Maasella edwardsii

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Alcyon brun

Maasella edwardsii
Description de cette image, également commentée ci-après
Plusieurs colonies d'alcyons bruns.
Classification
Règne Animalia
Embranchement Cnidaria
Classe Anthozoa
Sous-classe Octocorallia
Ordre Alcyonacea
Famille Paralcyoniidae

Genre

Maasella
Poche, 1914[1]

Espèce

Maasella edwardsii
(de Lacaze-Duthiers, 1888)[1]

Synonymes

  • Fascicularia edwardsi (de Lacaze-Duthiers, 1888)[1]
  • Fascicularia radicans Viguier, 1888[1]
  • Paralcyonium edwardsii de Lacaze-Duthiers, 1888[1]
  • Viguieriotes edwardsii (de Lacaze-Duthiers, 1888)[1]

Maasella edwardsii[2], communément appelé l’Alcyon brun et unique représentant du genre Maasella, est une espèce de cnidaires de la famille (biologie) des Paralcyoniidae. Elle forme des colonies de cinq à quinze polypes de 1 à 2 cm de haut. Cette espèce est endémique de la mer Méditerranée.

Systématique[modifier | modifier le code]

L'espèce Maasella edwardsii a été initialement décrite en 1888 par le biologiste, anatomiste et zoologiste français Henri de Lacaze-Duthiers (1821-1901) sous le protonyme de Paralcyonium edwardsii[1],[3].

En 1914, le naturaliste autrichien Franz Poche (1879-1945) crée le genre Maasella pour y ranger cette unique espèce[1],[4] ou plus exactement le taxon synonyme Fascicularia radicans Viguier, 1888[4].

Étymologie[modifier | modifier le code]

Le nom du genre Maasella a été choisi en l'honneur du biologiste allemand Otto Philipp Maas (d) (1867-1916), fin connaisseur de cet embranchement[4].

Son épithète spécifique, edwardsii, lui a été donnée en l'honneur du zoologiste français Henri Milne-Edwards (1800-1885), créateur du genre Paralcyonium auquel l'auteur avait initialement rattaché cette espèce[3].

Publications originales[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g et h World Register of Marine Species, consulté le 8 septembre 2021
  2. Parfois orthographié Maasella edwardsi.
  3. a et b de Lacaze-Duthiers 1888, p. 99
  4. a b et c Poche 1914, p. 87-88