Piney (Aube)

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Piney
Piney (Aube)
Piney, en 2018.
Blason de Piney
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
Arrondissement Troyes
Intercommunalité Communauté de communes Forêts, lacs, terres en Champagne
(siège)
Maire
Mandat
Christian Denormandie
2020-2026
Code postal 10220
Code commune 10287
Démographie
Gentilé Pinois, Pinoise
Population
municipale
1 447 hab. (2021 en diminution de 6,1 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 21′ 49″ nord, 4° 20′ 01″ est
Superficie 70,98 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Troyes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brienne-le-Château
Législatives Première circonscription
Localisation
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Piney
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Piney
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Piney
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Piney
Liens
Site web piney.fr

Piney est une commune française située dans le département de l'Aube et la région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune de Piney est située dans le département de l'Aube, à 21 kilomètres à l'est de Troyes sur la route de Saint-Dizier et Nancy. Elle est traversée sur sa partie est par l'Auzon.

Piney se situe sur le territoire du parc naturel régional de la Forêt d'Orient.

La superficie de Piney s'étend sur 7 098 hectares (soit 70,98 km2), ce qui en fait la plus grande commune du département de l'Aube, avec une altitude allant de 107 à 177 mètres.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 748 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mathaux-Étape », sur la commune de Mathaux à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 733,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Piney est une commune rurale[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Troyes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

La commune, bordée par des plans d’eau intérieurs d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac d'Orient et le lac d'Auzon-Temple, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (44,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,9 %), forêts (36,4 %), eaux continentales[Note 4] (18,1 %), prairies (4 %), zones urbanisées (1,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux[modifier | modifier le code]

Piney possède trois hameaux, d'anciennes communes rattachées au bourg au fil du temps.

  • Brantigny Le 27 pluviôse an III () la commune de Brantigny est rattachée à celle de Piney.
  • Villevoque En 1795 la commune de Villevoque est rattachée à celle de Piney.
  • Villiers-le-Brûlé En 1795 la commune de Villiers le Brûlé est rattachée à celle de Piney.

Outre ses hameaux, Piney possède également plusieurs écarts, qui sont les fermes de :

  • Rachisy, ancienne commune (le la commune de Rachisy est rattachée à celle de Piney).
  • Bonlieu.
  • Bellevue.
  • La Loge Madame.
  • Maurepaire.
  • Rozat.
  • La Goguette.
  • Le Buisson.
  • Maison forestière.

À noter également, La Maison du Parc : élément principal de la gestion et de l’animation du parc naturel régional de la Forêt d’Orient. Elle est située dans un ancien hôtel bourgeois troyen du XVIe siècle, qui était situé au quartier du Point du Jour à Troyes. Le bâtiment a été réimplanté en 1973 (inauguration le ) à son emplacement actuel. Une ancienne longère, initialement située à Lusigny-sur-Barse, a également été réimplantée derrière la Maison du Parc.

Histoire[modifier | modifier le code]

Piney était depuis le XIIe siècle une terre de Brienne et suivit donc le destin de cette famille. Après la première race, passage dans les mains des Enghien puis des Luxembourg.

Piney avait un château fort sur motte qui, en 1441 n'était déjà plus qu'un souvenir. Si la motte subsistait, les ducs de Piney-Luxembourg avaient une maison seigneuriale au milieu du bourg depuis 1607. Il était de pierre de bois avec huit chambres à feu, galeries, cabinets, cour, écuries, basse-cour, jardin et granges. Le duc François-Henri de Montmorency-Luxembourg y passait son année d'exil de 1681.

Duché de Piney[modifier | modifier le code]

La baronnie de Piney est tenue par la maison de Brienne depuis le Xe siècle. Elle passe dans la maison de Luxembourg en 1397, lorsque Pierre Ier de Luxembourg, déjà comte de Saint-Pol, hérite du comté de Brienne. En 1482, le comté de Brienne est dévolu à un cadet, Antoine de Luxembourg. Ce dernier transmet Piney en même temps que Brienne à sa descendance.

En 1576, le roi Henri III érige la baronnie de Piney en duché pour remercier François de Luxembourg de ses « bons et loyaux services ». Le duché comprend les terres d'Amance, Brévonnes, Champ-sur-Barse, Géraudot, Lesmont, Onjon, Pel-et-Der, Piney, Puits-et-Nuisement, Rouilly-Sacey, Val-d'Auzon, Vauchonvilliers, Vendeuvre. Même s'il est officiellement duc de Piney, François de Luxembourg se dit « duc de Luxembourg ».

Le titre passe successivement aux maisons d'Albert et de Clermont-Tonnerre avant de s'éteindre en 1878 dans la maison de Montmorency.

Napoléon est passé par Piney en 1814, au lendemain de la bataille de la Rothière. Il y a dormi une nuit, dans une maison qui fut celle de François de Luxembourg, premier duc de Piney par la grâce du roi Henri III. Qu'il ait fait ses études à Brienne-le-Château n'est que coïncidence.

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Les Templiers possédaient sur la commune :

  • Commanderie de Bonlieu.
  • La Loge Madame, maison secondaire des Templiers, qui dépendait de la commanderie de Bonlieu.
  • Maurepaire, maison secondaire des Templiers, qui dépendait de la commanderie de Bonlieu.

Lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple la commanderie de Bonlieu avec ses membres sont revenues aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 2001 Dominique Voix    
2001 2008 Hubert Finance    
2008 En cours Christian Denormandie[17],[18]
Réélu pour le mandat 2020-2026[19]
DVD Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Piney sont les Pinois, Pinoises.

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

En 2021, la commune comptait 1 447 habitants[Note 5], en diminution de 6,1 % par rapport à 2015 (Aube : +0,74 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2131 4581 0721 4281 5641 5531 5061 5641 541
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6241 6541 6331 5881 5901 5331 5611 3981 373
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3411 2911 2541 0631 2551 1841 0871 0681 082
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 0321 0051 0371 1121 1241 2261 2491 2521 518
2017 2021 - - - - - - -
1 4841 447-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,1 % la même année, alors qu'il est de 27,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 707 hommes pour 771 femmes, soit un taux de 52,17 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
2,9 
6,7 
75-89 ans
9,9 
16,0 
60-74 ans
16,1 
19,9 
45-59 ans
16,7 
19,7 
30-44 ans
19,9 
15,4 
15-29 ans
13,9 
21,9 
0-14 ans
20,5 
Pyramide des âges du département de l'Aube en 2020 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,1 
7,2 
75-89 ans
10,1 
17,3 
60-74 ans
18,2 
19,5 
45-59 ans
19 
17,8 
30-44 ans
17,4 
18,2 
15-29 ans
16 
19,3 
0-14 ans
17,2 

Culture[modifier | modifier le code]

Monuments[modifier | modifier le code]

Lieux de Culte[modifier | modifier le code]

  • Piney Église Saint-Martin, édifiée au XVIe siècle. Menacés de ruine, son chœur et son transept ont dû être démolis en 1877. C'était une paroisse du doyenné de Brienne, à la collation de l'évêque, elle avait comme succursales : Brantigny, Villeloque, Villers-le-Brûlé. L'église des XVIe et XVIIe siècles était sur un plan rectangulaire avec une abside en saillie, 31 m de longueur, 21,8 m pour la nef et 13 m de hauteur sous nef. L'abside à cinq pans était voûtée. Le portail était remanié en 1735. Mais menaçant ruine, elle devait être rebâtie au XIXe siècle. Le chœur et les transepts furent rebâtis en 1877 par l'architecte Roussel. Mais faute de crédits, de grandes parties furent détruites, car en mauvais état en 1884 et 1888.

Dans cette église le tableau « L'adoration de la Vierge » du XVIIè siècle replacé après restauration. Cette toile représente la Vierge adorée par Charles-Henri de Clermont-Tonnerre, duc de Luxembourg et de Piney et Marguerite-Charlotte de Luxembourg, accompagnée de Charlemagne et de sainte Marguerite[26]

Tourisme et Loisirs[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Cérémonie de la pose de la plaque de la rue Emmanuel-Leclainche à Piney le .

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

D’argent au lion de gueules, la queue fourchée, armé, couronné et lampassé d’or qui est Luxembourg, à la bordure soudée d’or chargée de huit quintefeuilles de gueules.

Le lion rouge, dressé et menaçant, est celui des ducs de Luxembourg d’Ardenne.

En 1214, on y ajoute une couronne pour marquer une prétention au marquisat de Namur. En 1226, on fourche la queue pour marquer la possession de deux fiefs : le Limbourg-Luxembourg et le Limbourg-Berg.

Élevé au rang de duché en 1254, le comté de Luxembourg d’Ardenne conserve la symbolique qui se transmet aux Luxembourg Saint Pol, comtes de Brienne et ducs de Piney.

En 1957, la direction des Archives de France sollicite la commune pour la création d’une marque symbolique urbaine. Ce sera le blason des Luxembourg-Piney auquel on ajoutera huit quintefeuilles de gueules qui soulignent l’appartenance de la ville au territoire de la forêt d’Orient.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Primaire[modifier | modifier le code]

  • École maternelle
  • École élémentaire

Secondaire[modifier | modifier le code]

  • Collège des Roises

Économie[modifier | modifier le code]

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Boulangerie
  • Restaurants
  • Bar-tabac-presse
  • Fleuriste
  • Hôtel
  • Commerce de proximité

Services publics[modifier | modifier le code]

  • Gendarmerie
  • Mairie
  • Communauté de communes "Forêts, Lacs, Terres en Champagne"

Santé[modifier | modifier le code]

  • Médecins
  • Dentistes
  • Kinésithérapeutes
  • Infirmiers
  • Psychologues
  • Sage femme
  • Orthophoniste

Infrastructures[modifier | modifier le code]

Routes[modifier | modifier le code]

Axe national

Axes secondaires

  • D 1 de Piney à Coursan en Othe (et limite Aube/Yonne)
  • D 11 de Piney à Chaumesnil
  • D 79 de Piney à Essoyes (et limite Aube/Côte-d'Or)
  • D 80 de Brantigny à la D180 (Saint-Christophe-Dodinicourt)
  • D 126 de Piney à la D5 (Onjon)
  • D 200 de Villiers-le-Brûlé à Auzon-les-Marais

Projet routier

  • Déviation de Piney par le nord

La déviation de la RD 960 est prévue par le nord entre le lieu-dit "la Potence" (à l'ouest) et le lieu-dit "Champ Picot" (à l'est). Cette déviation est inscrite dans le plan local d'urbanisme (P.L.U) mais aucune date d'étude ou de travaux n'est à l'ordre du jour.

Chemin de fer[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Piney et Mathaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Mathaux-Étape », sur la commune de Mathaux - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Mathaux-Étape », sur la commune de Mathaux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  14. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. Site officiel de la préfecture de l‘Aube
  18. Résultats du premier tour des élections municipales 2014
  19. https://reader.cafeyn.co/fr/1927222/21599459
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Piney (10287) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Aube (10) », (consulté le ).
  26. (Autour de Troyes) « Le retour d'un tableau du XVIIè siècle à l'église, une opération délicate » dans L'Est éclair 16 octobre 2023 page 11

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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