Jean Dideral
Jean Dideral
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Jean Dideral, nom de plume d’Édouard Lévy, est un écrivain égyptien d'expression française né le à Alexandrie et mort à Neuilly-sur-Seine le [1],[2]. Il prit le nom de Dideral en hommage à Diderot.
Biographie[modifier | modifier le code]
Tout d'abord avocat près la Cour d'appel mixte d'Alexandrie, puis avocat près la Cour d'appel national d'Alexandrie, il fut expulsé d'Égypte, à la suite de la crise du canal de Suez. Devenu aveugle en 1948, il épousa vers 1960 une Française, Nicole Guion (1921-1989), fille d'un banquier. Son premier ouvrage, le roman Égypte mes yeux, mon soleil, eut une certaine notoriété.
Œuvres[modifier | modifier le code]
- Égypte mes yeux, mon soleil, 1969.
- La Grande peur des bien-mangeants, Ed. Oswald, Honfleur, 1970.
- Les dix jours qui ébranlèrent le Louvre ou la forêt des mots, Ed. Oswald, Paris, 1974, avec une lithographie de Marcel Salinas.
- Le Charmeur de voitures, 1976, Les éditeurs français réunis, Paris.
- Le Chant de l'éclipse ou Danser la vie, 1982, Ed. Arcam, Paris.
- Noces d’argent, 1987, Ed. Arcam, Paris, avec son épouse Nicole Dideral.
Notes[modifier | modifier le code]
- Relevé généalogique (fichier des décès de l'Insee) sur Geneanet]
- Il est incinéré au crématorium du Père Lachaise. Ses cendres reposent au colombariumm case 14 254.
