Namps-Maisnil

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Namps-Maisnil
Namps-Maisnil
Église de Taisnil.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Catherine d'Hoine
2020-2026
Code postal 80290
Code commune 80582
Démographie
Gentilé Nampsois, Nampsoises
Population
municipale
1 005 hab. (2021 en augmentation de 0,8 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 48′ 13″ nord, 2° 06′ 28″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 149 m
Superficie 21,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Namps-Maisnil
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Namps-Maisnil
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Namps-Maisnil
Liens
Site web http://www.namps-maisnil.fr/

Namps-Maisnil [nɑ̃ps mɛnil] est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Cartographies de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte OpenStreetMap ; 2 : carte topographique ; 3 : avec les communes environnantes

Description[modifier | modifier le code]

Namps-Maisnil est une commune rurale du plateau picard, située au sud-ouest d'Amiens et au nord de Conty, approximativement au milieu de l'axe Amiens - Poix.

Elle est desservie par la gare de Namps-Quevauvillers, sur la ligne Amiens - Rouen (desserte TER Normandie et TER Picardie), elle est accessible par l'ancienne nationale 29 (actuelle RD 1029).

En 2019, la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France[1].

Quartiers, hameaux, lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Les anciennes communes de Namps-au-Mont, Namps-au-Val, Rumaisnil et Taisnil sont regroupées, le , formant la commune de Namps-Maisnil[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 731 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 23 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Namps-Maisnil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,1 %), forêts (25,7 %), zones urbanisées (5,5 %), prairies (1,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Néo-toponyme issu des noms des anciennes communes de Namps-au-Mont, Namps-au-Val, Rumaisnil et Taisnil
Maisnil est issu de l'oïl mesnil « habitation rurale , ferme , manoir »[15].

Namps-au-Mont est attesté sous les formes Nantum (1170) ; Nanz (1150) ; Nans (1150) ; Nansin monte (1235) ; Nemus montis (1259) ; Nans-Vinont (1337) ; Namps (1425) ; Namps-au-Mont (1648) ; Nausaumont (1638) ; Nampsaumont (1757)[16].

Namps-au-Val est attesté sous les formes Nans (1145-1146) ; Nans in valle (1259) ; Nans au Val (1301) ; Namps-au-Val (1648) ; Nampsauval (1757)[17].

Rumaisnil est attesté sous les formes Riemaisnil (1124) ; Reneletmesnil (1164-1190) ; Rehermaisnil (1184) ; Remaisnil (1184) ; Riesmaisnil (1203) ; Rainelet-Mesnil (1190) ; Raineri Menesius ; Rumaisnil (1301) ; Raimaisnil (XVIe siècle) ; Pugniville (1638) ; Rumelnit (1648) ; Regnivil (1657) ; Romesnil (1698) ; Rumesnil (1657) ; Rumenil (1761) ; Rumenil-sous-Tagny (1781)[18].

Taisnil est attesté sous les formes Taisny (1150) ; Tanny… ; Tagnacum… ; Taisniacum (1170) ; Thaisny (1236) ; Tainni (1274) ; Tigny (1579) ; Tagny (1657) ; Tagni (1733) ; Traisnil (1753) ; Taisnil (1757) ; Tagny-Voutaisnil (1781)[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des vestiges de villa gallo-romaine ont été retrouvés sur la commune[20].

Les villages dépendirent de plusieurs seigneuries d'Ancien Régime : Namps-au-Mont relevant de Famechon, Namps-au-Val de Rumaisnil (relevant elle-même de Picquigny), et Taisnil était une pairie de la châtellenie de Picquigny[20].

Namps-au-Val eut une activité industrieuse forte, puisque les trois frères Fouré acquirent en 1876 une machine à vapeur permettant de créer une fabrique de chaises. Cette entreprise fut connue sous le nom de Retourné-Mille en 1897, puis Retourné et Cie en 1912. Cette entreprise, qui fabriqua jusqu'à 600 pièces par jour, ferma en 1972[21].

En 1972, les quatre villages se regroupent administrativement pour constituer la commune de Namps-Maisnil[2].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Conty[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton d'Ailly-sur-Noye.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du canton de Conty, créée par un arrêté préfectoral du , et qui s’est substituée aux syndicats préexistants tels que le SIVOM et le SIVU de la coulée verte. Cette intercommunalité est renommée communauté de communes du Contynois en 2015, à la suite de la disparition du canton.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[22],[23]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [24], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[25].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest, dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [26].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 mars 2008 Michel Delamare   agriculteur retraité
mars 2008[27] 2014 Patrice Letalle    
mars 2014 En cours
(au 13 juillet 2020)
Catherine d'Hoine[28]   Vice-présidente de la CC Somme Sud-Ouest (2020 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026[29]

Pour le mandat 2020-2026, ont été élus maires délégués des anciennes communes :

  • Marc Deforceville pour Taisnil ;
  • Fabien Hamot, pour Rumaisnil ;
  • David Lainé, pour Namps-au-Mont[28].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 1 005 habitants[Note 3], en augmentation de 0,8 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
376395509502506460457430454
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
449435654420379363362344336
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
356354320293276276295293290
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3113068368909701 0021 0161 0181 010
2015 2020 2021 - - - - - -
9971 0101 005------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

En matière d'école primaire, chacune des quatre anciennes communes avait conservé son école.

Un centre périscolaire a été construit en 2014 à Namps-Maisnil. En , une nouvelle école de quatre classes ouvre pour la centaine d'élèves, regroupant toutes les activités en un seul lieu. Les anciens locaux scolaires ont été reconvertis : la classe de Taisnil est devenue une bibliothèque associative, celle de Namps-au-Mont devient la mairie-annexe de ce village celle de Namps-au-Val devient la mairie de la commune et l'agence postale communale, la mairie-annexe de Taisnil utilise l'ancien préau[33],[34].

Le collège de Conty accueille les élèves du secteur[33].

Cultes[modifier | modifier le code]

Par décision de l'évêque d'Amiens, depuis le , la commune de Namps-Maisnil dépend de la paroisse Saint-Simon du Molliénois.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Martin de Namps-au-Val, du XIIe siècle (restaurée au XIXe siècle est classée monument historique dès 1846), avec un clocher carré, une nef couverte en charpente, et le chœur voûté d'ogives[35].
  • L'église Saint-Martin de Taisnil.
  • L'église Notre-Dame de Namps-au-Mont.
  • L'église Notre-Dame de Rumaisnil.
  • La chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours à Namps-au-Val. Autrefois en torchis, dédiée à Notre-Dame de la Délivrance, elle est reconstruite en 1892, en bas de la route de Conty. Au-dessus de la porte : « Fondavit pietas, Redificavit charitas », « Fondée par piété, réédifiée par charité »[36].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Le château de Namps-au-Mont, construit par Meneslée-Hiacinthe de Bonnaire vers 1760-1765, en pierre, couvert en ardoise et entouré d'un parc. Le château de Namps-au-Mont est inscrit aux Monuments Historiques depuis 1976[37],[38] ;
  • Le château de Taisnil en brique et pierre : un corps de logis flanqué de deux ailes terminées par des pavillons[20] ;
  • L'ancienne usine de meubles Retourné-Mille[39] ;
  • Le cimetière militaire de Namps-au-Val, où sont inhumés 424 soldats, pour la plupart tués en mars-, durant la Première Guerre mondiale, 326 soldats britanniques, 24 canadiens, 57 australiens, 1 sud-africain, 16 français y reposent ainsi qu'un militaire français de la Seconde Guerre mondiale[21],[40].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • René Debrie, Toponymie de Namps-au-Val, Amiens, Eklitra, , 31 p.
  • Francis Blot, Histoire de Namps-au-Val.

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Namps-Maisnil et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 1418.
  16. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 98 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  17. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 98 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  18. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p.247 (lire en ligne sur DicoTopo) [3].
  19. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p.327 (lire en ligne sur DicoTopo) [4].
  20. a b et c « Namps-Maisnil »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du Quid (consulté le ).
  21. a et b Sylvie Godin, « Si les Namps m'étaient contés », Le bonhomme picard,‎ .
  22. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  23. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  24. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  25. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  26. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  27. Le Courrier picard édition Région d'Amiens du 5 avril 2008.
  28. a et b « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284,‎ , p. 34 (ISSN 1144-5092).
  29. « La composition du conseil municipal »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Mairie, sur namps-maisnil.fr (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. a et b « L'école »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la commune (consulté le ).
  34. « Les anciennes écoles de Namps-Maisnil reconverties : La sécurité aux abords de la nouvelle école, regroupant les anciens équipements, doit encore être améliorée », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « L'église Saint-Martin de Namps-au-Val », notice no PA00116208, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 162 (ASIN B000WR15W8).
  37. « Le Château de Namps-au-Mont », notice no PA00116207, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Le jardin d'agrément de Namps-au-Mont », notice no IA80000524, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Usine de sièges dite usine de meubles Retourne Mille, puis Retourne et Cie », notice no IA00076657, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Relevé biographique de soldats inhumés au cimetière militaire de Namps-au-Val », sur le site de franceGenWeb (consulté le ).