Le Teil

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Le Teil
Le Teil
Entrée du pont sur le Rhône, direction Montélimar.
Blason de Le Teil
Blason
Le Teil
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Privas
Intercommunalité Communauté de communes Ardèche Rhône Coiron
Maire
Mandat
Olivier Pévérelli
2020-2026
Code postal 07400
Code commune 07319
Démographie
Gentilé Teillois
Population
municipale
8 901 hab. (2021 en augmentation de 5,35 % par rapport à 2015)
Densité 335 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 32′ 45″ nord, 4° 40′ 59″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 460 m
Superficie 26,59 km2
Unité urbaine Montélimar
(banlieue)
Aire d'attraction Montélimar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Berg-Helvie
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web mairie-le-teil.fr

Le Teil (en occitan : Lo Telh), parfois dit Le Teil d'Ardèche, est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes, dans l'ancienne région historique du Vivarais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Porte d'entrée de l'Ardèche méridionale, Le Teil est une plaque tournante pour le tourisme mais aussi un pôle commercial et économique important. La ville du Teil est située au bord du Rhône dans le Sud de l'Ardèche.

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La partie orientale du territoire communal est bordée par le Rhône.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 915 mm, avec 6,5 jours de précipitations en janvier et 3,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Montélimar à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 919,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records MONTELIMAR (26) - alt : 73m, lat : 44°34'52"N, lon : 4°43'58"E
Records établis sur la période du 01-08-1920 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,6 2,7 5,3 7,8 11,6 15,4 17,6 17,4 13,9 10,7 6,3 3,4 9,6
Température moyenne (°C) 5,7 6,6 10,2 13,1 17,1 21,1 23,7 23,5 19,2 14,8 9,5 6,2 14,2
Température maximale moyenne (°C) 8,8 10,5 15,1 18,3 22,5 26,9 29,8 29,6 24,4 18,9 12,8 9,1 18,9
Record de froid (°C)
date du record
−14,4
05.01.1971
−17
23.02.1948
−7,4
02.03.05
−3,1
06.04.1970
−1,8
02.05.1938
3,5
03.06.1926
7,5
06.07.1954
5,6
21.08.1924
0,5
25.09.1928
−1,6
30.10.1932
−10
12.11.1921
−17,2
22.12.1938
−17,2
1938
Record de chaleur (°C)
date du record
19,3
10.01.15
22,4
23.02.1990
26,4
25.03.1994
30,6
23.04.1924
34
21.05.22
40,3
27.06.19
40
23.07.1929
41,1
13.08.03
36,2
09.09.1966
30,6
09.10.23
26,4
02.11.1924
19,9
04.12.1961
41,1
2003
Ensoleillement (h) 1 066 1 358 1 999 2 187 2 602 2 997 3 304 2 986 2 312 1 559 1 097 945 24 411
Précipitations (mm) 68,7 42,5 49 74,4 77,7 56,5 55,1 56,3 115,9 133 128,7 61,7 919,5
Source : « Fiche 26198001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Teil est une commune urbaine[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

Elle appartient à l'unité urbaine de Montélimar, une agglomération inter-départementale regroupant 7 communes[10] et 56 765 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,8 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), zones urbanisées (13,8 %), mines, décharges et chantiers (3,1 %), prairies (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), eaux continentales[Note 3] (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[15].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ville du Teil est traversée par deux axes routiers majeurs : la route nationale 102, qui relie Montélimar au Puy-en-Velay, et l'ancienne route nationale 86 désormais déclassée en départementale, qui relie Lyon à Nîmes. Elle est également située à une relative proximité avec l'autoroute A7, entre les sorties de Montélimar-Nord (no 17, à 18 km) et de Montélimar-Sud (no 18, à 14 km).

Un pont routier de 315 mètres de long, dont la conception remonte à 1928, traverse le Rhône. Ce pont, achevé pour la première fois en 1931, a été détruit et reconstruit deux fois à l'identique : détruit une première fois en 1940 par les forces alliées, il fut reconstruit en 1943, avant d'être de nouveau détruit en 1944 à la suite de bombardements. Ce n'est qu'en 1950 que le pont fut définitivement reconstruit.

La ligne ferroviaire Givors-Grezan, dite de la rive droite du Rhône, traverse également la ville avec une gare, la gare du Teil, mais cette dernière n'assure plus le trafic de voyageurs depuis 1973 et ce malgré de nombreux projets de réouverture. Le trafic ferroviaire se reporte donc de l'autre côté du fleuve, à la gare de Montélimar. Cependant, lors de périodes de travaux sur la rive gauche dans le secteur de Montélimar, le trafic de voyageurs est parfois dévié sur la rive droite, avec un arrêt en gare du Teil et des navettes. Ce trafic reste exceptionnel et la ville voit essentiellement transiter des trains de fret. Une autre ligne desservait la ville, la ligne du Teil à Alès, qui a connu un trafic de voyageurs de 1876 à 1969. Le trafic de marchandises sur cette ligne a été interrompu en 1988.

Pour compenser l'absence de trafic ferroviaire, de nombreux bus départementaux et régionaux desservent la ville du Teil, à destination de Valence, Aubenas, Montélimar, Pierrelatte, Le Pouzin ou Privas.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

La ville du Teil se situe entre deux centrales nucléaires, celle de Cruas, distante de 12 km au nord, et celle du Tricastin, à 30 km au sud. Elle est donc fortement concernée par un risque majeur de catastrophe nucléaire sur l'un de ces deux sites. Une carrière et usine de ciment, appartenant au groupe Lafarge, est également située au sud de la commune.

Située au bord du Rhône, elle est susceptible de subir des inondations avec le fleuve en crue, même si ce risque est atténué par le canal de dérivation de Montélimar construit dans les années 1950. Elle fait partie du territoire à risques importants d'inondation de Montélimar, arrêté en 2012 et 2016. Deux plans de prévention des risques naturels (PPRN) ont été élaborés concernant cet aléa : un plan des surfaces submersibles pour le fleuve Rhône en aval du département, approuvé le , et un PPRN pour la commune, prescrit en 2010 et approuvé le [16].

Elle est également concernée par le risque mouvement de terrain. De nombreux glissements de terrain se sont produits dans la commune et un plan de prévention des risques pour cet aléa a été prescrit en 2006 et approuvé en 2013[16].

L'ensemble du territoire de la commune du Teil est situé en zone de sismicité no 3, dite « modérée » (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées dans la vallée du Rhône, mais non loin de la limite orientale de la zone no 2, dite « faible » qui correspond au plateau ardéchois[17].

Terminologie des zones sismiques[18]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Séisme de 2019[modifier | modifier le code]

Le , un séisme de magnitude 5,4, dont l'épicentre est localisé en Ardèche, est ressenti à 11 h 52[19]. Ce séisme s'est produit sur une faille sismique non répertoriée. Ressenti de Lyon à Montpellier, c'est le tremblement de terre le plus puissant survenu dans la région depuis cinquante ans et en France depuis celui de Saint-Dié dans les Vosges en 2003[20]. Quatre personnes sont blessées (dont une gravement, tombée de son échafaudage à Montélimar) sans provoquer de dégâts majeurs bien qu'une centaine de maisons soit affectée au Teil[21],[22]. Les principaux quartiers touchés étant ceux de La Rouvière et de Mélas avec son église, classée aux monuments historiques français depuis 1875.

Deux répliques ont suivi, le 13 novembre, avec une magnitude de 2,2[23] et le 23 novembre à 23 h 14 (magnitude : 2,8)[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestée sous la forme Tilium en 1248.

Étymologie[modifier | modifier le code]

En occitan, lo telh signifie littéralement « le tilleul ».

Histoire[modifier | modifier le code]

La gare du Teil possédait un important dépôt PLM puis SNCF. Du fait de sa situation géographique, à 150 km de Lyon et 110 km Nîmes, le dépôt du Teil permettait sur son axe nord-sud de soulager la rive gauche du Rhône. Outre sa vocation marchandises et son rôle de dépôt-relais, il était chargé des dessertes voyageurs locales mais également de tout le service sur les lignes ardéchoises, se greffant ainsi sur l'artère Lyon - Nîmes et plus particulièrement les antennes du Pouzin à Privas, Le Teil à Lalevade-d'Ardèche de leurs embranchements de Vogüé à Alès (via Robiac-Rochessadoule) et Saint-Sernin à Largentière.

Plaque commémorative des cheminots morts pour la France en gare du Teil.

Le Teil fut concernée par la bataille de Montélimar. La ville abrite le musée de la Résistance de l'Ardèche.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason du Teil

Les armes du Teil se blasonnent ainsi :
D'or au tilleul de sinople, au chef d'azur chargé d'une fleur de lys du champ accostée de deux étoiles du même.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Récapitulatif de résultats électoraux récents[modifier | modifier le code]

Scrutin 1er tour 2d tour
1er % 2e % 3e % 4e % 1er % 2e % 3e %
Municipales 2014 DVG 48,58 UDI 29,52 FN 21,88 Pas de 4e DVG 51,81 UDI 31,08 FN 17,10
Européennes 2014[25] FN 32,85 UG 17,32 UMP 12,24 VEC 12,56 Tour unique
Régionales 2015[26] FN 35,52 UG 30,27 UD 16,37 COM 8,26 UG 43,11 FN 33,95 UD 22,94
Présidentielle 2017[27] FN 32,59 LFI 23,55 EM 18,13 LR 11,42 EM 51,77 FN 48,23 Pas de 3e
Législatives 2017[28] FN 21,30 EM 20,69 SOC 19,36 LFI 13,85 SOC 61,43 EM 38,57 Pas de 3e
Européennes 2019[29] RN 33,33 LREM 13,68 EELV 10,46 LFI 8,35 Tour unique
Municipales 2020[30] DVG 64,10 RN 21,58 DIV 14,31 Pas de 4e Pas de 2e tour
Présidentielle 2022[31] RN 32,09 LFI 24,04 LREM 16,72 RES 7,95 RN 57,19 LREM 42,81 Pas de 3e
Législatives 2022[32] NUP 34,19 RN 32,82 ENS 16,66 DVD 4,96 NUP 54,06 RN 45,94 Pas de 3e

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
août 1944 1954
(démission)
Joseph Thibon PCF Retraité SNCF
Président du Comité de Libération
1954 21 mars 1965 René Montérémal PCF Instituteur
21 mars 1965 31 mars 1976
(décès)
Paul Avon SFIO puis DVG Instituteur
Conseiller général de 1949 à 1976
17 mai 1976 18 mars 1983 Étienne Bénistant DVD puis UDF Gérant d'imprimerie
18 mars 1983 24 mars 2001 Robert Chapuis PS Professeur
Député (1981-1993)
Secrétaire d'État au ministère de l'Éducation Nationale (1988-1991)
24 mars 2001 15 mars 2008 Christian Lavis UDF puis UMP Commerçant
Président de la communauté de communes Rhône Helvie
15 mars 2008 En cours Olivier Pévérelli[46] PS Chargé d'affaires
Conseiller général puis départemental depuis 2004, député suppléant d'Hervé Saulignac depuis 2017
Président de l'association des maires de l'Ardèche

Jumelages[modifier | modifier le code]

Le Teil est jumelée avec[47] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].

En 2021, la commune comptait 8 901 habitants[Note 42], en augmentation de 5,35 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2001 2531 6641 6922 0902 2132 3942 3972 439
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3822 4772 5382 6043 1564 5524 4904 8314 940
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5 5825 7856 0916 7867 3108 5208 0298 0438 071
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
8 2368 5888 1438 0897 7797 9997 9537 9298 292
2018 2021 - - - - - - -
8 7968 901-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Marché « provençal » le jeudi matin ;
  • Marché d'agriculteurs et de traiteurs sous la marque commerciale « Marchés des Producteurs de Pays » le vendredi de 17 h à 20 h. De mai à octobre.
  • Cinéma Regain, classé art et essai.

Sports[modifier | modifier le code]

Le RCT (Rugby Club Teillois[52]) est l'un des clubs sportifs de la ville évoluant en Fédérale 3[Quand ?]. Il a été créé en 1905.

Ses premiers pas de rugbyman, l'international Marco Tauleigne les a faits au club où son père, Michel, était éducateur dans les équipes de jeunes.

La commune compte plusieurs infrastructures sportives[53] :

  • le stade municipal Emile-Deidier (football, rugby, basket-ball et handball) ;
  • le stade La Violette (football et rugby) ;
  • le stade Paul-Guillermont, dans le quartier de Mélas (football) ;
  • le stade Étienne-Plan (rugby) ;
  • ainsi que trois gymnases (Marcel-Chamontin, Pierre-de-Coubertin et Le Frayol).

Le Teil a également été ville de départ de la 6e étape du Tour de France 2020[54], le [55].

Médias[modifier | modifier le code]

Internet[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune du Teil a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[56].

Presse écrite[modifier | modifier le code]

La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas.

Cultes[modifier | modifier le code]

Culte catholique[modifier | modifier le code]

La communauté catholique ainsi que les deux église du Teil (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Charles-de-Foucauld - Viviers / Le Teil dont le siège est situé à Viviers qui est également le siège de l'évêché[57].

Culte protestant[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Le Teil était une commune principalement agricole : depuis l'Antiquité la culture principale est celle de la vigne et l'excédent était vendu aux régions avoisinantes. Plus tard on cultiva le chanvre qui permettait de fabriquer des vêtements. Pour cela on le teillait d'où peut-être l'origine du nom de la ville. Enfin on cultive les céréales, blé, orge, etc. De nos jours Le Teil comporte une usine de cartonnage (Cartonnage Girard).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Fondé en 1992, le « Musée de la résistance et de la déportation en Ardèche » propose une exposition permanente retraçant le déroulement des événements de la Seconde Guerre mondiale en s'attardant plus particulièrement sur les problématiques de la Résistance dans la région ardéchoise ainsi que sur la déportation.
  • Table d'orientation avec vue sur la vallée du Rhône.
  • Vieilles rues (grenier à sel) et vieux immeubles.
  • Patrimoine industriel (importante carrière à ciment).
  • Borne milliaire de Mélas, classée aux Monuments historiques en 1932[58].

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

La commune compte plusieurs édifices catholiques[59] :

  • l'église Notre-Dame-de-l'Assomption de style néo-roman au centre-ville. Elle a été consacrée en 1897[60] et financée en partie par la famille Lafarge. L’édifice fait l’objet d’une fiche sur l’Inventaire général du patrimoine culturel[61]. Elle a été sévèrement endommagée par le séisme du 11 novembre 2019[62] et, afin de garantir la sécurité des habitants, son clocher a été démonté[63]. Elle va être détruite et reconstruite sur le même emplacement[64] ;
  • l'église Saint-Étienne de Mélas, XIe et XIIe siècles, classée monument historique en 1868. De style roman vivarois, elle comporte une nef unique, une chapelle nord du XIe siècle et une très ancienne chapelle octogonale du IXe siècle. Elle a été endommagée par le séisme du 11 novembre 2019 et fait l'objet d'une campagne de dons pour sa restauration[65].

Dans le quartier de Frayol se trouvait l'église du Sacré-Cœur, construite à partir de 1929 sur les plans de Georges Curtelin, architecte lyonnais. Elle a été bénite le 23 mars 1930 par Mgr Étienne-Joseph Hurault, évêque de Viviers et achevée en 1956. Elle n'était plus utilisée par la paroisse depuis le milieu des années 1990[66] et avait été intégrée au Lycée professionnel Saint-André. L'établissement l'utilisait pour ses élèves. Ses volumes permettaient notamment d'en faire une salle de sport[67]. L’édifice a fait l’objet d’une fiche sur l’Inventaire général du patrimoine culturel[68]. Elle a été endommagée par le séisme du 11 novembre 2019. Construite après la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat de 1905, elle appartenait au diocèse de Viviers qui n’avait pas les moyens financiers de la restaurer. L'église a donc dû être démolie en août 2022[66].

Le temple protestant avait été établi dans une chapelle datant du XIVe siècle. L’édifice fait l’objet d’une fiche sur l’Inventaire général du patrimoine culturel[69]. Désaffecté depuis 1993, le temple a été restauré et transformé en lieu culturel, la Caravane-monde, inauguré le 15 octobre 2021[70],[71].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Arts[modifier | modifier le code]

  • Xavier Mallet, le peintre du « vrai »

Joseph-Xavier Mallet (, Le Teil[Note 43] - , Montélimar[Note 44]), dit « Le peintre ordinaire du Rhône » dont la devise est « Le vrai avant toute chose, même s’il est choquant ou déplaisant ». Après quelques études primaires au Teil, son père (marinier de profession), l’envoya à Privas dans un collège où il poursuivit des études classiques et y révéla d’exceptionnelles dispositions pour le dessin et la peinture tout en acquérant un bon bagages littéraire.

En 1857, il rejoint Paris où il s’inscrivit à l’atelier de Charles Gleyre, peintre suisse et professeur aux Beaux-Arts.

Mais son domicile parisien ne l’empêche pas de prendre très souvent le chemin de la propriété familiale au Teil où il reste des mois entiers, s’imprégnant de la beauté locale, de la vie du fleuve et de l’aspect des montagnes ardéchoises. Celles-ci constituent des projets de tableaux magnifiques dont certains resteront un intéressant patrimoine[72],[73]. C’est l’Angleterre qui détient les plus belles collections de Xavier Mallet.

Un lycée porte son nom ; il est issu de l'agrandissement du lycée d'enseignement professionnel Pierre-Bravay qui était situé au centre du Teil. La première pierre fut posée en février 1991 et le lycée fut inauguré le .

Ce n’est que le 22 octobre que ce nouveau lycée, appelé jusqu’alors lycée polyvalent, fut baptisé lycée Xavier-Mallet, baptême qui a eu lieu quatre ans après son inauguration.

Politique[modifier | modifier le code]

  • Henri Pavin de Lafarge, Patron de l'entreprise Lafarge, conseiller général du canton de Viviers de 1927 à 1937 et sénateur de 1930 à 1945.
  • Joseph Thibon ( à Chandolas, décédé le au Teil), maire du Teil de 1944 à 1954.
  • René Montérémal ( à Lamastre, décédé le à Montélimar), maire du Teil de 1954 à 1965 et président du Mouvement de la Paix de 1954 à 1962.
  • Paul Avon ( au Teil, décédé le à Montpellier), maire du Teil de 1965 à 1976 et conseiller général de 1949 à 1976.
  • Étienne Bénistant (né le au Teil, décédé le au Teil), conseiller municipal et premier adjoint de 1965 à 1976 puis maire de 1976 à 1983.
  • Marcel Mazel (né le à Viviers) secrétaire fédéral du PCF en Ardèche de 1953 à 1974, suppléant d'Henri Chaze de 1962 à 1967 et 2e adjoint au maire de 1983 à 1989.
  • Robert Chapuis (né le à Paris) député de l'Ardèche de 1981 à 1988, maire du Teil de 1983 à 2001 et secrétaire d'État de 1988 à 1991.

Histoire[modifier | modifier le code]

  • Pierre du Teil : chevalier de la langue de Provence de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Commandeur, entre autres, de la commanderie de Jales avant de devenir grand commandeur de l'ordre en 1410 puis prieur de Toulouse à partir de 1412[74].
  • Le général Breloque : Honoré Auguste Massol était un fervent républicain et joua un rôle de premier plan dans sa bonne ville du Teil pendant l'époque révolutionnaire. Engagé dans l'armée, il fut promu au grade d'adjudant général d'où son surnom de général. Général Breloque car la chaîne de sa montre était surchargée de tout un attirail de médailles et autres pendentifs. Il fut membre du Conseil de guerre à Lyon.
  • Les frères Allignol : nés à la Rouvière, ils devinrent tous deux curés. Ils publièrent en 1839 un ouvrage qui fit grand bruit en France, et provoqua d'importants remous dans la hiérarchie catholique : De l’état actuel du clergé en France et en particulier des curés ruraux appelés Desservans[75]. Dans cet ouvrage, les frères Allignol s'élevaient contre la toute-puissance des évêques et autres princes de l'Église. L'abbé Vital Augustin, le cadet[Note 45] fut reçu au Vatican en 1840. Soutenus par Jean-Louis-Auguste Clavel dans sa revue Le Bien social, les deux frères se soumirent en à l'autorité ecclésiastique.
  • Lucette Olivier : Résistante, blessée à mort dans la nuit du 13 au 14 juillet 1943 par des SS en patrouille. Elle distribuait avec des camarades des tracts du Parti communiste. Les communistes appelaient à célébrer la fête nationale du 14 juillet 1943 par la grève et par des manifestations contre les « occupants » et les « fantoches de Vichy ». La médaille de la Résistance fut décernée à Lucette Olivier à titre posthume en 1948.

Littérature et historiens[modifier | modifier le code]

  • André Hébrard (Le Teil 1932-1997), historien local : pour son livre Histoire Du Teil qui a reçu le Grand Prix de la ville du Teil en 1987.
  • Fernand Etienne : entre l'art et l'histoire du Teil se trouve Fernand Étienne. L'auteur des célèbres « brindilles teilloises » du Dauphiné libéré narrait la vie de la commune. « Le Brindille », comme on le surnommait, habitait le quartier de « la Violette » et ses articles participaient entre autres à l'entretien de la mémoire d'une cité industrielle qui a vu petit à petit fermer ses fleurons.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Nommé par le marquis de Jovyac, seigneur de la vicomté du Teil, le [33].
  5. Ce maire, qui signe simplement « Cuchet », est le père du docteur Cyprien Massis-Cuchet, maire du Teil de février 1808 à février 1812[33].
  6. Élu le [33]. Cette élection entraîna la protestation du précédent maire, Pierre-Romuald Massis-Cuchet, fondée sur ce que Hector Grimolle, natif de Dieulefit, ne résidait pas dans la commune.
  7. Il était l'époux de Marie Mourier. Leur fils Hector, né au Teil le , a épousé à Châteauneuf-du-Rhône (Drôme) le Geneviève Anne Bourlon[33].
  8. Élu le [33].
  9. Dans les registres paroissiaux puis d'état civil, ce maire est dénommé « Terrasson de Fougères » avant 1792 et signe de même, puis tantôt « Terrasson-Fougères », tantôt simplement « Terrasson ».
  10. , mariage avec Marie Magdeleine Félicité Dumas[34].
  11. Élu le [33].
  12. Durant sa mandature, ce maire signe simplement « Cuchet ».
  13. Nommé par arrêté du préfet de l'Ardèche le [33].
  14. Durant ses différentes mandatures, ce maire signe presque toujours « Terrasson ».
  15. Nommé par arrêté du préfet de l'Ardèche le , installé le [33].
  16. Décédé en fonction le [36].
  17. , baptême de sa fille Barbe Clémentine d'Hilaire de Jovyac[37].
  18. Démissionnaire en juillet 1823[33]. Ce maire est le père d'Andéol et de Frédéric Ollivier, respectivement maires du Teil de septembre 1830 à février 1836 et de mai 1850 à décembre 1851[33],[38].
  19. , mariage de son fils Frédéric Ollivier avec Reine Catherine dite Caroline Perrin[38].
  20. Démissionnaire en septembre 1830[33]. Durant sa mandature, ce maire se désigne et signe tantôt « D'Hilaire de Joviac », tantôt « D'hilaire de Jovyac ».
  21. , naissance de sa fille Marie Gabrielle Mélanie d'Hilaire de Jovyac[39].
  22. De février 1836 à novembre 1839, il n'y a pas de maire au Teil[33].
  23. Démissionnaire en février 1836[33].
  24. , mariage de son frère Frédéric Ollivier avec Reine Catherine dite Caroline Perri[38]. , décès d'Andéol Ollivier[40].
  25. Démissionnaire en mars 1841[33].
  26. Démissionnaire en août 1845[33]. Ce maire est le père de Vital Terrasson de Fougères, maire du Teil de septembre 1865 à novembre 1867 et le grand-père de Henri Terrasson de Fougères, gouverneur général du Soudan français.
  27. Démissionnaire en juillet 1848[33].
  28. , mariage avec Marie Victorine Césarine Sanial-Chaillans[42].
  29. Lors de ses deux mandatures, ce maire se dénomme et signe presque constamment « Terrasson-Fougères »[33].
  30. Démissionnaire en décembre 1851[33].
  31. , mariage avec Reine Catherine dite Caroline Perrin[38].
  32. Démissionnaire en juin 1853[33].
  33. , mariage avec Marie Alexandrine Carle[43].
  34. Démissionnaire en août 1865[33].
  35. Démissionnaire en novembre 1867[33].
  36. , mariage avec Marie Victoire Julia Cade[44]. Sur son acte de mariage, l'époux est désigné sous le patronyme « Fougères-Terrasson ». Lors de sa mandature, il se dénomme et signe « Vital Terrasson ». Au cimetière du Teil, sa sépulture porte le patronyme « Terrasson de Fougères ». Ce maire est l'oncle paternel de Henri Terrasson de Fougères, gouverneur général du Soudan français.
  37. Démissionnaire en septembre 1869[33].
  38. Vice-président de la Commission municipale, faisant fonction de maire de septembre 1870 à mai 1871 puis maire en titre à compter de cette date. Démissionnaire en juin 1872[33].
  39. Démissionnaire en janvier 1875[33].
  40. , mariage avec Marie Pélagie Courtiol[45].
  41. Démissionnaire en mars 1876[33].
  42. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  43. Il était fils de Jean François Xavier Mallet, charon (1827, acte de naissance de Xavier Mallet) et de Joséphine Avon (Archives Municipales du Teil, registre des naissances, 1827, acte no 2).
  44. Il est décédé au lieu des Routes, commune de Montélimar, étant veuf de Jeanne Marie Badaut, époux de Marthe Marie Badaut (Archives Municipales de Montélimar, registre des décès, 1895, acte no 247).
  45. Il était fils de Charles Allignol, bourgeois du Teil avant la Révolution et de Marie-Dorothée Pavin. Il était né au Teil le (Archives Municipales du Teil, naissances 1793, folio 7 verso) et en 1839, était curé de Laurac, dans le canton de Largentière (Ardèche).

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  75. Eric Darrieux, Résister en décembre 1851 en Ardèche - Essai d'histoire sociale d'une insurrection (thèse de doctorat d’Histoire soutenue le , Université Lyon 2, Laboratoire d'Études Rurales – Sociétés et espaces ruraux de l'Europe contemporaine (XIXe – XXIe siècles)), , p. 202.

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]