LocoRoco

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Loco roco)
LocoRoco

Développeur
Éditeur
Réalisateur

Date de sortie





Genre
Mode de jeu
Plate-forme

Langue

Évaluation
ESRB : E ?
PEGI : 3+ ?
Site web
Tsutomu Kouno, créateur principal du jeu.

LocoRoco (ロコロコ, rokoroko?) est un jeu vidéo de plates-formes développé par SCE Japan Studio et édité en 2006 sur PlayStation Portable. Le jeu a été conçu par Tsutomu Kouno.

LocoRoco Remastered est sorti en 2017 sur PlayStation 4.

Histoire du jeu[modifier | modifier le code]

Sur une planète lointaine vit les LocoRocos, des créatures rondes qui adorent chanter partout. Mais une menace arriva, l'avènement des Mojas, ennemis jurés et dévoreurs de Locorocos. En tant que planète des LocoRoco, il faut balancer le décor de gauche à droite jusqu'à l'objectif et ainsi pouvoir mettre un terme à l'invasion des Mojas.

Le but du jeu[modifier | modifier le code]

LocoRoco est une créature patatoïde, dont il existe plusieurs couleurs à la manière des Barbapapas et qui s'aventure dans différents paysages afin de récupérer des bonus à la manière de Sonic. Toutes les caractéristiques de ce personnage se retrouvent dans le jeu Gish de Chronic Logic.

Le LocoRoco roule sur les décors et différents éléments organiques aux propriétés physiques diverses : durs, mous, collants ou glissants, que le joueur fait pencher à gauche ou à droite à l'aide des boutons L et R de la PSP.

Lorsque le personnage mange certaines fleurs, il grossit. Lorsque le LocoRoco est trop gros pour passer à certains endroits, il est possible de le séparer en autant de petits ballons qu'il a mangé de fleurs en appuyant une fois rapidement sur la touche Rond, via un éclair. Il est ensuite possible de le réassembler avec le bouton Rond en appuyant suffisamment longtemps pour que tous les LocoRocos se rassemblent à nouveau.

Différents éléments du décor le divisent temporairement, des flux d'air, des grilles ou il est pressé, etc.

Lorsque le personnage touche des éléments piquants, il se divise, et les éléments disparaissent au fur et à mesure. Le personnage doit les retoucher pour conserver sa taille. On retrouve là le concept des anneaux de Sonic ou des champignons de Mario.

Les aventures se déroulent sur les différents continents (les différents mondes de la planète des LocoRoco), dans des bois, dans des organismes vivants, dans de l'eau ou dans des grottes.

Caractéristiques du jeu[modifier | modifier le code]

Relativement innovant, il s'agit d'un jeu 100 % en 2D vectorielle, avec beaucoup de simulation physique et d'interaction entre les éléments. Différentes musiques dans des langues incertaines représentent les cultures des différents continents.

Accueil[modifier | modifier le code]

Critique[modifier | modifier le code]

Aperçu des notes reçues
Presse papier
Média Note
Edge (UK) 7/10
Famitsu (JP) 34/40
Joypad (FR) 8/10 (PSP)[2]
Presse numérique
Média Note
IGN (US) 9/10
Jeuxvideo.com (FR) 17/20

Récompenses[modifier | modifier le code]

Interactive Achievement Award • Composition musicale originale
Interactive Achievement Award • Jeu pour enfant
BAFTA Games Award 2006 • Jeu pour enfant
BAFTA Games Award 2006 • Personnage
IGN • Composition musicale originale

À noter[modifier | modifier le code]

  • Une démo jouable japonaise du jeu est sortie le , soit en même temps que la version 2.70 du firmware de la PlayStation Portable (PSP). En France, cette même demo a été proposée avec la sortie du firmware 2.71.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en) « LocoRoco Credits », MobyGames.
  2. Plume (Gianni Molinaro), « Test - Loco Roco - Positive attitude », Joypad, no 165,‎ , p. 76, 77.

Liens externes[modifier | modifier le code]

(fr + en + es + ja) ... Site officiel international
(fr) Fiche du jeu sur Jeuxvideo.com
(en) Retranscription approximatives de paroles

Entretiens avec Tutomu Kouno[modifier | modifier le code]

(en + ja) Entretien avec Tsutomu Kouno, le concepteur du jeu, sur Gamevideos.com et sur Google.com
(en) « LocoRoco Cocoreccho! Interview », sur GameSpy entretien écrit avec Tustomu Kouno