Rubrouck

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Rubrouck
Rubrouck
Le presbytère de Rubrouck.
Blason de Rubrouck
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté de communes de Flandre Intérieure
Maire
Mandat
Luc Everaere
2020-2026
Code postal 59285
Code commune 59516
Démographie
Gentilé Rubrouckois
Population
municipale
919 hab. (2021 en diminution de 3,26 % par rapport à 2015)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 50′ 22″ nord, 2° 21′ 23″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 65 m
Superficie 14,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Dunkerque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Wormhout
Législatives Quinzième circonscription
Localisation
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Rubrouck
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Rubrouck
Liens
Site web http://www.rubrouck.fr/

Rubrouck (Rubroek en néerlandais[1]) est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Rubrouck dans son canton et son arrondissement.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 786 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Watten à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 822,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rubrouck est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (98,3 %), zones urbanisées (1,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Rubroch (1104), Rubruch (1113), Rubruc (1139), Rubroc (1183, 1194, 1203), Rosbruc (1168-91), Rubroec (1215), Rubruec (1218), Rubruech (1221).

Le nom proviendrait du germanique rūha- (rugueux, couvert de broussailles) et de brōka- (marais)[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Rubrouck est connu du fait de Guillaume de Rubrouck, moine franciscain (ordre des Frères mineurs), proche du roi Louis IX (Saint-Louis), qui s'est rendu en Asie plus précisément en Mongolie, au XIIIe siècle avant le célèbre Marco Polo.

En 1190, Philippe d'Alsace, comte de Flandre, autorise l'abbaye de Watten à accepter de Thierri de Rubrouck et de ses héritiers des redevances annuelles en froment, avoine et quatre sous, provenant de l'épier (ou espier, terres cultivées en grains) de Saint-Omer[15].

En 1218, Adam, évêque des Morins (évêque de Thérouanne), et le prévôt de Saint-Omer, chargés de statuer sur un différend survenu entre le chevalier Walter (Gautier) de Rubroec et l'abbaye de Bourbourg, au sujet d'une dîme située à Rubroec, déclarent que cette dîme appartient au monastère[16].

Il va être beaucoup question de la dîme de Rubrouck dans les années suivantes :

En 1224, « Jean de Bailleul, chevalier, déclare que, forcé par la nécessité, il a, du consentement de Aélis, sa femme, de Beatrix, sa mère, de Thomas et Gérard, ses frères et de ses autres héritiers, vendu à l'église de Watten deux coins (angulos) de la grande et petite dime de Rubrouc, moyennant 30 livres parisis, déclarant qu'au besoin il donne l'équivalent sur sa terre de Bailleul »[17]

« Michel de Bollers, connétable de Flandre, déclare que Béatrix, Marguerite et Mabile, sæurs de Jean de Bailleul, ont reconnu devant lui et devant ledit Jean, chevalier, Gui de Burke, Gérard de Hardifort et Jean d'Erentere, hommes de Jeanne, comtesse de Flandre et de Hainaut, n'avoir aucun droit sur la dîme de Rubrouc, que ledit Jean a aliénée au profit de l'église de Watten, moyennant 40 livres et 100 sols parisis »[17].

« La même anné, Jeanne, comtesse de Flandre et de Hainaut, déclare que la vente de la dîme de Rubrouc, par Béatrix et Jean de Bailleul, a été faite du consentement de Thomas et Gérard , ses frères et que Jean de Bailleul, pour garantir l'église de Watten contre toute réclamation de la part de sa femme relativement à l'aliénation »[17].

« En 1247, Pierre, évêque de la Morinie ainsi que Marguerite, comtesse de Flandre et de Hainaut déclare que Pierre et Gérard, fils de Jean de Bailleul ont renoncé à leurs droits sur la dîme vendue à l'église de Watten par leur père et mère »[17].

« En 1264, l'official de la Morinie déclare que Thierry de Bailleul, chevalier, Agnès, sa femme, Jean Kint et Maroie, sa femme, ont reconnu que Thierry, et Agnès, sa femme, ont donné à l'église de Watten une dime située à Rubrouc, dime qu'ils avaient achetée de Jean Kint et de Maroie, sa femme. La même année Marguerite, comtesse de Flandre et de Hainaut, charge son bailli de Cassel de donner son consentement à la donation faite par Thierry de Bailleul de la dime de Rubrouc, achetée par lui à Jean Kint, avec remise de ses propres droits sur cette dime »[17].

En 1251, maître Jean de Rubroec, doyen de l'église Sainte-Walburge de Furnes, lègue une rente annuelle de 100 sous, pour permettre à un clerc pauvre de continuer ses études de théologie[18].

En 1263, Guillaume de Hondschoote, prévôt du chapitre de Sainte-Walburge de Furnes, nomme avec le chapitre, un arbitre chargé de terminer le différend existant entre les habitants de Rubroc (Rubrouck) et l'abbaye de Watten[19], (rebond de l'ancienne affaire des années 1220 ou lien avec le don de Jean de Rubroec de 1251?).

En 1297, le comte de Flandre Gui de Dampierre est en guerre contre le roi de France Philippe IV le Bel, mais perd la partie. En 1298, Gilles de Haverskerque, seigneur de Watten, qui a suivi le parti du roi est récompensé en recevant de Raoul II de Clermont-Nesle lieutenant du roi, la juridiction et les biens que le comte Guy possédait dans plusieurs villages de Flandre dont Rubrouck, et qui lui ont été confisqués, (confiscation sans doute temporaire)[20].

En 1300, le doyen et trésorier de l'église Sainte-Walburge de Furnes déclare que Marguerite, Élisabeth et Catherine de Rubrouc ont vendu une rente à l'église Saint-Nicolas de Furnes[21].

Du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Cassel[22].

Révolution française[modifier | modifier le code]

Sous la Révolution française, les communes de la Flandre maritime ont opposé une résistance plus ou moins ouverte aux mesures prises par les révolutionnaires, en particulier, sous la Convention nationale, contre la religion. À Rubrouck, contrairement à ce que voulaient les révolutionnaires , l'église n'a jamais été fermée[23]. En revanche, le curé (Pierre-Joseph du Buy) et le vicaire de Rubrouck ont quasiment immédiatement accepté de prêter le serment voulu par la constitution civile du clergé, ce qui dans le contexte de la Flandre française, profondément catholique et conservatrice est resté peu fréquent : dans le diocèse d'Ypres, seuls 5 prêtres (prêtres d'Uxem, Killem, Quaëdypre, Socx, Rubrouck) sur 67 acceptèrent de jurer ce serment[24]. Ayant prêté serment, ils doivent cependant compter avec le travail de sape mené en mars- par un père récollet qui se rend chez de nombreuses personnes du village pour leur affirmer que le curé et le vicaire sont des hérétiques, que l'absolution prononcée par eux n'a aucune valeur, etc.[25].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Rubrouck

Les armes de Rubrouck se blasonnent ainsi : « De gueules au lion d'argent, armé et lampassé d'or. »

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Maire de 1802 à 1807 : Rémy Leurs [26],[27].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1951 1971[33] A. Deheunynck    
mars 1989 Joseph Demeester    
mars 2001 Michel Devulder DVD  
mars 2008 Josiane Monborne    
mars 2014 Christine Devulder    
En cours Luc Everaere
Réélu pour le mandat 2020-2026[34]
   
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2021, la commune comptait 919 habitants[Note 3], en diminution de 3,26 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3151 4571 5491 4961 4291 5161 5591 5741 512
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4171 3961 3981 3901 3771 3351 2871 3051 270
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2081 2101 1551 0941 026936913910840
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
812724681674702772882947944
2021 - - - - - - - -
919--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 469 hommes pour 467 femmes, soit un taux de 50,11 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,0 
4,2 
75-89 ans
4,2 
11,0 
60-74 ans
12,1 
21,5 
45-59 ans
20,3 
22,5 
30-44 ans
21,7 
16,7 
15-29 ans
19,9 
23,7 
0-14 ans
21,7 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Un chemin de randonnée pédestre de 9,9 km, le « Circuit des mares », traverse le village et permet de découvrir la campagne environnante[41]. Il en existe une variante plus courte de 7,1 km[42].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Rubrouck est un joli village avec de nombreuses demeures traditionnelles de brique aux alentours de l'église.

Musée en mémoire de Guillaume de Rubrouck.
  • Maison de Guillaume de Rubrouck

Ce petit musée situé à côté de l'église Saint-Sylvestre est consacré à la mémoire de Guillaume de Rubrouck ainsi qu'aux relations entretenues par le village de Rubrouck et la Mongolie. Traditions, culture, artisanat mongols, etc. y sont présentés par de nombreux documents, costumes, objets...

Église Saint-Sylvestre (avril 2009).
  • Église Saint-Sylvestre

Un typique petit cimetière clôturé par des haies entoure l'église Saint-Sylvestre de type " hallekerque " (église-halle) à trois vaisseaux, avec une massive tour de 1532 à l'ouest. Elle abrite un très bel ensemble mobilier : retables du XXIIIe siècle, confessionnaux du XVIIe siècle, chaire de vérité...

Oude Hofstede (vieille ferme-manoir).

Depuis 2009, Rubrouck fait partie du réseau Village Patrimoine, coordonné par les Pays de Flandre.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

  • La commune est jumelée depuis 1994 avec le sum de Bulgan, Khovd Aïmag en Mongolie.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Rubrouck et Watten », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Watten » (commune de Watten) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Watten » (commune de Watten) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dunkerque », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 867 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le )
  15. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome II Année 1190
  16. Alphonse Wauters, op. cit., Tome III, Année 1218.
  17. a b c d et e Annales du Comité flamand de France, Comité flamand de France, (lire en ligne), p. 328-331.
  18. A. Wauters, op. cit., Tome V, Année 1251.
  19. A. Wauters, op. cit., Tome V, Année 1263.
  20. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VI, Année 1298.
  21. A. Wauters, op. cit., Tome VI, Année 1300.
  22. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 65, lire en ligne.
  23. Christian Bonnet, « La résistance à la Déchristianisation de l’An II en Flandre française », dans Église, vie religieuse et Révolution dans la France du Nord, Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion, coll. « Histoire et littérature du Septentrion (IRHiS) », (ISBN 978-2-905637-88-8, lire en ligne), p. 89–99.
  24. Abbé L. Harrau, Edmond-Louis Blomme, « Le manuscrit de M. P.-C. Blanckaert, curé-doyen de Wormhoudt », dans Bulletin Union Faulconnier, tome V, Dunkerque, 1902, p. 204, lire en ligne.
  25. Joseph Deschuytter, L'esprit public et son évolution dans le Nord, de 1791 au lendemain de Thermidor, An II, Tome I, 1er janvier 1959 (ISBN 978-2-307-02260-2),[lire en ligne].
  26. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
  27. « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807. », p. 148-149 (images 178-179)..
  28. Almanach du commerce du Nord Année 1854
  29. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1901 à 1914
  30. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1922 à 1929
  31. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1929 à 1935
  32. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1936 à 1939
  33. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1952 à 1971
  34. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21599233
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rubrouck (59516) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  41. « Circuit des mares », sur Cirkwi (consulté le ).
  42. « Circuit des mares_variante », sur Cirkwi (consulté le ).