La Bâtie-Rolland

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La Bâtie-Rolland
La Bâtie-Rolland
Le village.
Blason de La Bâtie-Rolland
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Montélimar-Agglomération
Maire
Mandat
Pascal Beynet
2020-2026
Code postal 26160
Code commune 26031
Démographie
Gentilé Bâtisiens, Bâtisiennes
Population
municipale
1 049 hab. (2021 en augmentation de 7,7 % par rapport à 2015)
Densité 126 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 18″ nord, 4° 51′ 57″ est
Altitude Min. 130 m
Max. 210 m
Superficie 8,33 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montélimar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dieulefit
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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La Bâtie-Rolland

La Bâtie-Rolland est une commune française, située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants, longtemps dénommés Bastidois, sont désormais appelés Bâtisiens[réf. nécessaire].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La Bâtie-Rolland se trouve à 10 km à l'est de Montélimar.

Sites particuliers :

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est parcourue par le Roubion, le Manson, le Vermenon et le Jabron.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 867 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montboucher-S-Jabron »sur la commune de Montboucher-sur-Jabron à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Bâtie-Rolland est une commune rurale (car elle fait partie des communes peu ou très peu denses) au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,3 %), zones agricoles hétérogènes (15 %), forêts (6 %), zones urbanisées (4,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La commune est établie autour d'une colline située au centre de la plaine de la Valdaine.

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[13] :

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie quotidiennement par la ligne de bus reliant Montélimar à Valréas[14]. Un bus scolaire, organisé par la municipalité, dessert le collège de Montélimar[15].

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

  • 1272 : castrum de Bastida (cartulaire de Montélimar, 21) ;
  • 1332 : Bastida Rollani (Gall. christ., XVI, 130) ;
  • 1336 : Bastida Rollandi (cartulaire de Montélimar, 43) ;
  • 1509 : mention de l'église Sainte-Marie-Magdeleine : ecclesia Beate Marie Magdalene Bastide Rollandi (visites épiscopales) ;
  • 1595 : La Bastie Rolland (inventaire de la chambre des comptes) ;
  • 1891 : La Bâtie-Rolland, commune du canton de Marsanne.

Étymologie[modifier | modifier le code]

La « Bâtie » signifie la « maison forte » (étymologie commune à bastion, bastide, bastille, etc.). Au début du IXe siècle, un château-fort aurait été construit par Lambert Rolland. La Bâtie-Rolland est donc très simplement le lieu où se trouvait la maison forte de Rolland[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien village fortifié dominé par le château édifié au XIIe siècle par Lambert Rolland, qui donna son nom au village. Le fief et les terres demeurèrent la propriété des descendants de Lambert Rolland jusqu'à la fin du XIVe siècle. Après la mort sans postérité de Giraud de La Bastie, sa femme légua ses biens à son frère Pierre de Cornillan, lequel les constitua en dot de sa fille Brunissande lorsqu'elle épousa Humbert de Beaumont en 1420. Jusqu'en 1589, ce fief et ces terres demeurèrent dans la famille de Beaumont, année où ils furent vendus au capitaine Louis de Blain-Marcel, seigneur du Poët. L'ensemble fut revendu en 1769 à Antoine Dejean de Caderousse, titulaire de la charge de Conseiller Secrétaire du Roi au Parlement de Grenoble, lequel accola le nom de ce fief à son patronyme.

Si la partie haute du château est ruinée dès le XVIIe siècle, le village reste confiné dans l'enceinte fortifiée, l'entrée du village étant défendue par un important bâtiment construit lui aussi au XIIe siècle mais profondément remanié au XVIe siècle, flanqué néanmoins d'une tour gardant l'unique accès au village.

Ce village d'origine est aujourd'hui lui aussi détruit, les habitants ayant, selon une pratique courante dans la région à cette époque, démonté leur maison dans les années 1870-1900 pour la reconstruire dans la plaine, le long de la route de Dieulefit et de l'ancienne voie de chemin de fer du "Picodon" afin d'avoir un accès plus aisé à l'eau, puis, très rapidement, à l'électricité installée dans le village dans les toutes premières années du XXe siècle.

Au cours de la seconde guerre mondiale, la colline dominant le village est à plusieurs reprises le lieu de combats meurtriers avec l'armée italienne pour la prise de cette place qui permettait de contrôler l'ensemble de la Valdaine.

En raison de la proximité de Montélimar, ce village connaît une importante croissance de sa population depuis les années 1980.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 Pierre Nicolas PS directeur d'école publique
1983 1989 Pierre Nicolas   maire sortant
1989 1995 Pierre Nicolas   maire sortant
1995 2001 Pierre Nicolas   maire sortant
2001 2008 Robert Léopold    
2008 2014 Robert Léopold   maire sortant
2014 2020 Pascal Beynet   fonctionnaire
2020 En cours
(au 8 nov. 2022)
Pascal Beynet[17][source insuffisante]   maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

En 1793, la population de cette commune était de 392 âmes[16]. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].

En 2021, la commune comptait 1 049 habitants[Note 3], en augmentation de 7,7 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
459531569628685758776780807
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
788759754736666630597622604
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
562601540482483475478501488
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
577578603637712814895906900
2017 2021 - - - - - - -
1 0291 049-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La Bâtie-Rolland dépend de l'académie de Grenoble. Les élèves commencent leurs études à l'école primaire du village[22]. Les collégiens se rendent à Montélimar[23], comme les lycéens[24].

Santé[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un cabinet de deux infirmières. Il n'y a aucun médecin généraliste. Les plus proches hôpitaux se situent à Montélimar[25].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête patronale : dernier dimanche de juillet / Fête communale : premier dimanche de mai[26].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

  • Équitation[26].
  • Football en entente avec d'autres villages aux alentours (Montboucher-sur-Jabron, Espeluche).

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

La paroisse catholique de La Bâtie-Rolland dépend du diocèse de Valence, doyenné de Cléon-d'Andran[réf. nécessaire].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : Lavande, polyculture, bovins, ovins[26].

La commune accueille le siège social de l'union de coopératives Top Semence, spécialisée dans la production de semences[27].

Commerce et artisanat[modifier | modifier le code]

  • Une boulangerie-pâtisserie[28].
  • Un salon de coiffure[29].
  • Plusieurs artisans du BTP[30], et du jardin[31],[32].

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Vue étendue sur la plaine[26].

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Vieille porte d'accès au château.
  • Château-fort : ses ruines occupent la colline (notamment la tour qui domine le village). Il aurait été érigé au début du IXe siècle par Lambert Rolland[réf. nécessaire].
Château (ruiné)[26] du XIIe siècle[réf. nécessaire].
Ancienne église paroissiale, dédiée à saint Roch. Elle est située sur la colline du châtelas, aux pieds de l'ancien château-fort. Abandonnée en 1860, elle est aujourd'hui en ruine. Les claveaux de l'arc donnant accès au chœur (non effondré) gardent de belles peintures murales aujourd'hui assez dégradées (site fermé au public)[réf. nécessaire].
  • Chapelle Saint-Andéol au cimetière (XIIe siècle au XIVe siècle) : art roman provençal, nef unique à trois travées, décor végétal, porche en arc brisé. Bâtiment classé (MH)[26].
  • Oratoire « Le Romain » : bas-relief[26].
  • Château de La Bâtie-Rolland (propriété privée).
  • Fermes fortes[26].
  • L'église actuelle (XIXe siècle) est dédiée à « Notre-Dame-des-Victoires » et non pas à « Saint Roch », contrairement à une idée largement répandue au plan local, y compris paroissial. L'autel situé dans le transept ouest dédié à « Notre-Dame des Victoires » en témoigne, ainsi que les procès-verbaux des visites canoniques des curés de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Le choix de ce vocable est lié au développement du culte de Notre-Dame des Victoires, lancé par l'abbé Charles-Éléonore Dufriche-Desgenettes en la basilique Notre-Dame-des-Victoires de Paris à partir de 1840. L'église, de style néo-roman, présente peu d'intérêt architectural[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de La Bâtie-Rolland Blason
Au champ d'or à deux mains au naturel issant des pointes de l'écu, au chef d'azur chargé d'un croissant d'argent accosté de 2 étoiles du même[33].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Annexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre La Bâtie-Rolland et Montboucher-sur-Jabron », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Montboucher-S-Jabron », sur la commune de Montboucher-sur-Jabron - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Montboucher-S-Jabron », sur la commune de Montboucher-sur-Jabron - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  14. ligne de bus.
  15. transport scolaire.
  16. a et b J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 24 (La Bâtie-Rolland).
  17. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. école primaire
  23. collège de Montélimar
  24. lycée de Montélimar
  25. hopitaux.
  26. a b c d e f g et h Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), La Bâtie-Rolland.
  27. « Top Semence » (consulté le )
  28. commerce alimentaire.
  29. autres commerces.
  30. artisans BTP.
  31. pépinière.
  32. artisan du jardin.
  33. « genheral.com/asp/TableauSVG.as… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).