Prayssas

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Prayssas
Prayssas
Entrée du village.
Blason de Prayssas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Communauté de communes du Confluent et des Coteaux de Prayssas
Maire
Mandat
Philippe Bousquier
2020-2026
Code postal 47360
Code commune 47213
Démographie
Population
municipale
984 hab. (2021 en diminution de 1,3 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 17′ 19″ nord, 0° 30′ 35″ est
Altitude 185 m
Min. 66 m
Max. 207 m
Superficie 26,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Confluent
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Prayssas
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Prayssas
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Prayssas
Église Saint Jean baptiste de Prayssas

Prayssas [pʁɛsas] est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située dans le pays de Serres. Prayssas se trouve dans l'aire d'attraction d'Agen. La grande ville la plus proche est Agen.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Montpezat, Cours, Frégimont, Lacépède, Laugnac, Lusignan-Petit, Madaillan et Saint-Salvy.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Son altitude minimale est de 66 mètres et la maximale est de 207 mètres avec une moyenne de 137 mètres. La mairie est à 170 mètres d'altitude.

Géologie et sismicité[modifier | modifier le code]

Village se situant au cœur du pays de Serres on retrouve tous types de sol, domination de l'argile à 39 %, terre limoneuse à 35 %, et sols sableux à 8 %. Les textures principales sont brunifiées et hydromorphes.

Le Lot-et-Garonne n'est pas en zone de risque sismique.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Masse de Prayssas arrose la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 818 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1995 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records PRAYSSAS (47) - alt : 196 m 44° 18′ 36″ N, 0° 34′ 12″ E
Statistiques établies sur la période 1995-2010 - Records établis sur la période du 01-04-1995 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 3,2 3,5 5,6 7,7 11,2 14,4 15,8 16 13,2 11 5,9 3,2 9,3
Température moyenne (°C) 6,2 7,2 10,2 12,6 16,4 19,8 21,3 21,5 18,5 15,2 9,1 6 13,7
Température maximale moyenne (°C) 9,2 10,9 14,8 17,6 21,5 25,3 26,8 27 23,8 19,5 12,4 8,9 18,2
Record de froid (°C)
date du record
−8,2
13.01.03
−11,9
09.02.12
−8,6
01.03.05
−1
07.04.08
1,3
05.05.19
6,6
01.06.06
9,5
12.07.00
10,2
28.08.1998
4,4
25.09.02
−1,5
31.10.1997
−5,1
22.11.1998
−9
17.12.01
−11,9
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18
02.01.03
25,1
27.02.19
25,9
20.03.05
29,2
24.04.07
33,3
30.05.01
37,3
27.06.19
38,5
23.07.19
39,4
04.08.03
35,8
03.09.05
31,4
04.10.04
24,1
07.11.15
18,4
08.12.10
39,4
2003
Précipitations (mm) 66,5 58,5 59,2 78,2 79,8 69 54,2 59,1 64,7 75,1 76,3 70,4 811
Source : « Fiche 47213001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Prayssas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (65,4 %), prairies (12,1 %), terres arables (11,7 %), forêts (7,2 %), zones urbanisées (1,9 %), cultures permanentes (0,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

  • D118 La départementale 656 en direction d'Agen.
  • A62 L'autoroute A62 a une sortie au Passage desservant la ville d'Agen, échangeur no 7 à environ 20 km.
  • Des bus scolaires font la navette matin et soir vers Agen.
  • L'aéroport d'Agen-la Garenne est à 20 km.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Prayssas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Masse de Prayssas, le Salabert et le Chautard. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003, 2009 et 2020[17],[15].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[18]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Prayssas.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2020[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le terrier de Prayssas.

HISTOIRE ANCIENNE Le concile de Charroux en 989 a déclaré « La paix de dieu » qu’il traduit par un cercle de protection de 30 ou 50 pas autour de l’édifice religieux : « le cercle de paix ». Aussi, autour d’une église primitive, s’est construit un premier cercle que l’on parcourt en suivant les rues St Jérôme, rue Voltaire, rue Philippe Pradelle, rue Fréderic Roumanès et rue Jean-Jacques Rousseau ; premier cercle sous la protection des ecclésiastiques, selon une organisation que l’on nomme « sauveté ». Mais cette protection symbolique s’est très vite révélée insuffisante et les habitants, ont demandé aide aux seigneurs du lieu, les seigneurs de Prayssas. Et ceux-ci ont édifié le deuxième cercle de protection qui comprend les logis seigneuriaux, des remparts et quatre portes, démolies au XIXe siècle, circulation oblige. Au fil des siècles, Prayssas est resté contenu dans ses remparts et on peut penser que chaque reconstruction ou rénovation s’est faite sur les fondations existantes, et il subsiste encore aujourd’hui une structure urbanistique presque millénaire. La grande coutume, ouvrage déposé aux archives départementales à Agen, de 1266, atteste, entre autres, de l’existence des remparts et des portes, et de l’organisation de la protection de la ville. Les premiers seigneurs connus vivaient en 1259 : Pons, Aymeric, Gaubert et Amanieu de Prayssas. Ils seront signataire de la Grande Coutume de Prayssas. En 1358, Edouard III concède Prayssas à Amanieu du Fossat seigneur de Madaillan. Prayssas se transmit ensuite comme un bien de famille dans la lignée des Montpezat, jusqu’au 17e siècle. Le dernier seigneur de Prayssas, César de Sansac, fut déclaré émigré en 1793 et ses biens mis sous séquestre et vendus.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Prayssas Blason
De gueules à deux balances d'or, l'une au-dessus de l'autre[22].
Détails
Officiel.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1977 1995 Guy Cassany    
juin 1995 mai 2020 Alain Merly UDF puis
UDI
Député de la 3e circonscription de 2002 à 2007
Conseiller général du canton de Prayssas (1992-2015) puis conseiller départemental (2015-2021)
mai 2020 En cours Philippe Bousquier LR Conseiller départemental depuis juin 2021
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 984 habitants[Note 7], en diminution de 1,3 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7501 3191 5371 5461 5501 5571 8031 7331 705
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6961 5931 6091 5101 5811 5331 4781 2931 181
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1881 1841 116952951947983958993
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
957881758732784921934923943
2014 2019 2021 - - - - - -
987995984------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports[modifier | modifier le code]

Le gymnase communal est le gymnase Léo-Lagrange. La commune accueille : un club de basket, un club de gymnastique et un club de badminton. L'olympien Gabriel Tual est originaire du village.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Manifestations[modifier | modifier le code]

  • Foire des beaux jours (en mai)
  • Lous Festayres de Prayssas. (en août)
  • Marché hebdomadaire aux truffes fraîches d'hiver (qualité contrôlée). Tous les dimanches matin à 10 h (précises) de décembre à mars

Prayssas a renoué avec sa tradition trufficole présente au XIXe siècle et de retour en 2012-2013 par un marché hebdomadaire tous les dimanches matin (à la saison, de mi-décembre à mi/fin février) à 10 h sous la mairie de vente de truffes tuber mélanosporum. C'est un marché de détail où les apports de truffes sont contrôlés (canifées) et classés en catégories : extra, 1re catégorie et 2e catégorie.

Les rencontres musicales insolites : depuis 2004 est organisée une saison musicale d'octobre à juin à raison d'un concert par mois chaque premier dimanche du mois (sauf janvier). L'entrée est libre avec participation.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 47213001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Prayssas », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Prayssas », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. Cercle Héraldique, Généalogique, Historique du 47
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. a et b « Eglise Saint-Jean », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Église paroissiale Saint-Etienne de Castillou », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  29. « Église paroissiale Notre-Dame d'Arpens », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Église paroissiale Notre-Dame de Lesterne », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).