Genté

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Genté
Genté
La mairie de Genté.
Blason de Genté
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Carmen Bernard
2022-2026
Code postal 16130
Code commune 16151
Démographie
Gentilé Gentéens
Population
municipale
895 hab. (2021 en diminution de 0,67 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 37′ 43″ nord, 0° 18′ 45″ ouest
Altitude Min. 18 m
Max. 101 m
Superficie 11,59 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charente-Champagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Genté
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Genté
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Genté
Liens
Site web www.gente.fr

Genté est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Gentéens et les Gentéennes[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Genté est une commune située à l'ouest du département de la Charente, proche de la Charente-Maritime et 8 km au sud de Cognac.

Genté est aussi à 7 km à l'ouest de Segonzac, le chef-lieu de son canton, 11 km au nord d'Archiac, 13 km de Jarnac et 37 km à l'ouest d'Angoulême[2].

La commune est bordée à l'ouest par la D 731, route de Saint-Jean-d'Angély à Chalais entre Cognac et Archiac, et à l'est par la D 24, route de Cognac à Segonzac. La D 148 unit ces deux routes d'est en ouest et passe au bourg[3].

La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes et Royan.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune est occupée au nord par une partie de la base aérienne 709 de Cognac.

Les hameaux sont principalement groupés près du bourg, à l'est et à l'ouest, le long de la D 148. D'ouest en est, on trouve la Couture, la Vallade, Thouars, Nonac et Marville. Au nord-est, les Six Chemins est un carrefour situé à la limite de la commune de Gensac-la-Pallue[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Comme toute cette partie rive gauche de la Charente au sud d'Angoulême et Cognac, c'est une zone calcaire datant du Crétacé.

Le Santonien occupe une grande moitié nord de la commune. Il correspond à la plaine de Châteaubernard. La moitié sud est occupée par le Campanien, calcaire plus crayeux, qui occupe une grande partie du Sud Charente et donne les paysages de Champagne dans l'ouest du département de la Charente.

Une cuesta du Campanien faisant face au nord traverse la commune d'est en ouest. Cet escarpement caractéristique, démarrant à l'ouest à Salles-d'Angles et passant au pied du bourg, traverse tout le département et va vers le sud-est en direction de Bouteville, Jurignac et Plassac-Rouffiac. Dans la commune, il sépare au nord la plaine de Cognac de la Champagne au sud[4],[5],[6].

La commune est donc occupée par la plaine dans une grande moitié nord, dont l'altitude moyenne est de 30 m, et par des plateaux au sud de la cuesta, qui dominent cette plaine. Le point culminant de la commune est à une altitude de 101 m, situé au réservoir au sud du bourg (borne IGN). Le point le plus bas est à 18 m, situé sur la limite nord. Le bourg, à flanc de l'escarpement, s'étage entre 45 et 80 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Genté.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune, mais on peut trouver quelques sources et fontaines près du bourg[8],[Carte 1].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Genté est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (34,5 %), zones agricoles hétérogènes (24,5 %), terres arables (19,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14,1 %), zones urbanisées (7,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Genté est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par ruissellement et coulée de boue, notamment la Charente. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1992, 1993 et 1999[17],[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Genté.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 38,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 417 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 308 sont en aléa moyen ou fort, soit 74 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Agento en 1110[21], Genten (non daté)[22].

L'origine du nom de Genté remonterait à un nom de personne gaulois, peut-être apparenté à Agen[23],[Note 3].

Genté est une des rares communes de cette partie de la Charente dont le nom se termine par -é et non par -ac[Note 4].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

La présence d'un fossé circulaire protohistorique au lieu-dit les Touches, et du site d'un camp néolithique sur la colline de Jette Feu montre l'ancienneté de l'occupation[24].

Le chemin Boisné, ancienne voie romaine de Saintes à Périgueux, limite la commune au nord.

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

Genté fit partie, au Moyen Âge, des châtellenies de Cognac et de Merpins, et eut pour seigneurs les sires de Cognac, depuis Arnaud jusqu'à Guy de Lusignan. Guy de Lusignan, n'ayant pas de prospérité légua à son neveu, Guy de Mortemer par testament daté d'octobre 1281, les seigneuries de Salles et Genté. la famille de Mortemer posséda les droits seigneuriaux de Genté jusqu'en 1561, époque à laquelle Gaston de La Rochefoucauld leur succéda. La petite-fille de ce dernier et le comte de Brassac, son mari, aliénèrent, sous faculté de rachat, en 1675, la terre de Genté et les droits en dépendant à Christophe Giraud, écuyer, seigneur de Bois-Charente, lequel en février 1693, en fit cession à Philippe Guillet, avocat du roi à Cognac. La terre de Genté fut séparée de celle de Salles de 1675 à 1754. Le , la princesse de Chalais rachètera Genté à la veuve de Philippe Guillet et à son fils curé de Cherves, par acte reçu par Prévostière, notaire à Genté. Madame de Chalais et les Talleyrand-Périgord furent, jusqu'à la Révolution, les continuateurs des de Mortemer et des de La Rochefoucauld[25].

Initialement relevant du comté d'Angoumois, la terre de Marville était une seigneurie qui faisait partie, avec Roissac et Gensac d'une transaction qui a eu lieu en 1231 entre les comtes d'Angoulême, en l'occurrence Hugues X de Lusignan et sa femme Isabelle, ex-reine d'Angleterre, et Itier II de Barbezieux, de Saintonge. Ce dernier renonçait aux droits sur la châtellenie de Merpins en échange de ceux sur ces trois seigneuries[26],[27].

Le , les représentants de Genté à l'assemblée préliminaire des États généraux de 1789 qui se tient à la salle capitulaire des Récollets de Cognac sont Prévostière et Pierre Longué[28],[25].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1983 2020 Christian Valtaud SE Viticulteur,
Président de la CC Grande-Champagne
2020 2022 Alain Lagier SE Directeur informatique retraité
2022 En cours Carmen Bernard[29] SE  

La mairie de Genté était aussi le siège de l'ancienne communauté de communes de Grande Champagne.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 895 habitants[Note 5], en diminution de 0,67 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
592543567508605717735801788
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
994973930907750682606583596
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
600583564550512470402444519
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
607694755851830857852895900
2019 2021 - - - - - - -
886895-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 443 hommes pour 442 femmes, soit un taux de 50,06 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,8 
8,1 
75-89 ans
6,8 
23,0 
60-74 ans
24,7 
22,1 
45-59 ans
19,5 
16,9 
30-44 ans
18,8 
11,7 
15-29 ans
13,6 
17,8 
0-14 ans
14,9 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture est une activité importante de Genté, qui est située dans la zone d'appellation d'origine contrôlée cognac, en Grande Champagne, premier cru classé du cognac[36].

De petits producteurs de cognac, de pineau des Charentes et de vin de Pays charentais sont installés dans la commune.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

La salle des fêtes près de l'église.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Genté possède une école primaire comprenant trois classes. Le secteur du collège est Cognac, collège Elisée-Mousnier[37].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Médard de Genté, bien qu'incontestablement de style roman a un style très particulier, différent de celui des autres églises des Charentes. Elle est inscrite monument historique depuis 1984[38],[39].

Wikimedia Commons présente d’autres illustrations sur l’église Saint-Médard.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

La fontaine, ancien lavoir et abreuvoir.

Des tunnels existeraient pouvant aller jusqu'à Cognac. Un est répertorié partant de la fontaine du bourg, un autre chez des particuliers, etc. Ils sont pour la plupart en mauvais état mais pourraient vraisemblablement être restaurés.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]


Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Parti : contre-fascé d'or et d'azur de six pièces, à un écusson d'argent chargé d'une bande de gueules, posé en abîme[40].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Pour la forme ancienne Agento, voir aussi l'étymologie de Genac.
  4. La limite toponymique -ac / -é (ou -y), de direction est-ouest passe plus au nord, entre Cognac et Matha, et traverse le nord-ouest de la Charente; voir suffixe -acum.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Genté » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Genté », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Genté », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Genté », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  21. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 126
  22. Cartulaire de Barbezieux
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 316.
  24. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 203
  25. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 188
  26. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 186,188,238
  27. « Logis de Marville », (consulté le ).
  28. Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac, abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
  29. T.B., « Carmen Bernard élue sans surprise », Charente libre,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Genté (16151) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  36. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le ).
  37. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  38. « Église de Genté (notice) », notice no PA00104380, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. « Église de Genté », notice no IA00042117, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. Jean-Marie Ouvrard, « Genté »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]