Ménilles

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Ménilles
Ménilles
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
Blason de Ménilles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Seine Normandie Agglomération
Maire
Mandat
Didier Courtat
2020-2026
Code postal 27120
Code commune 27397
Démographie
Gentilé Ménillons
Population
municipale
1 738 hab. (2021 en augmentation de 2 % par rapport à 2015)
Densité 299 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 03″ nord, 1° 21′ 58″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 138 m
Superficie 5,81 km2
Unité urbaine Pacy-sur-Eure
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pacy-sur-Eure
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web https://menilles.fr/

Ménilles est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le bourg de Ménilles est bâti au bas du coteau où coule la rivière d'Eure.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l'Eure, affluent de la Seine.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 661 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Huest à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 600,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ménilles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pacy-sur-Eure, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[11] et 7 276 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,1 %), zones urbanisées (25,7 %), forêts (14,8 %), prairies (14,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Menila vers 1024 (charte de Richard II), Menilla en 1025, Menilæ (charte de la Noë) et de Menilis en 1223[17], Menil en 1740 (sentence de la vicomté de l’Eau)[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ménilles était connu au XIIe siècle pour sa production de vin : les religieux de l'abbaye de la Noë avaient en 1223 le droit de pressurage sur toutes les vignes de ce territoire. En 1194, le roi Philippe-Auguste installe des bornes à la sortie de Ménilles, à l'extrémité du Hameau de la Grande Cour, Ménilles étant sur le domaine français et non sur le domaine anglais de Richard Cœur de Lion, duc de Normandie et roi d'Angleterre.

La culture du safran y était répandue au XVIIe siècle : on déposait les produits de cette plante dans les caves souterraines au pied du coteau.

Au XIIIe siècle, Ménilles constituait un quart de fief relevant de la châtellenie de Pacy.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Ménilles

Ces armes peuvent se blasonner ainsi aujourd'hui :

de gueules aux six billettes d'or ordonnées 3, 2, 1.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des Maires de Ménilles
Date Début Date Fin Prénom Nom Parti Occupation
2020 En Cours Didier Courtat Apolitique Retraité
2001 2020 Yves Rochette UMP-LR Retraité

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

En 2017, la commune a été labellisée « 3 fleurs » par le Conseil national de villes et villages fleuris de France[19].

Vie Associative[modifier | modifier le code]

Au centre de la vie du village, le Comité des fêtes de Ménilles est une association majeure de la commune avec l'organisation de multiples évènements importants dans l'année. Un évènement notable de la vie du village est le rassemblement de Porsche ayant lieu tous les ans depuis la présidence de Didier Courtant. Puis par son successeur, Cyril Guibert, ayant pris la présidence de cette association en 2018.

Liste des Présidents du Comité des Fêtes de Ménilles
Date Début Date Fin Prénom Nom
2018 En cours Cyril Guibert
Inconnu 2018 Didier Courtat
Inconnu Inconnu Yves Rochette

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].

En 2021, la commune comptait 1 738 habitants[Note 3], en augmentation de 2 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2441 2171 2309961 0081 0281 011931925
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
831763749717738721696680719
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
760814833688720633668698850
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
9569091 1831 2481 4491 3821 4861 5161 576
2018 2021 - - - - - - -
1 7391 738-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Il existe deux châteaux à Ménilles : le Grand Château situé sur la colline dominant la vallée et le Petit Château de La Grande Cour situé en contrebas en direction du petit village de Cocherel.

Le Grand château[modifier | modifier le code]

À l'origine, le fief de Ménilles (avec son manoir à tourelle, son colombier, son pressoir, ses souterrains…) appartenait à la famille du même nom. La dernière héritière des Ménilles se maria avec messire Le Sesne (alias Le Cesne). Commencé sous le règne de François Ier, le Grand Château, dit château de Ménilles, ne put être terminé par le seigneur du lieu, mort prématurément. Ménilles devint « une terre vague » sans seigneur pour rendre aveu, les enfants dudit seigneur étant trop jeunes ; sa veuve fut expropriée par le roi Henri II.

Il ne restait que des fondations imposantes sur lesquelles l'architecte Philibert de l'Orme construisit en 1551 (achèvement des travaux) et 1552 (décoration intérieure) le château actuel en pierre de taille et brique orangée sur l'ordre du roi qui l'offrit à sa favorite Diane de Poitiers[24]. Diane habitait le château d'Anet et venait chasser jusqu'à Ménilles en passant par la forêt de Pacy. Ses chevaux étaient tellement sacrés qu'elle avait ordonné l'installation de mangeoires en marbre dans les écuries. Un rare mur incorporant des emblèmes de brique du XVIe siècle subsiste[25].

Par la suite, le château retourne à la famille Le Sesne dont le dernier héritier mâle a été titré marquis de Ménilles par Louis XV. La fille du vieux marquis épousa le comte Joseph de Puisaye, général royaliste qui voulut libérer Louis XVII du Temple. Ils auront une fille unique prénommée Joséphine Louise, qui décède à l'âge de l'adolescence.

C'est l'abbé d'Auxais, parent de la jeune fille, qui hérite du domaine. Le château devient la résidence d'été des évêques d'Évreux. Peu après la mort de l'abbé d'Auxais, son neveu se débarrasse du château en le vendant au baron Antoine-Marie Roederer. Son épouse conserve le château jusqu'à sa mort en 1874, date à laquelle la marquise Artus de Montalembert d'Essé née Marie Marthe de Choiseul-Praslin (fille de la duchesse assassinée par son mari) s'en rend acquéreur. Elle donne, en guise de cadeau de mariage, le château à son fils le comte Raoul de Montalembert d'Essé (1860-1944). Sous l'Occupation, Raoul de Montalembert meurt d'une crise cardiaque en 1944 : la Wehrmacht s'emparent du château et y accueillent ensuite des Waffen-SS. Les enfants et héritiers du comte de Montalembert d'Essé subissent alors la terreur et l'humiliation… Alix de Montalembert d'Essé, fille aînée de Raoul, fut une grande résistante française qui fut emprisonnée[26],[27]. Elle était une des secrétaires du réseau secret de la résistance française aux ordres du général de Gaulle[28]. Repris par Alix en 1945, le château est acquis en 1950 par une société immobilière appartenant au maire de Ménilles (M. Morel) qui va revendre le domaine en morceaux pendant dix ans. En 1960, le domaine est racheté par la ville de Gennevilliers, grâce à son maire Waldeck Lhuillier, qui le transforme en centre de vacances, de loisirs pour les jeunes et de repos pour les anciens de Gennevilliers. Le château, très abîmé, fut ainsi sauvé.

Le Petit Château[modifier | modifier le code]

Il s'agit du château de la Grand'Cour. Ancien domaine religieux appartenant au prieuré de Saulseuse, le fief de la Grand'Cour (comprenant ferme, logis seigneurial, chapelle et communs) est vendu par morceaux à la Révolution. Le logis seigneurial des religieux est racheté par les chevaliers Cauvin de Lemperière qui le transforment. Le comte Antoine de La Rochefoucauld, collectionneur, musicien, mécène et rosicrucien, rachète la propriété en 1894. Il en fait son pavillon de chasse.

L'église[modifier | modifier le code]

Placée sous le vocable de saint Pierre et saint Paul, est inscrite aux monuments Historiques [29]. C'est une des plus anciennes de la vallée d'Eure. Elle date du XVIe siècle et fut consacrée le par Toussaint Varin, évêque de Thessalonique, comme indiqué sur une plaque située à gauche de l'entrée du chœur.

L'église fut construite vraisemblablement à la place d'une plus ancienne, datée du XIe siècle, puisque Raoul, comte d'Ivry et de Bayeux, donna l'église de Ménilles à l'abbaye de Fécamp en 1026. Le clocher est daté su XVe siècle et quelques aménagements datent du XVIIe siècle.

Le portail de l'église.

Le monument est construit en pierres de taille du XVIe siècle et est composé d'une nef flanquée de deux bas-côtés, dont l'un est terminé par la chapelle de la Vierge, et d'un chœur en retrait. La loge seigneuriale qui ouvre dans le chœur est du XIXe siècle.

Le portail en plein cintre, classé monument historique, est un bel exemple de l'art de la Renaissance, daté de 1562. Les socles des niches ornent son trumeau et les contreforts qui flanquent le portail sont décorés de feuillages découpés encadrant des écus. Les dais gothiques de l'archivolte (moulure ornementée des voussures d'une arcade) offrent à la vue des anges tenant les instruments de la Passion. Le remplage de la fenêtre des tympans est flamboyant.

Les vantaux des deux portes présentent des personnages sculptés dont saint Sébastien (patron des archers et des prisonniers) et saint Martin (patron des militaires et des soldats) de style Renaissance.

Le marquis de Ménilles et sa première épouse sont enterrés dans le chœur de l'église sous les marches de l'autel.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Joseph de Puisaye, qui s'installa au château de Ménilles après en avoir épousé l'héritière en 1788. Député aux États-Généraux, à la Constituante, fédéraliste, chouan, il passa en Angleterre.
  • Antoine-Marie Roederer, baron d'Empire, propriétaire du château de Ménilles, est enterré avec sa femme Adélaïde Berthier dans le cimetière de Ménilles.
  • Albert Miserey (1862-1938), sculpteur, ayant réalisé entre autres la statue de Boieldieu sur la façade du théâtre d'Évreux et un buste d'Adolphe Barette, maire de Vernon, à l'occasion de la construction de l'hôtel de ville de Vernon.
  • Le comte Antoine de La Rochefoucauld, propriétaire du château de la Grand'Cour.
  • Gérard Delpon de Vissec (1912-1940), chef de char, mortellement blessé le . Fils de l'écrivain Lucien Delpon de Vissec (plaque commémorative apposée dans l'église et une autre sur le monument aux morts).

Sources[modifier | modifier le code]

  • Nouvelles de l'Eure - numéro 1 - 1959 - Texte de M. Baudot.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Ménilles et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Évreux-Huest » (commune de Huest) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Évreux-Huest » (commune de Huest) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Pacy-sur-Eure », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1 (lire en ligne), p. 627.
  18. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 139.
  19. Site des villes et villages fleuris, consulté le 9 février 2018.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Selon les archives de l'ancienne propriétaire, comtesse Monique de Montalembert d'Essé, archives données en 1993 à Monsieur Yvan Brunet du Buc, écrivain et éditeur, qui lui-même les a léguées aux Archives départementales de l'Eure en 2008.
  25. de Tervarent. Une cryptographie répandue en France au XVIe siècle. In : Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 107e année, N. 1, 1963. pp. 71-79.
  26. Alix de Montalembert d'Essé (1888-1973), chevalier de la Légion d'honneur à titre militaire, croix de la Résistance, médaille militaire, croix de guerre 1939-1945.
  27. « Notice LH d'Alix de Montalembert », base Léonore, ministère français de la Culture, 1888-1973.
  28. Voir Confrérie Notre-Dame
  29. « Église Saint-Pierre », notice no PA00099482, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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