Médillac

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Médillac
Médillac
L'église Saint-Laurent au milieu du vignoble.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Joëlle Boizot
2020-2026
Code postal 16210
Code commune 16215
Démographie
Gentilé Médillacais
Population
municipale
153 hab. (2021 en diminution de 3,16 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 13′ 58″ nord, 0° 01′ 36″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 108 m
Superficie 5,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Médillac
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Médillac
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Médillac

Médillac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Médillacais et les Médillacaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Située dans le canton de Chalais, Médillac est la commune la plus au sud du département de la Charente. Elle est limitrophe à la fois des départements de Charente-Maritime à l'ouest et de Dordogne au sud-est.

Médillac est située à 5 km au sud de Chalais, le chef-lieu de son canton, et à 48 km au sud d'Angoulême. Elle est aussi à 9 km de La Roche-Chalais et de Saint-Aulaye, 12 km d'Aubeterre-sur-Dronne, 17 km de Montguyon, 65 km de Bordeaux[2].

La route la plus importante est la D 674, route d'Angoulême à Libourne, qui passe à l'est de la commune. La D 78 traverse le sud de la commune du nord au sud. Cette petite route longe la rive droite de la Dronne depuis Aubeterre et va en direction de Saint-Aigulin (Charente-Maritime). Elle coupe la D 674 près de Pont de Corps. Le bourg est aussi desservi par la D 136, qui mène à Chalais. La D 462 va à Rioux-Martin au nord-ouest et la D 463 au sud-ouest vers La Genétouze[3].

La voie ferrée Paris-Bordeaux traverse la commune, et Médillac possédait une gare, qui desservait aussi Parcoul, et qui était aussi l'embranchement de l'ancienne ligne vers Ribérac qui remontait la vallée de la Dronne.

La gare actuelle la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La mairie est située à un kilomètre au sud du bourg, à Pont de Corps près de l'ancienne gare.

La commune compte de nombreuses fermes et quelques autres hameaux : Devanne, la Gayaudrie, Guildon jouxtant le bourg, etc.[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Médillac est limitrophe de six autres communes, dont deux en Charente-Maritime et une en Dordogne.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La quasi-totalité de la commune est occupée par un terrain composé d'argile sableuse et de galets, dépôt datant du Tertiaire. Ces landes, sols peu fertiles, sont souvent boisées en pins maritimes, châtaigniers, chênes (rouvres, pédonculés, tauzins), et bruyère et constituent la Double saintongeaise, vis-à-vis occidental de la Double du Périgord et qui couvre une grande partie des cantons de Brossac et Baignes.

Le Campanien, calcaire crayeux du Crétacé supérieur, affleure dans l'extrême nord de la commune, talus à l'est et au nord du bourg.

Les vallées (Tude et Dronne) sont occupées par des alluvions récentes du Quaternaire, parfois accumulées en terrasses pour les plus anciennes[4],[5],[6].

La commune occupe le versant occidental de la vallée de la Tude et de la Dronne.

Le point le plus bas de la commune, 22 m, situé à Champagne, est l'endroit où la Dronne quitte le département. C'est aussi le point le plus bas du Sud Charente, c'est-à-dire de celui du bassin versant de la Gironde en Charente, ainsi que le point le plus méridional du département.

Le point culminant de la commune est à une altitude de 108 m, situé sur la bordure occidentale au Maine Machon. Le bourg, surplombant la vallée de la Tude, est à 75 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Médillac.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Dronne, la Tude, l'Argentonne et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Elle est située sur la rive droite de la Tude, qui fait la limite de commune avec Bazac, puis après le confluent de cette dernière, sur la rive droite de la Dronne qui fait limite avec Parcoul (Dordogne)[3].

La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source en Haute-Vienne, dans la commune de Bussière-Galant, et se jette dans l'Isle en Gironde à Sablons, après avoir traversé 51 communes[9].

La Tude, d'une longueur totale de 43,3 km, prend sa source dans la commune de Boisné-La Tude et se jette dans la Dronne en Dordogne, à Parcoul-Chenaud, après avoir traversé 15 communes[10].

L'Argentonne, d'une longueur totale de 10,93 km, prend sa source dans la commune de Bardenac et se jette dans la Tude sur la commune, après avoir traversé 5 communes[11].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[12]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [13].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Natura 2000[modifier | modifier le code]

Bordé à l'est par la Tude, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espèces animales européennes menacées[14],[15].

Seize espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[14].

Vingt-six autres espèces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par l'annexe IV de la directive habitats.

ZNIEFF[modifier | modifier le code]

À Médillac, les vallées de la Dronne et de son affluent la Tude font partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[16],[17].

Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[16] :

Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Médillac est une commune rurale[Note 1],[18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,5 %), zones agricoles hétérogènes (29,5 %), prairies (12,9 %), terres arables (8 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Médillac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Médillac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[26]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[26],[27],[28].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Médillac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 118 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 118 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1988, 1999, 2012 et 2021. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Une forme ancienne est Medilhaco au Moyen Âge[31].

L'origine du nom de Médillac remonterait à un nom de personne gallo-romain Metelius ou Medillus auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Meteliacum, « domaine de Metelius »[32],[Note 3].

Histoire[modifier | modifier le code]

Quelques vestiges romains ont été trouvés aux abords de l'église. Au nord-est du bourg, sur une roche escarpée, ont été trouvés des vestiges d'épaisses murailles. Il pourrait s'agir d'un poste d'observation de la voie passant en contrebas[33].

Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par une scierie et des carrières d'argile réfractaire. La gare de Parcoul-Médillac était aussi le point de départ de la ligne de Ribérac, en service entre 1906 et 1940, qui s'embranchait sur la ligne Paris-Bordeaux[34].

Le nom de « Pont de Corps » viendrait du fait qu'après la bataille de Coutras, il fallait à Henri de Navarre traverser la Dronne, et pour faire un gué à cet endroit, il aurait fait tuer des prisonniers et entasser leurs corps dans la rivière pour faire passer son armée et ses chariots[réf. nécessaire].

Administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2008 Gilles Devaire    
2008 En cours Joëlle Boizot SE Retraitée des hôpitaux

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

En 2021, la commune comptait 153 habitants[Note 4], en diminution de 3,16 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
294261287272348304332328346
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
319325284277255252242247212
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
287283236249267254214252266
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
234209204177168158156156158
2021 - - - - - - - -
153--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 80 hommes pour 77 femmes, soit un taux de 50,96 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,5 
90 ou +
6,5 
8,6 
75-89 ans
13,0 
21,0 
60-74 ans
26,0 
24,7 
45-59 ans
20,8 
11,1 
30-44 ans
15,6 
12,3 
15-29 ans
6,5 
19,8 
0-14 ans
11,7 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[41].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les écoles et collège sont à Chalais.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le portail de l'église.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  3. Le nom de la commune de Montpellier-de-Médillan (Charente-Maritime) a la même origine (ref: Dauzat).
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Médillac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Médillac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. Sandre, « la Dronne »
  10. Sandre, « la Tude »
  11. Sandre, « l'Argentonne »
  12. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  13. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. a et b [PDF] - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  15. Carte du site « Vallée de la Tude », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  16. a b et c [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  17. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  18. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Médillac », sur Géorisques (consulté le ).
  25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  26. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  30. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Médillac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  31. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 414
  32. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 445.
  33. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 105
  34. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 237
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Médillac (16215) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  41. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  42. « L'église de Médillac », notice no PA00104418, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  43. « Médillac en 1939-1945 » (consulté le ).
  44. Fabrice Drouelle, « Juillet-Août 1944, le Train Fantôme », sur France Inter, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Catillus Carol, « Médillac », (consulté le )