Neo-Arcadia

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Neo-Arcadia était une salle d'arcade toulousaine ouverte le , inspirée par les game centers japonais.

La salle a fermé en .

Histoire[modifier | modifier le code]

À l'origine, Neo-Arcadia est un site francophone de jeu vidéo consacré aux jeux d'arcade[1] ouvert en 2002 par Romain Durand. Regrettant que les salles d'arcade françaises soient mal entretenues et non tenues par des passionnés, Romain Durand et son frère décident d'ouvrir une salle de jeu à Toulouse le , inspirés par les salles d'arcade japonaises comme celles d'Akihabara[2],[3]. Soutenue par l'association Neo-Arcadia SWGA, Neo-Arcadia importe ses machines directement du Japon, et vend des bornes à d'autres salles françaises ainsi qu'aux particuliers[3]. La salle reçoit le prix de la meilleure salle de jeux de France de 2009 à 2014[4] et inspire par son succès l'ouverture d'autres salles du même genre en France[3],[4].

La salle ferme le .

Concept[modifier | modifier le code]

La salle, d'une superficie de 100m², proposait toutes sortes de jeux, des jeux de course aux jeux musicaux, proposant parfois des bornes exclusives en Europe[5],[6]. Des tournois étaient organisés régulièrement, principalement de jeux de combat et de Dance Dance Revolution[7].

Lien externe[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Marc Pétronille et Florent Gorges, « Arcade : Neo Arcadia à Toulouse - La salle d'arcade frenchy sauce sushi », Pix'n Love, no 7,‎ , p. 58-61 (ISBN 9782918272007).
  2. la_redaction, « Une salle d'arcade toulousaine », sur jeuxvideo.com, (consulté le ).
  3. a b et c « La scène arcade en France : état des lieux », sur gamekult.com, (consulté le ).
  4. a et b Hugo-Pierre Gausserand, « Toulouse. Bayard : la salle de jeux, un lieu pilote du quartier », La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. Virgile Rasera, « L'arcade n'est pas encore mort dans l'hexagone ! », sur Jeuxvideo.fr, (version du sur Internet Archive).
  6. La Dépêche du Midi
  7. Joypad