Hescamps

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Hescamps
Hescamps
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Jocelyne Ternois
2020-2026
Code postal 80290
Code commune 80436
Démographie
Gentilé Hescampois
Population
municipale
521 hab. (2021 en diminution de 0,38 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 43′ 46″ nord, 1° 52′ 20″ est
Altitude Min. 127 m
Max. 211 m
Superficie 34,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Poix-de-Picardie
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Hescamps

Hescamps est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Commune du Plateau picard située près de la limite des départements de la Somme, de l'Oise et de la Seine-Maritime, aisément accessible par les anciennes routes nationales 15bis (actuelle RD 1015) et 319 (devenue RD 919), ou par l'autoroute A29.

Elle est située à faible distance des gares de Sainte-Segrée et de Fouilloy.

Localisation[modifier | modifier le code]

Hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune d'Hescamps est constituée par la réunion de quatre anciennes communes de la Somme en 1972 :

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le ruisseau des Évoissons, sous affluent de la Somme par la Selle prend sa source à Handicourt.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 837 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Hescamps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,4 %), prairies (11,7 %), forêts (7,9 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), zones urbanisées (1,5 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 288, alors qu'il était de 295 en 2014 et de 275 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 81,9 % étaient des résidences principales, 8 % des résidences secondaires et 10,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,7 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Hescamps en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92,1 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Hescamps en 2019.
Typologie Hescamps[I 1] Somme[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 81,9 83,2 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 10,1 8,5 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Hesini campus en 1128-1140 ; Hescans en 1234 ; Hecamps en 1397 ; Hescamps en 1507 ; Escamps en 1695 ; Hecamp en 1733 ; Hecamps-St. Cler en 1761 ; Hercamp en 1778 ; Hescamps et Hescamp et Saint-Clair en 1763 ; Hescamp en 1781 ; Hescamps-St. Clair en 1764[13].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des monnaies gallo-romaines ont été trouvées sur le territoire de la commune, prouvant une occupation très ancienne des lieux[14].

Dufour de Retourné[Qui ?] était seigneur d'Hescamps[14][Quand ?].

L'école d'Hescamps est fondée en 1791[14].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

En 1972, les communes d'Agnières, de Frettemolle, de Souplicourt et d'Hescamps-Saint-Clair instituées lors de la Révolution française fusionnent pour constituer la commune d'Hescamps[15].

La commune ainsi constituée se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Les communes fusionnées puis Hescamps font partie depuis 1801 du canton de Poix-de-Picardie[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, où la commune reste intégrée, est modifié et agrandi.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du Sud-Ouest Amiénois (CCSOA), créée en 2004.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[16],[17]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [18], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[19].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [20].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1965[21],[22] 1983 Jean-Marie Sangnier    
mars 1983[21],[22] 1995 Michel Delacour    
mars 1995[21],[22] 2008 Régis Longue-Epée    
mars 2008[23] 2020[24] Étienne Bodereau[25]    
mai 2020[26] En cours
(au 13 juillet 2022)
Jocelyne Ternois    

Pour le mandat 2020-2026, le conseil municipal a élu les maires-délégués des anciennes communes[26] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 521 habitants[Note 3], en diminution de 0,38 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
560520550573566557552577522
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
495520504463418404392376374
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
352343350306311265249258240
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
228215517434404434469463519
2015 2020 2021 - - - - - -
523525521------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Cultes[modifier | modifier le code]

La commune est intégrée au regroupement paroissial catholique de Notre-Dame de Poix-de-Picardie.

Économie[modifier | modifier le code]

La ferme éolienne du Candor produit, depuis l'été 2008, 11 millions de kWh avec ses cinq éoliennes, dont le coût d'installation a avoisiné les sept millions d'euros. Cette réalisation a été faite par une société filiale de la SAS Vents Picards, dont le capital est détenu à hauteur de 20 % par des investisseurs locaux, notamment les propriétaires des terrains voisins des éoliennes[30]. Le nom de Candor, vient de l'ancien français qui signifie « Champ d'Or », car, situés sur le plateau, entre deux vallons, les champs qui s'y trouvaient étaient très fertiles.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La vallée entre Frettemolle et Brettencourt au printemps.
  • Église Saint-Vast d'Agnières :
    Edifice construit sur le ruisseau des Evoissons, avec une nef au parement en damiers de pierre, silex et brique du XVIe siècle[31], un clocher-porche avec décor gothique flamboyant, et un chœur de la fin du XIIe siècle ou du début du XIIIe siècle avec une abside à cinq pans et d'exceptionnels vitraux du XIIIe siècle, figurant les scènes de la Nativité (vitrail nord, à gauche du maitre autel), de la Genèse (vitrail est, derrière le maitre autel), et l'Arbre de Jessé (vitrail sud, à droite du maitre autel) [32],[33]. À l'intérieur, statue du XVIe siècle de sainte Barbe. Cette église est classée monument historique depuis un arrêté du [34].
    Des travaux de restauration ont lieu en 2022[35]
  • Ruines de l'ancien château fort d'Agnières :
    Situées à proximité de l'église. Composées d'une motte féodale, entourée de fossés secs, larges et profonds, avec fondations des murs, emplacement d'un puits. Elles paraissent remonter au XIIIe siècle et, donc être contemporaines de l'église toute proche. Les titulaires de la seigneurie d'Agnières à cette époque ne sont pas connus. Elle appartenait au XIVe siècle à la famille des Quesnes, ou d'Équennes, qui la possédait encore en 1419. En 1430, est mentionné comme seigneur d'Agnières le comte de Hornes, qui vend Agnières en 1462 à Valeran de Moreuil, seigneur de Poix. Les seigneurs d'Agnières se confondent ensuite avec les seigneurs de Poix [36].
  • Église Saint-Martin de Frettemolle:
    Le chœur est du XVIe siècle à chevet plat, la nef à collatéraux rajoutés. Les deux côtés de la nef ont été reconstruits en brique dans la seconde moitié du XIXe siècle, ainsi que le côté Nord du chœur. Le portail est la partie la plus remarquable de l'édifice : sur une console, se trouve une statue représentant saint Martin sur son cheval, partageant son manteau [37]. Le portail de cette église est inscrit aux monuments historiques depuis un arrêté du . Sa toiture a été refaite à neuf en 2018[38],[39].
  • Église Saint-Clair d'Hescamps :
    Elle a été construite toute en pierre au début du XVIe siècle, à l'exception du collatéral nord, en brique et pierre et plus récent[40]. La nef et le chœur sont éclairés par de belles croisées à remplages flamboyants [41]. Dans une niche du mur sud de la nef, une petite Mise au tombeau, en bois polychrome. Sont représentés autour du Christ : Joseph d'Arimathie, Nicodème, Un personnage chauve et barbu (Simon de Cyrène ?), l'apôtre Jean barbu, la Vierge Marie, et agenouillée, Marie-Madeleine[42]. Le portail de style Renaissance, avec un arc puissamment mouluré[43]. Cette église a bénéficié en 2016 d'une réfection à neuf de sa toiture[44],[45].
  • Ancienne chapelle (disparue) de Mesnil-Huchon. En 1919, existait encore au Mesnil Huchon « en un coin de la place accolé au bois, une très modeste petite chapelle de Saint-Sauveur, où un pèlerinage assez actif amenait encore naguère les animaux » [46]. Cette chapelle a disparu depuis plusieurs décennies.
  • Chapelle de Brettencourt. Petite église construite en charpente et torchis, utilisée pour le culte jusqu'au début des années 1980. Laissée ensuite à l'abandon, elle a été remplacée en 2011 par un oratoire.
  • Chapelle de Saint-Clair, construite en brique en 1934. Près de cet emplacement existait un vieux tilleul qui abritait une statue de Saint Clair. Le tilleul abattu, une chapelle est construite en 1838. En 1934, cette chapelle est reconstruite 50 mètres plus loin, en raison de travaux routiers. Un pèlerinage y était organisé pour guérir les maladies des yeux [47].
  • Église de Handicourt [48], comportant des parties de différentes époques. Le portail et le côté nord sont construits en brique, silex et pierre. La porte principale est voûtée en brique, en plein cintre, et surmontée d'un larmier en pierre. Le portail est épaulé par deux puissants contreforts. Au-dessus de la porte latérale côté nord, figure un cartouche avec la date 1838, qui doit être celle d'une restauration. Le chevet et le côté sud ont été reconstruits en brique dans la seconde moitié du XIXe siècle. La toiture de cette église a été refaite à neuf en 2017.
  • Église de Souplicourt (ou Soupplicourt), construite principalement en pierre au XVe ou au XVIe siècle, avec des réparations plus récentes en brique. Le chœur est éclairé par des croisées à remplages flamboyants. On remarque à l'intérieur les fonts baptismaux de la fin du XVe siècle [49] et une poutre de gloire du début du XVIe siècle, ornée des statues de la Vierge, du Christ en croix et de Saint Jean [50]. En 1948, on pouvait encore y voir des vitraux de la fin du XVIe ou du début du XVIIe siècle, contemporains de l'ancien château [51]. La toiture de l'église de Souplicourt a été refaite à neuf en 2016.
  • Portail d'entrée de l'ancien château de Souplicourt, face à l'église, de la première moitié du XVIIe siècle, en brique et pierre avec colonnes saillantes. L'ancien château de Souplicourt avait été construit à la fin du XVIe ou au début du XVIIe siècle, sans doute par Antoine de Saint Blimont et Anne de Louvencourt, son épouse. Passé par alliance à la famille de Lallier de Saint Lieu, il existait encore, en mauvais état, en 1731. Il avait disparu dès 1794. Il se composait d'un corps de logis en brique et pierre, situé face au portail, cantonné côté parc par une tourelle à chacune de ses extrémités, et côté cour, par une aile en retour sur la gauche [52].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • « Hescamps », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Hescamps » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Hescamps - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Hescamps - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Somme » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Hescamps et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 481 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  14. a b et c Notice géographique et historique réalisée en 1899 par l'instituteur d'Hescamps-Saint-Clair, M. Bouchez, Archives départementales de la Somme, Amiens, http://archives.somme.fr/ark:/58483/a011261413543uJ2S3d/1/1
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  17. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  18. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  19. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  20. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  21. a b et c « Honorariat pour les trois anciens maires », Le Réveil,‎ , p. 21.
  22. a b et c « Fête nationale dans le canton : Médailles, diplômes et repas », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 37.
  23. Hebdomadaire Le Réveil du .
  24. « Une dizaine de maires ne se représentent pas », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3646,‎ , p. 33 « Il a été élu pendant 25 années avec deux mandats de conseiller municipal et deux autres de laire ».
  25. Réélu pour le manadt 2014-2020 : « Etienne Boderau reprend les rênes », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3288,‎ , p. 28.
  26. a et b Pierre-Emmanuel Reger, « Jocelyne Ternois élue maire à Hescamps : Jocelyne Ternois est devenue maire d'Hescamps (Somme). Sa première adjointe ainsi que les maires délégués d'Agnières; Souplicourt, et Frettemolle ont été également élus », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Ferme éolienne du Candor : une production de 11 MKwatts », Le Réveil, éditions Bresle Oise Somme,‎ .
  31. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise d'Agnières. D'après nature, 6 juin 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  32. Abbé A. Normand, « Description des vitraux de l'église d'Agnières », Mémoires de la Société des Antiquaires de Picardie, tome 19,‎ , p. 105-118 (lire en ligne).
  33. M. Roux, Le Canton de Poix, in La Picardie historique et monumentale, tome 1, Amiens & Paris, Yvert & Picard, 1893-1899, 490 p. (lire en ligne), p. 228-233.
  34. « L'église Saint-Vast d'Agnières », notice no PA00116180, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Mathieu Marin, « Hescamps. La municipalité souhaite restaurer l'église Saint-Vaast datant du 12e siècle : Après deux ans sans travaux, la municipalité d'Hescamps (Somme) lance son projet de restauration de l'église Saint-Vaast dans la commune associée d'Agnières », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Philippe Seydoux, Gentilhommières en Picardie, tome 1, Paris, Editions de La Morande, , p. 152 & 310.
  37. M. Roux, Le Canton de Poix, in La Picardie historique et monumentale, tome 1, Amiens & Picard, Yvert & Picard, 1893-1899, 490 p. (lire en ligne), p. 234.
  38. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Frettemole, d'après nature, 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  39. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Frettemole. Portail de l'église (Extrait de "La Picardie historique et monumentale"). », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  40. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9758516z/f316.item.texteImage
  41. M. Roux, Le Canton de Poix, in La Picardie historique et monumentale, tome 1, Amiens & Paris, Yvert & Picard, 1893-1899, 490 p. (lire en ligne), p. 233-234.
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