Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne

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Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne
Biographie
Naissance
Décès
(à 67 ans)
Paris
Activité
Père
Jacques Hardouin-Mansart
Mère
Madeleine Duguesny
Fratrie
Œuvres principales

Jacques Hardouin-Mansart appelé aussi Hardouin-Mansart de Sagonne est un architecte français, né à Paris, le et mort à Paris, le .

Méconnue jusqu'à la fin du XXe siècle, son activité fut réhabilitée par l'historien de l'art, Philippe Cachau. Il fut le Mansart le plus important de la dynastie après François Mansart et Jules Hardouin-Mansart. Cette réhabilitation mit fin à une tradition historiographique héritée des XVIIIe et XIXe siècles qui achevait la tradition Mansart à la mort d'Hardouin-Mansart en 1708 et qui se prolonge en réalité jusqu'au milieu du XVIIIe siècle avec également l'activité de Jean Mansart de Jouy, frère aîné de Mansart de Sagonne.

L'architecte du roi fut portraituré par les plus grands pastellistes du XVIIIe siècle : Maurice-Quentin de La Tour (portrait présenté au Salon en 1738 (n° 70 du livret) et Louis Vigée (portrait présenté au Salon de l'Académie de Saint-Luc en 1751), ce qui atteste la notoriété de l'architecte en son temps. Portraits disparus qui demeurent à identifier par les spécialistes.

Biographie[modifier | modifier le code]

Petit-fils de Jules Hardouin-Mansart, arrière-arrière-petit-neveu de François Mansart et petit-neveu de Robert de Cotte, il était le fils adultérin de Jacques Hardouin-Mansart, comte de Sagonne, et de Madeleine Duguesny, sa maîtresse, devenue son épouse en 1726. Il eut pour frère aîné Jean Mansart de Jouy (1705-1783), également architecte.

Après une carrière de maître d'armes puis de mousquetaire du roi de 1727 à 1732, Mansart de Sagonne songea, sur les conseils de son entourage, à renouer avec la profession d'architecte abandonnée par son père. Dès 1733, il entama la restauration d'une maison à Paris, impasse Pecquay, pour Charles Chevestre, seigneur patron de Cintray. En 1734, il érigea dans le jardin du couvent des dames de l'Union Chrétienne, dite "de Saint-Chaumont", rue Saint-Denis, une maison destinée à la retraite de dames de la bonne société. Il s'agit là de sa première grande réalisation attestée, en collaboration avec le grand ornemaniste rocaille, Nicolas Pineau qu'il ne quittera plus. En 1735, Mansart fut admis à l'Académie royale d'architecture, après un séjour en Italie que lui conseilla le duc d'Antin, directeur des Bâtiments du roi. La réputation de Mansart de Sagonne dans le milieu parisien de l'architecture se fait alors grandissante : en 1737, il entra au service du comte de Clermont, prince du sang, abbé commendataire de Saint-Germain-des-Prés. Pour lui, il restaura le palais abbatial ainsi que différentes possessions de l'abbaye en Île-de-France, et ce jusqu'en 1741. En 1738, le puissant financier Simon Boutin fit bâtir rue de Richelieu, à l'emplacement de l'ancien hôtel de Menars qu'il venait d'acquérir, un ensemble composé d'un grand hôtel pour lui et sa famille, d'un petit hôtel mitoyen pour sa fille et son gendre, et d'une maison à loyer en retour sur la rue Saint-Augustin. Les décors, tant extérieurs qu'intérieurs furent confiés à Nicolas Pineau. La même année et dans la même rue, Mansart de Sagonne érigea au n° 50 (actuel hôtel Washington), la maison de Madame de La Mothe, épouse Poisson, mère de la future marquise de Pompadour. Maison où sera signé en 1741, l'acte de mariage avec Le Normant d'Etiolles.

Les années 1739-1740 virent Mansart de Sagonne se lancer dans la promotion immobilière à travers les projets de lotissements des hôtels de Lesdiguières et de Gramont, projets vite avortés. Mansart n'en continua pas moins son ascension avec une clientèle de plus en plus prestigieuse : en 1740, le comte de Saint-Florentin - un Phélyppeaux de La Vrillière, famille bien connue des Mansart -, célèbre ministre de la Maison du roi, lui confia la réalisation de sa "petite maison" au faubourg Poissonnière (actuel lycée Lamartine ; décor de boiseries de Pineau en place en partie). L'année 1742 marqua la consécration de sa carrière d'architecte : Mansart de Sagonne fut préféré par Louis XV à Ange-Jacques Gabriel pour construire l'église Saint-Louis de Versailles, devenue cathédrale en 1802. En 1746, le roi lui confia la reconstruction du Monastère de Prouilhe (Aude), berceau de l'ordre des dominicains. L'architecte était devenu entre-temps Premier architecte des États de Bourgogne, fonction purement honorifique qui entendait faire de lui, le successeur de Jacques V Gabriel sur le chantier du Palais des États cher à son aïeul Hardouin-Mansart. En 1747, Louis XV songea encore à Mansart de Sagonne dans le projet de transformation du château de Maisons, célèbre réalisation de François Mansart, qu'il entendait acquérir pour Madame de Pompadour. En 1750, Mansart fut de nouveau sollicité par le roi sur une réalisation de François Mansart : l'estimation en dernier ressort, dite "tierce estimation", de l'hôtel du prince de Conti sur le quai du même nom, ancien hôtel Guénégaud du Plessis, en vue du projet de reconstruction de l'hôtel de ville de Paris et de l'établissement d'une place royale à cet emplacement.

1750 marqua, sur le plan civil, l'une des plus belles réalisations de Mansart de Sagonne en la matière, ainsi que dans les environs de la capitale : le château d'Asnières-sur-Seine (1750-1752) pour Marc-René de Voyer de Paulmy d'Argenson (1722-1787), marquis de Voyer. Édifice particulièrement emblématique du style rocaille, les décors furent considérés - à juste titre - par Bruno Pons parmi les plus originaux et les plus splendides de cette époque. Mansart fut aussi l'auteur du non moins impressionnant « entrepôt général des haras d'Asnières », en grande partie oublié des historiens de l'art, vastes écuries de pierre de taille pour 120 chevaux assorties d'un splendide manège.

Le milieu du XVIIIe siècle marqua assurément l'apogée de la carrière de Mansart de Sagonne : il fut engagé alors sur deux projets concomitants de place royale : Paris (1748-1753) et Marseille (1753]. Ce dernier était lié à celui de la reconstruction totale de l'hôtel de ville. S'étant rendu à Marseille à cet effet, Mansart fournit en 1753 les plans et élévations de l'Hôtel-Dieu, confiés à l'architecte de la ville, Claude-Henri-Jacques d'Aggeville. Grâce au marquis de Voyer, l'architecte entra en 1752 au service du duc des Deux-Ponts, Christian IV, prince palatin, en tant que « surintendant de ses bâtiments ». Il érigea pour lui en Allemagne, le château de Jagersburg, superbe version rocaille du Grand Trianon de son aïeul, parachevé en 1756 par Pierre Patte qui en revendiquera la paternité.

À partir de 1755, le désordre de sa vie privée ainsi que l'hostilité marquée de la critique à l'encontre des promoteurs de l'art rocaille, en cette période du néo-classicisme naissant, portèrent un coup sérieux à la carrière de Mansart de Sagonne. En 1756, il tenta de passer à l'étranger à travers un projet de reconstruction du palais royal de Lisbonne, à la suite du tremblement de terre survenu en . Ses prétentions exorbitantes - il sollicita notamment d'être décoré de l'ordre du Christ, distinction suprême de la couronne portugaise -, firent ajourner son voyage. Il se retira alors sur sa terre de Lurcy-Lévy (Allier), acquise du marquis de Castries en 1752. C'est à cette occasion qu'il prit le nom de Mansart de Lévy, nom qu'il conservera jusqu'en 1770. En 1759, il se vit contraint de céder cette terre au marquis de Sinéty. Il se retira alors sur la terre voisine de Sagonne (Cher), acquise par son aïeul Hardouin-Mansart et érigé en comté en 1699, terre que lui avait abandonnée son père moyennant finance. Les déboires de Mansart de Sagonne s'accumulèrent alors : à la mort de son père en 1762, Mansart se vit privé de sa succession, à savoir l'hôtel parisien et le château de Sagonne, par la comtesse de Noailles, arrière-petite-fille légitime de Jules Hardouin-Mansart. Enfant adultérin, Mansart de Sagonne ne parviendra en effet jamais à obtenir ses lettres de légitimation du roi. Ruiné en 1766 à la suite d'un long procès relatif à un marché de bois dans la forêt de Champroux conclu en 1753, forêt située sur sa terre de Lévy, l'architecte dut se réfugier quelque temps chez le prince de Conti, dans son enclos du Temple, afin d'échapper à ses créanciers.

Le mauvais état de sa fortune contraignit Mansart à s'engager sur d'autres voies que celle de l'architecture : il décida ainsi d'embrasser celle d'ingénieur, lançant plusieurs projets de canaux en France (canal de la Marne ; canal de Bourgogne qu'il contribua à relancer ; canal de l'Essonne ; canal de Champagne) et à l'étranger (canal de l'Ebre et de Madrid en Espagne ; canal de Liège en Belgique). Ces projets n'ayant pu aboutir, Mansart de Sagonne entama alors une activité d'inventeur qui ne connaîtra guère plus de succès. Il mourut misérablement, rue Saint-André-des-Arts, le , et fut inhumé le lendemain à la paroisse du même nom. Il était, comme il se plaisait à le rappeler lui-même, « le dernier membre » de l'illustre dynastie, n'ayant eu aucun enfant de son union avec Claude Marchebour qu'il avait épousée en 1734.

Principales réalisations[modifier | modifier le code]

  • Réfection de la maison Chevestre de Cintray, impasse Pecquay à Paris (1733).
  • Maison des Dames de Saint-Chaumond, rue Saint-Denis à Paris (1734).
  • Réfection du château et de l'église de Saint-Nom-la-Bretèche, Yvelines (1736).
  • Maison Buzelard, rue de Charonne à Paris (1737).
  • Maison Poisson, rue de Richelieu à Paris (1738).
  • Grand et petit hôtels + maison à loyer pour Simon Boutin, rues de Richelieu et Saint-Augustin à Paris(1738-1739).
  • Réfection du palais et annexes de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés à Paris (1738-1741).
  • Maison de plaisance de Mansart de Sagonne à Ivry-sur-Seine, Val-de-Marne (1738-1739).
  • Hôtel de Marsilly, rue du Cherche-Midi à Paris (1739-1740).
  • Réfection du premier étage de l'hôtel de Mauron, rue de Verneuil à Paris, pour le nonce apostolique (1739-1740).
  • Réfection intérieure et extension du château de la Source à Orléans pour Simon Boutin (début des années 1740).
  • Maison Saint-Florentin, rue Sainte-Anne (du faubourg Poissonnière)à Paris (1740, actuel lycée Lamartine).
  • Cathédrale Saint-Louis, Versailles (1742-1754).
  • Projets pour le cloître et l'église des Billettes à Paris (1744, 1747).
  • Hôtel de Mannevillette, rue Dauphine (rue Hoche) à Versailles (1746).
  • Monastère de Prouilhe (détruit ; 1746-1787; Aude ; commune de Fanjeaux).
  • Château d'Asnières et son entrepôt général des haras en bord de Seine, Hauts-de-Seine (1750-1755).
  • Hôtel de Crèvecœur (Mansart de Sagonne), rue La Feuillade à Paris (1750).
  • Maison des musiciens italiens à Versailles (1752).
  • Maison de Gilbert-Jérôme Clautrier, 56 rue des Francs-Bourgeois à Paris, (1752).
  • Château de Jägersburg à Deux-Ponts, Allemagne, (1752-1756).
  • Château de Jossigny, Seine-et-Marne (1753).
  • Hôtel-Dieu de Marseille (1753)[1].
  • Pavillon Letellier, rue de Satory (du Mal Joffre) à Versailles (1754-1755).
  • Château du domaine de Montauger, Essonne, (1759-1760).
  • Projet de lotissement de l'hôtel de Lesdiguières à Paris (1739)
  • Projet de remaniements du château de Maisons pour Louis XV et Mme de Pompadour (1747).
  • Projet d'hôtel de ville et de place royale à Marseille (1747-1752).
  • Projet de couverture zénithale de la galerie du palais de Cassel, Allemagne, (1750).
  • Projet de place royale à Paris (1748-1752).
  • Projet d'hôtel de ville à Bordeaux (1768).
  • Projet pour la flèche du campanile de Saint-Michel de Bordeaux (1769).
  • Projet de palais royal à Lisbonne (1756).
  • Projets de canaux (Bourgogne, Champagne, Essonne, Port-à-l'Anglais (Ivry-sur-Seine), Ebre et Manzanarès (Espagne), Liège).

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Philippe Cachau, Les Mansart. Trois générations de génies de l'architecture, Paris, Le Livre d'Art, (à paraître).
  • Philippe Cachau, "Deux architectes français au service de Christian IV des Deux-Ponts : Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne et Pierre Patte", Saarpfalz. Blätter für Geschichte und Volkskunde, 2018.
  • Philippe Cachau, "Les canaux de la Juine, de l'Essonne et de la Rimarde au XVIIIe siècle. Projets de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne et consorts (1759-1767)", Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Essonne et du Hurepoix, 2018.
  • Philippe Cachau, "De Jules Hardouin-Mansart à Jacques Hardouin-Mansart de Lévy : Les Mansart, une dynastie en Bourbonnais", Bulletin de la Société d'Emulation du Bourbonnais, 2017, p. 558-567.
  • Philippe Cachau, "Le fabuleux ensemble de M. Boutin, rue de Richelieu", Bulletin de la Société d'Histoire et d'Archéologie des Ier et IIe arrondissements de Paris, n° 7, 2017, p. 7-9.
  • Philippe Cachau, "François Huguény, premier maire de Beaumont-de-Lomagne et parent des Mansart", Les Cahiers de la Lomagne, n° 22, 2016, p. 31-44.
  • Philippe Cachau, "Le mécénat du marquis de Voyer au château et aux haras d'Asnières-sur-Seine : enjeux politiques et culturels (1750-1755)", Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art français, année 2013, 2014, p. 139-171 (publié en 2017).
  • Philippe Cachau, "Les Mansart. Une grande dynastie d'architectes", Bulletin de la Société des Amis du château de Maisons, n° 11, 2016, p. 5-26.
  • Philippe Cachau, "L'entrepôt général d'Asnières ou les beaux haras oubliés du marquis de Voyer (1752-1755)", Revue des Amis du Cadre noir de Saumur, n° 89, 2016, p. 57-60 (versions française et anglaise).
  • Philippe Cachau, "L'église des Carmes-Billettes de Paris : une église d'après Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (1744-1758)", Bulletin de la Société de l'Histoire de Paris et de l'Ile-de-France (à paraitre en 2016).
  • Philippe Cachau, "Le mécénat du marquis de Voyer au château et aux haras d'Asnières-sur-Seine : enjeux politiques et culturels (1750-1755)", Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art français, 2015 (2016) (à paraitre).
  • Philippe Cachau, "Projets de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne pour l'hôtel de ville et le clocher de Saint-Michel de Bordeaux", Bulletin de la Société archéologique de Bordeaux, 2015 (à paraitre).
  • Philippe Cachau, "Un Mansart au Pays basque : le projet de canal Atlantique-Méditerranée de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, dernier des Mansart (1767-1769)", Bulletin de la Société des Sciences, Lettres et Arts de Bayonne, n°170, année 2015, p. 11-44.
  • Philippe Cachau, "Le monastère royal de Prouille au XVIIIe siècle : la reconstruction par Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, architecte du roi", Les bâtiments du monastère de Prouilhe, Mémoire Dominicaine, n° 32, Fribourg, 2015, p. 83-163.
  • Philippe Cachau, "L'hôtel de ville de Marseille. Vicissitudes de l'aménagement urbain sous Louis XV", Hôtels de ville. Architecture publique à la Renaissance, ouvrage collectif sous la direction d'Alain Salamagne, Rennes et Tours, 2015, p. 319-344.
  • Philippe Cachau, "Le château de Christian IV, duc des Deux-Ponts, à Jägersburg. Un château français en Allemagne (1752-1756)", revue Francia, n° 39, 2012, p. 135-165.
  • Philippe Cachau, « Le château de Jossigny : une réalisation pittoresque de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne », Cahiers d'histoire de l'art, n° 9, 2011 (1re partie), pp. 52-71 et n° 10, 2012 (2e partie), p. 60-74.
  • Philippe Cachau-Xavier Salmon, La cathédrale Saint-Louis de Versailles. Un grand chantier royal du règne de Louis XV, éd. Somogy, Paris, 2009.
  • Philippe Cachau, « La maison des Musiciens Italiens de Montreuil à Versailles », Cahier Philidor, n° 35, , p. 1-59 (étude en ligne sur le site du Centre de Musique Baroque de Versailles) lire sur le site du Centre de Musique Baroque de Versailles.
  • Philippe Cachau, « Un Mansart en Italie. Le carnet de dessins inédit de Mansart de Sagonne (1735) », Bulletin de la Société de l'histoire de l'art français, 2007 (2008), p. 157-171.
  • Philippe Cachau, Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, dernier des Mansart (1711-1778), thèse histoire de l'art soutenue à Paris I en 2004, 3 tomes.
  • Philippe Cachau, « Los proyectos del arquitecto francés Mansart de Sagonne para los canales del Ebro y del Manzanarés (1768) », Archivo Espanol de Arte, Madrid, 2001, p. 80-88.
  • Philippe Cachau, « Jacques Hardouin Mansart de Sagonne, un digne successeur de François Mansart », Les cahiers de Maisons, , n° 27-28, p. 134-149.
  • Philippe Cachau, « L’hôtel de Saint-Chaumond » in Le quartier de Bonne-Nouvelle, sous la direction de Werner Szambien, directeur de recherche au CNRS, Délégation Artistique de la Ville de Paris, Paris, 1999, p. 87-92.
  • Philippe Cachau, « Les projets de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne pour la place Louis XV de Paris (1748-1753) », Paris, capitale des arts sous Louis XV, annales du Centre Ledoux, tome II, Université Paris-I Panthéon-Sorbonne, Paris, 1998, p. 129-147 (ouvrage publié avec le soutien de la Ville de Paris).
  • Philippe Cachau, « Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne ou l’art du dernier des Mansart », Bulletin de la Société de l’Histoire de l’Art français, 1993, p. 85-100.
  • Michel Gallet, Les Architectes parisiens du XVIIIe siècle, Paris, Éditions Mengès, 1995 (ISBN 2856203701)

Références[modifier | modifier le code]

  1. Philippe Cachau, « Un projet inédit de place Royale et d'hôtel de Ville à Marseille par Mansart de Sargonne (1752) », in Bulletin Monumental, 1996-1, p. 39-53, (lire en ligne).

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]