) », sur patrimoine.bzh (consulté le ).
  29. Hélène Barazer, Exposition sur les fontaines bretonnes à la chapelle Sainte-Brigitte d'Audierne, https://www.letelegramme.fr/finistere/audierne-29770/exposition-sur-les-fontaines-bretonnes-a-la-chapelle-sainte-brigitte-daudierne-6382999.php.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]