Frazé

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Frazé
Frazé
Le château de Frazé
Logo monument historique Classé MH (1948)[1].
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes Terres de Perche
Maire
Mandat
Brigitte Pistre
2020-2026
Code postal 28160
Code commune 28161
Démographie
Gentilé Frazéen, frazéens, frazéenne, frazéennes
Population
municipale
493 hab. (2021 en diminution de 3,14 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 15′ 44″ nord, 1° 06′ 01″ est
Altitude Min. 167 m
Max. 233 m
Superficie 27,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Brou
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Frazé
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Frazé
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Frazé
Liens
Site web http://www.mairie-fraze.fr

Frazé est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. En 2019, Frazé est choisi pour représenter la région Centre-Val de Loire dans l’émission Le Village préféré des Français. Il est classé en 10ème position.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Frazé est un village percheron situé à 1 h 30 du centre de Paris et à 40 minutes de Chartres.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la rivière la Foussarde, affluent en rive droite du Loir, lui-même sous-affluent de la Loire par la Sarthe et la Maine[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Normandie (Cotentin, Orne) » et « Moyenne vallée de la Loire »[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Miermaigne à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 755,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Frazé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brou, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,3 %), forêts (14,4 %), prairies (8,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones urbanisées (0,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Frazé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Foussarde. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[17],[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Frazé.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 73,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 332 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 259 sont en aléa moyen ou fort, soit 78 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Frasiam en 1215, Fraseium vers 1219, Froiseium vers 1270[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

XXe siècle[modifier | modifier le code]

Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[21], dont Frazé[22]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[23]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2014 En cours Brigitte Pistre[25],[26] LREM Ancienne cadre

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 493 habitants[Note 3], en diminution de 3,14 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1001 2391 2181 4921 5131 4591 5251 5121 536
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5051 5241 5061 3381 3231 2081 2311 1681 167
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1261 1741 1731 011976953926859795
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
689605481418489493514517510
2017 2021 - - - - - - -
505493-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Frazé se déploie autour de son château et de son église, dans une boucle de la Foussarde au milieu de collines boisées. Quelques manoirs jalonnent les routes alentour, contribuant à faire de Frazé l'un des plus pittoresques villages du Perche.

Le château[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Classé MH (1948)[1].

C'est en venant de La Croix-du-Perche que le château de Frazé est le plus visible. Il forme un ensemble où il est facile de distinguer plusieurs époques.

Construit sur une ancienne motte féodale encore visible et totalement détruit pendant la guerre de Cent Ans, il a été remplacé dans la seconde moitié du XVe siècle par le château dont on voit maintenant les vestiges. La tour Saint-François est restée en l'état avec son soubassement de grison et ses rangs de pierre blanche. Sur le cercle à mi-hauteur se déroule la cordelière de Saint-François-d'Assise, avec ses torsades et ses nœuds. Au XVIe siècle on ajouta un bâtiment Renaissance, puis au XVIIe et XVIIIe siècles, de nouvelles constructions furent édifiées.

L'ensemble a été rénové au XIXe siècle, puis dans la première moitié du XXe siècle au parc orné de jardins à la française. Aujourd'hui, le château est ouvert à la visite.

L'église Notre-Dame[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Classé MH (1987)[31].

L'église Notre-Dame, d'origine romane, s'est agrandie au XVIe siècle de quatre chapelles à pignons.

Le portail ouvrant dans la deuxième chapelle est de style Renaissance. Il comporte deux arcades reposant sur trois atlantes et l'on peut également admirer la frise d'entrelacs au-dessus des arcs. Ces ornements d'inspiration païenne peuvent paraître surprenants en ces lieux.

La porte occidentale est surmontée d'une rosace flamboyante et date de la fin du XVe siècle.

Des travaux de restauration de l'extérieur de l'édifice sont conduits de 2013 à 2016 pour un montant de 1,2 M€[32].

Les manoirs[modifier | modifier le code]

Plusieurs manoirs ornent la campagne alentour, dont deux sont inscrits au titre de monument historique :

Le manoir du Châtellier[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Inscrit MH (1975)[33].

Sur la route vers Brou, ou accessible lors d'une promenade par un chemin de randonnée, ce manoir est situé sur une ancienne motte féodale et date du XVIe siècle.

La demeure, cachée par des arbres séculaires, possède des fenêtres à meneaux et une façade en briques à décor de croisillons, ainsi que des cheminées sculptées.

Le manoir du Cormier[modifier | modifier le code]
Le manoir du Cormier.

Logo monument historique Inscrit MH (1995)[34].

Ce manoir témoigne des différentes phases de sa construction. Le porche d'entrée et le logis de maître au nord remontent aux XVIe et XVIIe siècles[35]. Les bâtiments de ferme sont plus récents. À l'exception de la grange, ils figurent au cadastre de 1810. Le porche d'entrée avec son bel escalier à vis suspendu et sa grande salle à l'étage est le corps de bâtiment le plus remarquable du manoir.

Le Cormier, avec sa porte fortifiée, ses fossés et ses corps de bâtiments disposés autour d'une cour est un manoir percheron très typique.

Le Grand Carcahut (ou Carcahu)[modifier | modifier le code]

Ce fut longtemps une exploitation agricole, qui vient d'être rénové.[Quand ?] On en trouve des traces dès le XIIe siècle du fief de Carcahu aux mains d'un fidèle de Guillaume-Goüet. Le bâtiment actuel semble antérieur à la date portée en fronton (1677) et présente une silhouette massive flanquée d'un haut toit en pavillon et d'une tour d'escalier.

Ce manoir percheron semble être le plus ancien bâtiment de Frazé.[réf. nécessaire]

L'ancienne tuilerie[modifier | modifier le code]

Non loin du château, après avoir passé le pont qui enjambe la Foussarde, on découvre l’ancienne tuilerie du château, créée pour la construction du château, des fermes, basses cours et autres annexes et sans nul doute d’une bonne partie des maisons du village. Un premier bâtiment au toit à quatre pentes est surmonté de deux épis de faîtage. La disposition particulière de ses tuiles permettait une bonne ventilation au-dessus des foyers, encore en état de fonctionnement : c’est le four. À la suite, un bâtiment en longueur, le séchoir, attire l’attention, avec ses murs ajourés grâce à la mise en œuvre originale de leurs briques, qui assurait la circulation de l’air, nécessaire au séchage du bois de chauffe du four, des briques et tuiles dans leur moule avant cuisson. Nombre de petits ateliers et appentis secondaires ont disparu, et l’ensemble a été transformé en habitation.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Château de Frazé », notice no PA00097112, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Foussarde (M1015000) » (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Frazé et Miermaigne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Miermaigne », sur la commune de Miermaigne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Miermaigne », sur la commune de Miermaigne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Frazé », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Droz, , p. 758.
  21. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
  22. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
  23. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
  24. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
  25. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Église Notre-Dame », notice no PA00097113, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Les échafaudages seront bientôt démontés », sur www.lechorepublicain.fr, (consulté le ).
  33. « Manoir du Châtelier », notice no PA00097114, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Manoir du Cormier », notice no PA00135290, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Le porche d'entrée est daté de 1572.
  36. « De Paris-Strasbourg à Paris-Ribeauvillé - 90 ans d’histoire ! », sur marche-mythique.org (consulté le ).
  37. Le Monde, n° 21 164 du 3 février 2013.
  38. « "Maison Close" : Valérie Karsenti, sans temps mort », sur lemonde.fr, (consulté le ).