Oradour (Charente)

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Oradour
Oradour (Charente)
La mairie et le monument aux morts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Didier Lavergne
2020-2026
Code postal 16140
Code commune 16248
Démographie
Population
municipale
147 hab. (2021 en diminution de 19,23 % par rapport à 2015)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 54′ 27″ nord, 0° 01′ 50″ ouest
Altitude Min. 65 m
Max. 120 m
Superficie 14,40 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Charente-Nord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Oradour
Géolocalisation sur la carte : France
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Oradour
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Oradour
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Oradour

Oradour est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Oradour est une commune du Nord Charente située à 3,5 km au nord-ouest d'Aigre et 32 km au nord d'Angoulême, non loin de la Charente-Maritime et des Deux-Sèvres.

Oradour est aussi à 15 km au nord de Rouillac, 22 km au sud-ouest de Ruffec, 23 km à l'est de Matha[1].

À l'écart des routes importantes, la commune d'Oradour est longée au sud par la D 739 entre Aigre et Matha. La D 67 d'Aigre à Barbezières à l'ouest passe devant la mairie[2].

La gare la plus proche est celle de Luxé à 11 km, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune comporte les hameaux de Chillé et Germeville, et des fermes et lieux-dits comme le Coudret, le Perret, le Châtelet, Chanteraine, ... La mairie d'Oradour et l'église entourée de son cimetière sont situées au centre de la commune et isolées de toute autre construction[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes d’Oradour
Lupsault Saint-Fraigne
Barbezières Oradour Aigre
Verdille Mons

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme toute la moitié nord du département de la Charente. Le Kimméridgien occupe plus particulièrement la surface communale. Des alluvions du Quaternaire occupent les vallées[3],[4],[5].

Le relief de la commune est celui d'une plaine légèrement relevée à l'ouest, d'une altitude moyenne de 80 m. Le point culminant de la commune est à une altitude de 120 m, situé sur la limite sud. Le point le plus bas est à 65 m, situé le long de l'Aume à Germeville[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par l'Aume, le ruisseau de la couture, le ruisseau de la Citerne, le ruisseau de Saint-Sulpice et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 19 km de longueur totale[7],[Carte 1].

L'Aume, affluent de la Charente sur sa rive droite et qui passe à Aigre, arrose l'est de la commune, ainsi que son affluent, le Ruisseau de la Couture, qui descend de Couture-d'Argenson.

Leur large vallée commune est occupée par des marais, le marais de Germeville à l'est et le marais à Rouches d'Oradour au centre.

Le ruisseau de Saint-Sulpice qui naît sur la limite ouest de la commune passe à Chillé pour rejoindre ces deux marais.

Le ruisseau de la Citerne, à sec l'été et qui se jette dans l'Aume, limite la commune au sud.

On trouve quelques sources comme la Font Rougeaud près des marais de Germeville, le Creux Fumaud au sud de Chillé, et la fontaine de la Gaillotte au nord[2].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[8]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Oradour est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,2 %), zones agricoles hétérogènes (10,4 %), forêts (8,8 %), cultures permanentes (2,5 %), prairies (1,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Oradour est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Aume et le ruisseau de la Couture. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Oradour.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 43,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 146 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 74 sont en aléa moyen ou fort, soit 51 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Oratorium en 1131[21].

L'origine du nom d'Oradour est l'ancien occitan orador « lieu où l'on prie, chapelle », issu lui-même du latin d'église oratorium qui signifie « oratoire »[21],[Note 2].

Histoire[modifier | modifier le code]

Un prieuré aurait existé dès le XIe siècle au lieu-dit Chillé. Il appartenait au prieuré Notre-Dame de Lanville de l'ordre des bénédictins[22].

Près de Chillé dans les marais[Note 3] se trouve une grosse pierre calcaire plantée, appelée localement la Grosse Pierre. Il se peut que ce soit une borne seigneuriale délimitant au nord la principauté de Marcillac[23].

Une maison forte du XVe siècle a existé à Germeville, remplacée par un château en 1870[24]. Il s'agissait de l'ancien logis de Germeville.

Vers 1065, Raymond Guillaume, seigneur de Germeville, fait don de sa terre à l'abbaye de Saint-Jean-d'Angély.

Germeville était le siège d'un arrière-fief qui, au XVe siècle, appartenait à Antoine Valentin, écuyer, fils de Wastre Valentin, seigneur de Saint-Méxant. La branche cadette de la famille Valentin conservera Germeville jusqu'à la fin du XVIIe siècle.

En 1472, Louis XI autorise sont panetier, Patrice Valentin, seigneur de Saint-Méxant et de Germeville à y construire des maisons fortes.

En 1695, Valentin François, lieutenant dans le régiment de Durfort-Boissière, se marie avec Anne Faure. En 1738, c'est Bernard Faure, seigneur de Rencureau, qui se disait seigneur de Germeville.

Chillé était aussi le siège d'une seigneurie qui dépendait de la principauté de Marcillac. Cette terre, dans la seconde moitié du XVIIe siècle, semble avoir appartenu à François de Pindray, écuyer, seigneur de Montaigon, Ambelle et autres lieux, qui était aussi seigneur du Bouchet à Lupsault[23],[25].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2014 Yves Clément SE Retraité
2014 2020 Christian Rousseau   Retraité
2020 En cours Didier Lavergne   Retraité

Fiscalité[modifier | modifier le code]

La fiscalité est d'un taux de 17,53 % sur le bâti, 34,02 % sur le non bâti, 6,53 % pour la taxe d'habitation et 12 % de taxe professionnelle(chiffres 2007).

La communauté de communes prélève 2,61 % sur le bâti, 6,06 % sur le non bâti, 1,09 % pour la taxe d'habitation et 1,45 % de taxe professionnelle.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 147 habitants[Note 4], en diminution de 19,23 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
437675705773803861863853784
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
749780736718722641602624593
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
593557518483462425404392348
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
296259250225200203204185155
2021 - - - - - - - -
147--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 13,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 56,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 78 hommes pour 77 femmes, soit un taux de 50,32 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
5,2 
15,4 
75-89 ans
20,8 
33,3 
60-74 ans
37,7 
23,1 
45-59 ans
20,8 
7,7 
30-44 ans
7,8 
12,8 
15-29 ans
3,9 
6,4 
0-14 ans
3,9 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[32].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le prieuré Saint-Antoine, actuelle église paroissiale, dont il est fait mention au XIe siècle possède une façade qui semble dater du XIVe siècle et ses voûtes et sa couverture ont été refaites à la fin du XIXe siècle[33]. Sa cloche en bronze dite Marie-Elizabeth date de 1882[34].

L'actuel château de Germeville a été construit après 1870, à l'emplacement du logis du XVIIIe siècle qui avait remplacé la maison forte détruite. La chapelle date de 1874[24]. Il appartient à la famille Hériard-Dubreuil, qui possède le groupe Rémy Cointreau[35].

La Grosse Pierre est un menhir en pierre calcaire, situé à Chillé[36].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Avant les repeuplements du XVe siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans en Aquitaine, Angoumois et Saintonge étaient en langue d'oc et la toponymie dans les Charentes en garde de nombreuses traces. Voir aussi Oradour-Fanais en Charente limousine, Oradour-Saint-Genest, Oradour-sur-Vayres et Oradour-sur-Glane en Haute-Vienne.
  3. Marais du Dop sur la carte IGN.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Oradour » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  3. Carte du BRGM sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Aulnay », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale d'Oradour », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Oradour », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Oradour », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 509.
  22. « Prieuré de Chillé », notice no IA00040838, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  23. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 263-264
  24. a et b « Château de Germeville », notice no IA00040840, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  25. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 525
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Oradour (16248) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  32. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  33. « Église Saint-Antoine », notice no IA00040835, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  34. « Cloche de l'église », notice no IM16002109, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  35. SCI du château de Germeville
  36. (en) Taupin, « Menhir de Chillé », sur megalithic.co.uk (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]