Ravenel

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Ravenel
Ravenel
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau Picard
Maire
Mandat
Gérard Leroy
2023-2026
Code postal 60130
Code commune 60526
Démographie
Gentilé Ravenelois, Raveneloises
Population
municipale
1 054 hab. (2021 en diminution de 6,89 % par rapport à 2015)
Densité 91 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 59″ nord, 2° 30′ 07″ est
Altitude Min. 88 m
Max. 135 m
Superficie 11,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Ravenel

Ravenel est une commune française située à soixante-quatorze kilomètres de Paris, et se trouve dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Ravenelois et les Raveneloises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Ravenel est un village situé au nord de l'Oise, sur le plateau picard et dans la région naturelle du Santerre. Il tire son nom de la ravenelle, fleur de la famille des crucifères, forme sauvage du radis. Ravenel est située dans le département de l'Oise. Ses habitants sont appelés les Ravenelois et les Raveneloises.

La commune s'étend sur 11,6 km² et est située à 26 km au nord-ouest de Compiègne, la plus grande ville aux alentours.

Situé à 115 mètres d'altitude, aucun cours d'eau ne traverse le village de Ravenel.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Ravenel est entourée par les communes d'Angivillers, Léglantiers, Maignelay-Montigny et Le Plessier-sur-Saint-Just.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 672 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ravenel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,4 %), zones urbanisées (5,4 %), forêts (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 487, alors qu'il était de 486 en 2013 et de 479 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 93 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 6,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ravenel en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,6 %) inférieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Ravenel en 2018.
Typologie Ravenel[I 1] Oise[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 93 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,6 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 6,4 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 662, 683 et 6304 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ravenel (1163) ; Petrus de Ravenel (1238) ; de Raisnello (1250) ; Ravenellum (1258) ; Johanni de Ravenel (vers 1269) ; villa de Ravenello (1272) ; de Ravenello (1292) ; Resnellum (vers 1295) ; Ravenes (1418) ; Lancelot de Ravenel (1423) ; Ravenel les Montdidier (1537) ; Ravenelles (1537) ; Ravenay en Beauvoisis (1547) ; Ravenallum (1613) ; Ravenelle (1667)[14].

Ravenel, dérivé de l'ancien français ravene avec le suffixe diminutif -el[15], issu du latin raphanus désignant un champ de raiforts, toponyme fréquent lié aux cultures des raves, c'est aussi un surnom de cultivateur de radis.

Histoire[modifier | modifier le code]

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Au XVIe siècle, Ravenel appartient au duché d'Halluin. Grands constructeurs, les Halluin ont fait édifier des églises remarquables. Celle de Ravenel en est un exemple, construite vers 1550.

Epoque contemporaine[modifier | modifier le code]

L'ancienne gare sur la Ligne Estrées-Saint-Denis - Froissy - Crèvecœur-le-Grand.

Ravenel est desservi à partir de 1891 par la ligne Estrées-Saint-Denis - Froissy, prolongée jusque à Crèvecœur-le-Grand en 1911. Cette ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique faisait partie du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise. Cette ligne avait un fort trafic betteravier, mais facilitait également les déplacements des habitants jusqu'à sa fermeture en 1961. C'est donc la dernière ligne secondaire exploitée dans le bassin parisien.

Horaires de la ligne en mai 1914.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Au cours de la Bataille de France de 1940, la 4e division d'infanterie coloniale française doit se replier dans le secteur de Saint-Just-en-Chaussée avec mission de retarder le plus possible l'avancée de l'armée allemande. Le , des troupes du 24e régiment de tirailleurs sénégalais subissent à Ravenel, de violents tirs d'artillerie. Le régiment doit se replier, une compagnie retranchée dans la gare tente de ralentir la progression de l'ennemi. Vingt tirailleurs sont tués lors de cet affrontement, des blessés sont achevés par l'ennemi[16].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Saint-Just-en-Chaussée[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Saint-Just-en-Chaussée porté de 29 à 84 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Ravenel est membre de la communauté de communes du Plateau Picard, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[18]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1793 1796 Joseph Fore    
1796 1808 Toussaint Calais    
1808 1813 François Pillon    
1813 1830 M. Pondre de Ravenel   Marquis
1830 1840 Adolphe Pillon    
1840 1844 M. de Chazelles   Vicomte
1844 1848 Adolphe Pillon    
1848 1856 M. de Chazelles   Vicomte
1856 1869 Ambroise Leroy Heudel    
1869 1871 Adolphe Pillon    
1871 1886 Hippolyte Bouche    
1886 1896 Edmond Ratisbonne    
1893 1901 Ernest Langlois    
1901 1903 Joseph Trubert    
1903 1912 Marie-Alphone Ratisbonne    
1912 1919 Louis Émile Gaillet    
1919 1925 Philémon Lemaire    
1925 1945 Alberft Roussel    
1945 1947 Adolphe Desnain    
1947 1953 Pierre Pillon    
1953 1959 Robert Hersant[19],[20] Rad. Patron de presse
Maire de Liancourt (1967 → 1974)
Député de l'Oise (3e circ) (1958 → 1978 et 1986 → 1978)
1959 1965 Julien Delormel    
1965 1983 René Leroy    
1983 1995 Gilbert Decuignière    
1995 2008 Jean-Pierre Portemer[21] DVG[22] Ancien combattant
mars 2008 avril 2023[23] Bernard Merlin[24],[25] SE Démissionnaire
juillet 2023[26],[27] En cours
(au 14 juillet 2023)
Gérard Leroy   Retraité

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 1 054 habitants[Note 3], en diminution de 6,89 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0171 0541 1431 0681 0221 0509901 0321 025
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0221 0541 0541 0731 1001 0561 0201 0161 015
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0241 077989892923850855839834
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
9038988809019091 0181 1141 1421 139
2018 2021 - - - - - - -
1 0811 054-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 552 hommes pour 529 femmes, soit un taux de 51,06 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
0,2 
5,6 
75-89 ans
5,7 
13,9 
60-74 ans
18,9 
25,7 
45-59 ans
24,0 
16,5 
30-44 ans
18,3 
17,2 
15-29 ans
15,9 
20,3 
0-14 ans
17,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Ravenel compte un monument historique sur son territoire :

  • Église de la Nativité-Notre-Dame (classée monument historique en 1919[33]) :
    L'église paroissiale est un édifice vaste, élevé et cruciforme. Le chœur et le clocher datent de la fin du XVIe siècle. La nef, où l'on remarque des colonnes cannelées, a été reconstruite au cours du XVIIIe siècle.
    Les fonts baptismaux sont sculptés. Le portail date de 1780. La partie la plus curieuse de cet édifice est le clocher gothique flamboyant de 1550, placé au-dessus du croisillon nord, de 45 mètres de hauteur. Il est divisé en trois étages et terminé par une coupole. On y distingue les chiffres de Henri II et de Diane de Poitiers[34],[35].

Plusieurs objets présents dans l'église sont classés monument historique[36].

On peur également signaler :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • José Broissart, international français de football né à Ravenel le

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Ravenel Blason
De gueules à un ravenel au naturel[37].
Détails
Armes parlantes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Ravenel et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Ravenel », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 466.
  15. Maurice Lebègue, Les Noms des communes du département de l'Oise, Musée de Picardie, , p. 174.
  16. « Circuit des tirailleurs - Juin 1940 », sur picardie-1939-1945.org (consulté le ).
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « Coup d'oeil sur le passé : les maires de Ravenel depuis 1793 », Ravenel - les informations communales, no 13,‎ , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
  19. Marie-Dominique Arrighi et Nicole Gauthier, « Un bâtisseur d'empire à l'ombre du pouvoir : Robert Hersant a mené de front son entreprise et une carrière politique ambiguë », Libération ,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Peut commencer alors sa carrière politique. Il est d'abord élu à la mairie de Ravenel (Oise) en 1953, puis à celle de Liancourt de 1967 à 1974. En 1956, il est élu député radical-mendésiste de l'Oise sous l'étiquette Union démocratique et socialiste de la Résistance (UDSR), dirigée par François Mitterrand, avec lequel il partage le même sentiment antigaulliste ».
  20. Alain Salles, « Robert Hersant, le soufre et la plume », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ) « 1956 est une année-clé. Robert Hersant savoure ses premiers succès. Il est à la tête depuis six ans de L'Auto-journal, qui est un succès, et d'Oise-Matin depuis 1952, qui assure sa propagande électorale. En 1953, il est amnistié et devient maire de Ravenel, dans l'Oise, où il est élu député, comme candidat du Front républicain mené par Pierre Mendès France et François Mitterrand ».
  21. Céline Sol, « Jean-Pierre Portemer avait passé 37 années au sein de la mairie », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
  23. Lucien Djani, « Le maire de Ravenel, Bernard Merlin, a démissionné : L’élu est contraint de se retirer pour raisons de santé. Le premier adjoint, Gérard Leroy, va gérer les affaires courantes et le nouveau processus électoral. Bernard Merlin occupait les fonctions de maire depuis 2020. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Depuis le 7 décembre 2022, Bernard Merlin avait d’ailleurs remis l’ensemble de ses délégations à Gérard Leroy, premier adjoint. Dès que les services de la préfecture valideront la démission, Gérard Leroy sera en charge, comme il l’est déjà d’ailleurs, de la gestion communale, dans l’attente d’élections complémentaires ».
  24. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les nouveaux habitants accueillis les bras ouverts : Mercredi 4 juin, Bernard Merlin, maire de Ravenel entouré de ses adjoints recevait les nouveaux habitants de la commune dans la salle des mariages. », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3293,‎ , p. 17 (ISSN 1144-5092).
  25. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Ils sont vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3606,‎ , p. 24.
  26. Lucien Djani, « Une seule liste devant les électeurs le 9 juillet à Ravenel : Ex-premier adjoint, Gérard Leroy présente une liste en vue de l’élection municipale partielle intégrale consécutive au décès du maire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Lucien Djani, « Gérard Leroy installé dans le fauteuil de maire de Ravenel (Oise) : Le conseil municipal qui a suivi l’élection du 9 juillet a permis à Gérard Leroy de succéder à Bernard Merlin, décédé en mai dernier », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Seul candidat au poste, Gérard Leroy a fait le plein, obtenant quinze voix ».
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Ravenel (60526) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  33. « Église de la Nativité de Notre-Dame », notice no PA00114829, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Dominique Vermand, Églises de l'Oise II, Paris, Nouvelles éditions latines, , 32 p. (ISSN 0151-0819), p. 22.
  35. Emmanuel Woillez, Répertoire Archéologique du Département de l'Oise, Paris, Imprimerie Impériale, , 216 p. (lire en ligne), p. 81.
  36. Les objets classés de l'église de la Nativité Notre-Dame sur la base Palissy
  37. http://ravenel.oise.free.fr/