Formerie

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Formerie
Formerie
La mairie de Formerie.
Blason de Formerie
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie verte
Maire
Mandat
William Bous
2020-2026
Code postal 60220
Code commune 60245
Démographie
Gentilé Formions
Population
municipale
2 105 hab. (2021 en augmentation de 2,38 % par rapport à 2015)
Densité 164 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 04″ nord, 1° 43′ 50″ est
Altitude Min. 203 m
Max. 229 m
Superficie 12,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Formerie
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Formerie
Liens
Site web https://www.formerie.fr/

Formerie est une commune française, du département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont les Formions[1].

Le , Formerie absorbe la commune de Boutavent, et prend le statut de commune nouvelle.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Formerie est un bourg rural du Plateau picard situé à l'extrémité nord-ouest du département de l'Oise, en bordure du département de la Seine-Maritime, à 35 km à vol d'oiseau au nord-ouest de Beauvais, 14 km au nord-est de Forges-les-Eaux et 51 km de Rouen, 51 km au sud-est de Dieppe et du littoral de la Manche, 13 km au sud d'Aumale et 49 km au sud-ouest d'Amiens.

Il est situé au carrefour des tracés initiaux des anciennes route nationale 319 et route nationale 316 (actuelles RD 919 et 316).

Louis Graves indiquait en 1850 (et donc bien avant la fusion avec Boutavent) que « Le territoire.de Formerie constitue un plateau uniforme à peu près rectangulaire, boisé dans la section du nord, limité au sud par la voie romaine connue sous le nom d'ancien chemin de Gournay à Dieppe. Il décrit à l'ouest une saillie anguleuse assez considérable entre Grumesnil et Criquiers (Seine-Inférieure). Le bourg, placé dans une position centrale, présente une agglomération ayant l'aspect d'une petite ville[2] »

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 890 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Formerie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Elle compte deux hameaux : les Garennes et la Mare à Saulx.

S'y rajoute le Boutavent, qui devient alors une commune déléguée de Formerie.

Habitat[modifier | modifier le code]

Évolution du nombre de logements du territoire de la commune nouvelle
tel qu'existant au
Logements[15] Nombre en 2008 % en 2008 nombre en 2013 % en 2013 nombre en 2019 % en 2019
Total 1 097 100 % 1 167 100 % 1 185 100 %
Résidences principales 983 89,6 % 989 84,7 % 1 010 85,2%
→ Dont HLM 227 23,1  % 199 20,2 % 192 19,0 %
Résidences secondaires et
logements occasionnels
37 3,4  % 27 2,3 % 12 1,0 %
Logements vacants[Note 2] 77 7,0 % 152 13,0 % 163 13,8 %
Dont :
→ maisons 869* 79,2 % 907 77,7 % 926 78,1* %
→ appartements 218 19,9 % 206 17,7 % 241 20,4 %

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La gare de Formerie, sur la ligne Amiens - Rouen, est utilisée en 2020 par environ 9 130 voyageurs[16].

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 612, 6103, 6113, 6124 et 6150 du réseau interurbain de l'Oise[17].

Énergie[modifier | modifier le code]

La création d'un réseau de chaleur biomasse est envisagée par la Communauté de communes de la Picardie verte. Son énergie proviendrait des anas de lin et permettrait d’alimenter le siège de la CCPV, le collège de Formerie, les gymnases ou la piscine Atlantis.

La CCPV prévoit d’investir en 2022 pour poser des panneaux photovoltaïques sur le parking en face de la piscine[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Framerioe (vers 860)[19] ; de Formeriis (1172) ; Furmeries (1190) ; Formerias (1202) ; villam de Formeriis (1210)[19] ; Formeries[2] (1222) ; Fromerioe (1240)[19] ; Fourmeries (1301) ; Formeria (1301)[19] ; Fourmerie[2] (vers 1340) ; Fromeries (vers 1340)[19] ; Fromeries en Bray[2] (vers 1450) ; Fourmeryes (1454)[19] ; Fromerie (vers 1500) ; Fourmeriez (1503) ; Fromerye (1557) ; Formeryes (1600) ; Formery (1634) ; Frommeries (1715) ; Frommeryes (1715) ; Formerie (1840)[19].

En ancien patois picard ont dit formage pour « fromage », dérivé de forma[Note 3]. La Tomme au foin fabriqué dans la vallée du Thérain.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Des vestiges gallo-romains ont été découverts au lieu-dit La Mare à Saulx[20].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Formerie était l'une des quatre baronnies du vidame de Gerberoy. Les seigneurs avaient droit de haute, moyenne et basse justice avec bailli et officiers subalternes pour l'exercer. On allait en appel des sentences de cette justice par devant le bailliage d'Amiens, en la prévôté royale de Beauvais, siégeant à Grandvilliers[21].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Le dernier seigneur de Formerie, Antoine du Prat de Barbançon, émigre en 1791. Ses biens, constitués 142 acres de terre à labour, 20 d'herbages, 32 de bois, deux moulins à vent, le château et divers droits féaudaux, sont saisis en 1792 comme biens nationaux et vendus au profit de l'État par les administrateurs du district de Grandvilliers le 25 messidor an II () et le 21 thermidor an II ()[22].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

En 1703, le bourg est pratiquement détruit par un incendie, sauf cinq à six maisons[20],[2].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Le dernier seigneur de Formerie, Antoine du Prat de Barbançon, émigre en 1791. Ses biens, constitués 142 acres[Note 4] de terre à labour, 20 d'herbages, 32 de bois, deux moulins à vent, le château et divers droits féodaux, sont saisis en 1792 comme biens nationaux et vendus au profit de l'État par les administrateurs du district de Grandvilliers le 25 messidor an II () et le 21 thermidor an II ()[23].

Après le vote de l'Assemblée nationale sur la constitution des municipalités, la première municipalité est élue le dans l'église de Formerie. Pierre Francastel est élu maire par 71 voix sur 74 votants[24].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1850, on notait à Formerie un comice agricole, une foire et un marché. Un service de diligences permettait de rejoindre Beauvais et Forges-les-Eaux. Le bourg était suffisamment important pour compter une compagnie de pompiers, une brigade de gendarmerie, un bureau de poste aux lettres, un relais de poste aux chevaux, des pensionnats et maisons d'éducation pour les filles, ainsi que deux moulins à vent, deux brasseries ainsi que des ateliers d'apprêt pour bonneterie[2].

La commune est desservie par la ligne Amiens - Rouen dès avril 1867 avec la mise en service de la gare de Formerie[16], facilitant les déplacements des habitants et le transport des marchandises.

Guerre franco-prussienne de 1870[modifier | modifier le code]

Le monument aux défenseurs de Formerie pendant la Guerre de 1870.

Formerie est le lieu d'un combat pendant la guerre franco-prussienne de 1870, les 27 et 28 octobre 1870[25],[26] à laquelle participa le 5e bataillon de marche commandé par le capitaine Dornat, formé de compagnies de marche des 19e et 62e régiments d'infanterie de ligne, le 53e régiment provisoire, composé des Moblots de l'Oise[27] et la 1re section de la 2e batterie du 15e régiment d'artillerie[28]. Trois rues de la ville rappellent ce combat : La rue Dornat, en hommage au capitaine, la rue du 28 octobre, en référence à la date du combat et la rue Alavoine[29].

Débuts de la IIIe République[modifier | modifier le code]

La gare de Formerie devient en 1894 le terminus de la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique de Milly-sur-Thérain à Formerie du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise. Cette ligne a fermé en 1935.

En 1883, Formerie compte plusieurs écoles : une école communale de garçons, tenue par un instituteur laïque, une école communale de filles, une école maternelle et un pensionnat dirigés par les religieuses de Saint-Joseph de Cluny et un pensionnat secondaire privé pour les jeunes gens[30].

Au début du XXe siècle, le marché aux cochons de la place du Fryer avait une importance nationale et attirait, chaque semaine, des milliers de chalands[31].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Une des trois gares françaises de stockage de munitions (avec Vaivre, près de Vesoul et Brienne) est implantée en Formerie pendant l'hiver 1915-1916, dotée de six vastes hangars pour l'emmagasinage des projectiles et de vastes garages pour le stationnement et le reconditionnement des munitions, placée à la disposition immédiate du commandant en chef et servant d’annexe à la gare régulatrice britannique de Romescamps[16].

Sa localisation a été définie pour être à une distance suffisante du front pour ne pas être exposés à des incursions aériennes constantes}[32],[33].. Cela n'a pas épargné à la ville et aux communes voisines des bombardements, reconnus par une citation de la commune à l'ordre de l'armée avec la mention suivante, partagée avec les communes d'Abancourt, Blargies, Fouilloy : « Ont supporté courageusement les violents bombardements par avions dont elles ont été l'objet au cours de la guerre. Malgré les souffrances endurées et les dégâts commis, ont toujours fait preuve d'une confiance inébranlable dans le succès de nos armes[34] ».

La commune de Formerie est titulaire de la Croix de guerre 1914-1918[35].

L'église, détruite par un incendie en 1933, est reconstruite en 1937.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Lors de la Bataille de France de juin 1940, Formerie est un nœud routier important qui est âprement défendue par l'armée française, dont les fantassins, mal armés, dressent des barricades de fortune dans lesrues et résistent à la pression allemande. Face aux tirs de mortiers et aux incursions allemandes, dépourvus de canons, de mines et de grenades, les mitrailleurs français harcelèrent l'assaillant, refusant toute relève mais subit des bombardements qui lui infligent de lourdes pertes. Le bombardement de la Luftwaffe a commencé le afin de défaire la poche de résistance menée par le 144e régiment d'infanterie qui lutte pendant 55 heures contre l'ennemi, pour freiner son avance. Ces combats sont relatés dans le livre cinquante-cinq heures de guerre de Pierre Tisseyre[36].

Le 9 juin, après 55 heures de combat, le drapeau blanc est hissé par l'aspirant Fleck tandis que, côté Nazi en représailles, l'armée allemande détruit 132 maisons et en endommage d'autres. Dix-huit morts furent à déplorer[37],[36].

Durant la Guerre, des familles juives, notamment refoulées de Rouen par les Allemands, se réfugient à Formerie en mai 1942. En juillet, 28 personnes, adultes et enfants, d'origine grecque, polonaise, russe, tchèque, autrichienne ou roumaine, sont arrêtés par les gendarmes français, sur ordre de la police de sécurité régionale allemande et déportés. Deux familles qui avaient échappées à la raffle de 1942 (Beila, Nathan et David Gerzst, Mathilde et Victor Cohen) sont capturés le et déportés à Auschwitz le 20 janvier suivant par le convoi no 66[38],[39],[36].

Durant l'occupation, la Résistance s'organise, réalisant des sabotages, tels l'attaque de la ligne Amiens-Rouen du , où 30 wagons déraillent, aidant les aviateurs alliés en les recueillant, les cachant et en facilitant leur retour Outre-Manche. L'aviation alliée a également attaqué les voies ferrées, en mitraillant les trains (comme le ) ou en bombardant la gare (comme les 11 et ), occasionnant la mort de civils[36].

Lors des combats de la Libération de la France, Le 31 août 1944, les résistants du secteur, placés sous la direction du vétérinaire Maurice Baillon (réseau Libération-Nord), livrent combat contre les Allemands en repli et parviennent à capturer 1 500 soldats ennemis ainsi qu'à délivrer trois habitants sur le point d'être fusillés, mais perdent trois hommes[36]. Formerie est libéré par le XII britannique[36].

La Croix de guerre 1939-1945 est décernée à Formerie le 21 juin 1950 avec la citation suivante :

« bombardée et attaquée les 6, 7 et 8 juin 1940, la ville de Formerie, âprement défendue par nos soldats, fut pillée et incendiée en représailles de cette action héroïque. Pendant quatre ans, elle subit la loi et les exigences de l'occupant se retranchant dans une résistance active, résolue, efficace en faveur des parachutistes et agents alliés. Libérée le 31 août 1944, sa population a depuis tout mis en œuvre pour relever ses ruines, faire renaitre sa cité meurtrie, rétablir son commerce, ses marchés et lui redonner sa renommée et son activité de jadis.
Titulaire de la Croix de guerre 1914-1918, la ville de Formerie a de nouveau bien mérité de la Patrie[40] »

— Citation décernée le 21 juin 1950 par le Ministre de la défense nationale

La reconstruction[modifier | modifier le code]

Le plan de reconstruction, conçu par Robert Auzelle, est approuvé le [41].

XXIe siècle[modifier | modifier le code]

En juillet 2018, les conseils municipaux de Formerie et de Boutavent décident[Note 5] la fusion de leurs communes, qui deviennent en 2019 la commune nouvelle de Formerie.

La première conséquence de cette fusion est la scolarisation des enfants de Boutavent à Formerie, alors qu'ils étaient auparavant rattachés aux écoles de Blargies et Abancourt[42],[43],[44],[45].

Cette fusion intervient le [46],[47], et la commune nouvelle ainsi formée conserve le nom de Formerie.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Formerie[48]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Grandvilliers

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Formerie fait partie de la communauté de communes de la Picardie Verte, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Cette intercommunalité regroupe l'ensemble des communes des anciens cantons de Formerie, Grandvilliers et Marseille-en-Beauvaisis, ainsi que certaines communes de l'ancien canton de Songeons[49].

La commune fait également partie du « Grand Beauvaisis », l'un des seize pays constituant le « Pays de Picardie »[réf. nécessaire].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans l'Oise, la liste menée par le maire sortant William Bous obtient 935 voix (89,21 % des suffrages exorimés, 18 conseillers municipaux élus dont 15 communautaires), devançant très largement celle FN menée par Nicolas Denouette, qui a recueilli 113 voix (10,78 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, 26,58 % des électeurs se sont abstenus[50].

Lors des élections municipales de 2020 dans l'Oise, la liste menée par le maire sortant William Bous est la seule candidate. Elle obtient donc la totalité des 564 suffrages exprimés et est élue en totalité.
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 57,90 % des électeurs se sont abstenus et 16,69 % des votants ont choisis un bulletin blanc ou nul[51].

Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2022, les quatre premiers candidats ont obtenus : Marine le Pen (RN) : 46,91 %, Emmanuel Macron (LREM) : 26,54 %, Jean-Luc Mélenchon (LFI) : 8,47 % et Éric Zemmour (Reconquête) : 4,94 %.
Au second tour, Marine Le Pen devance avec 720 voix (63,38 %) Emmanuel Macron (36,62 %). Lors de ce scrutin, 26,56 % des électeurs se sont abstenus[52].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Après la fusion de 2019 et jusqu'aux élections municipales de 2020, le conseil municipal est constitué de 25 membres, 18 issus du conseil municipal de Formerie élus en 2014 et les 7 conseillers municipaux élus à Boutavent. Pour le mandat 2020-2026, son conseil est réduit à 23 membres, dont 6 sont également conseillers communautaires[51].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1945 André Mercier    
1945 1957 Fernand Gaudefroy    
1957 1963 Marcel Lecourtois    
1963 1977 Émile Giudicelli    
1977 1983 Étienne Seydoux    
1983 mai 2000[55] Hervé Joron PS Principal de collège
Conseiller général de Formerie (1987 → 1992)
Décédé en fonction
2000[56],[57] mars 2001[58] René Ménival   Retraité de Kindy[59]
mars 2001[60] décembre 2018 William Bous DVG Chef d'entreprise
Liste des maires de la commune nouvelle
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2019[61],[62] En cours
(au 29 mai 2020)
William Bous DVG Chef d'entreprise
Vice-président de la CC de la Picardie Verte (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[63],[64]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Formerie est jumelée avec :

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Formerie accueille les bureaux de la communauté de communes de la Picardie Verte bien que son siège soit à Grandvilliers.

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

Afin de garantir l'adduction d'eau potable malgré la présence de pesticides et engrais parfois supérieure aux recommandations, la commune a décidé de lancer en 2018 une étude en vue de la réalisation d'installations de dépollution qui pourraient être réalisées en 2019[65].

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune relève de l'académie d'Amiens. Les écoles sont gérées par l’inspection générale de l'inspection départementale de l’Éducation nationale de l'Oise[66].

La commune accueille [Quand ?] une école maternelle, une école élémentaire Louis-Blériot inauguré le [67] ainsi que le collège Jean-Moulin — qui accueille en 2022-2023 436 élèves[68] — et la bibliothèque municipale Victor-Hugo[69], la salle des fêtes Louis-Aragon[70] et la salle Louis-Jouvet, qui jouxte l'hôtel-de-ville.

Postes et télécommunications[modifier | modifier le code]

Le bureau de poste.

En 2021, la commune dispose d'un bureau de poste, doté d'un espace France service connecté à Pôle Emploi, à l'assurance maladie (CNAM), à la Mutualité sociale agricole (MSA), à la Caisse d’allocations familiales (CAF), à la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV), à la Direction générale des finances publiques (DGFIP), aux ministères de la Justice et de l’Intérieur, ainsi qu'aux services de la Poste[71].

Santé et solidarité[modifier | modifier le code]

Une maison de santé fonctionne à Formerie depuis 2015 à l'initiative de la municipalité[72].

Une antenne des Restos du cœur, basée dans l'ancienne gare ainsi que la boutique du secours catholique de Formerie assurent une solidarité envers les personnes en difficulté[73],[74].

Le multi-accueil Com’d’Api est une halte-garderie organisée par l'intercommunalité et ouverte quatre jours par semaine depuis 2021Mathieu Marin, « Halte-garderie. L'ouverture passe de deux à quatre jours par semaine à Formerie : Depuis le 15 novembre 2021, la halte-garderie communautaire, La p'tite Roulotte de la Picardie Verte, est passée en ouverture de deux à quatre jours à Formerie », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La caserne des pompiers en 2022.

La sécurité dans la commune est assurée[Quand ?] par une police municipale[75] et une brigade de gendarmerie (compagnie de Beauvais), installée dans la ville. Le dispositif de vidéosurveillance du bourg, créé en 2018, est exploité depuis le centre de supervision départemental de Beauvais[76],[77].

Formerie est également le siège d'une brigade de gendarmerie, d'une caserne de pompiers et d'une antenne de la protection civile[78].

La commune fait partie[Quand ?] de la juridiction d’instance, de grande instance ainsi que de commerce de Beauvais[79].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Une aire de camping cars est aménagée rue du Bois[80],[81].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[82]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[83].

En 2021, la commune comptait 2 105 habitants[Note 6], en augmentation de 2,38 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2361 1091 2981 2891 2571 2001 2881 2451 204
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2011 3491 2241 1731 2451 3001 3471 3651 340
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3411 3851 3941 3711 3641 3821 3741 3101 390
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 7121 9542 0752 1752 1792 1702 1112 0912 035
2021 - - - - - - - -
2 105--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[84].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 026 hommes pour 1 094 femmes, soit un taux de 51,6 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[85]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,8 
10,5 
75-89 ans
13,7 
20,7 
60-74 ans
20,6 
21,5 
45-59 ans
19,5 
14,1 
30-44 ans
15,2 
16,6 
15-29 ans
12,5 
16,1 
0-14 ans
16,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[86]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Brocante des commerçants, le [87].
  • La fête patronale a lieu le premier dimanche qui suit le 15 août[88].
  • La foire Saint-François, comprenant notamment une foire-brocante et un vide-greniers, dont la 22e édition a lieu en octobre 2022[89].
  • Le conseil départemental de l'Oise organise chaque année à l'automne le festival Fanfares en fête[90].
  • Chaque année au mois d'octobre a lieu le Féstivôl de ch'Picôrdie Vérte. Créée en 1996, ce festival de musiques actuelles se déroule pendant deux jours[réf. nécessaire].

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Le club L'Étoile sportive de Formerie (ESF) a fêté en 2022 son centenaire[91].

L’Espérance de Formerie est un groupe d'une vingtaine de musiciens, créée en 1948 sous forme de clique.

La commune dispose d'une piscine couverte[92] et du stade Régis Dagicour[Note 7].

L'équipe senior du district de l'Oise, Formerie E.S., évolue[Quand ?] en deuxième division[93].

Cultes[modifier | modifier le code]

Seul le culte catholique est assuré dans la commune.

La ville fait partie de la paroisse Notre Dame de Picardie Verte[94].

Les cultes protestant, musulman et judaïque peuvent être pratiqués à Beauvais.

Économie[modifier | modifier le code]

En 2004, Formerie se plaçait au 8183e rang des communes de plus de 1000 habitants les plus riches, avec un « revenu annuel médian par unité de consommation[95] » de 12 424 euros en 2004[96]. La moyenne du département était de 16 488 et la moyenne nationale de 15 849.

Les principales entreprises de la commune sont[Quand ?] :

  • Sivia (pigeons d'argile et revêtements de sol souples - 20 salariés) ;
  • chaudronnerie Gamma (40 salariés) ;
  • savons et détersifs Indal (25 salariés) ;
  • VSF (aliments du bétail - 20 salariés) ;
  • transports Frévial (140 salariés) ;
  • Le Bocage (abattoirs - 110 salariés) ;
  • maçonnerie Bouteleux (40 salariés) ;[réf. nécessaire].

En 2022, la place Hervé-Joron et la rue Dornat regroupent les commerces de bouche de Formerie, avec trois boulangeries, une poissonnerie, une épicerie et un magasin de fruits et légumes, ainsi que quatre coiffeurs, un opticien, un fleuriste, deux pharmaciens et deux magasins de presse, malgré de nombreux commerces vacants[97].

Des marchés forains ont lieu les mercredis et dimanches[98].

Deux supermarchés sont implantés à Formerie : Aldi (900 m²[99]), Auchan (2 100 m2)[100].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Notre-Dame, qui datait du XVIIe siècle et comprenant une arcade du XVIe siècle provenant du château de Sarcus[101], située à l'emplacement d'un château fort détruit au XIIIe siècle, est elle-même détruite par un incendie dans la nuit du 5 au 6 décembre 1933[102].
    La nouvelle église est reconstruite en 1932 et comprend une longue nef de six travées, avec bas-côtés, et d’un chœur à cinq pans, qui se termine par l'abside de l'édifice antérieur, très restauré, construit en briques et ajourée de grandes fenêtres dont le réseau – refait – est déjà de style Renaissance.
    Les contreforts ont des larmiers en pierre et deux, au nord, se terminent par des pinacles. Toute la partie haute est moderne.
    À l'intérieur, les parties hautes de la nef, ajourées par des oculi, sont couvertes de voûtes d’ogives reçues sur des chapiteaux librement inspirés des chapiteaux gothiques. Les bas-côtés reçoivent des voûtes d’arêtes. Totalement repris à l’intérieur, le chœur comporte, au-dessus des fenêtres d’origine, des oculi qui font écho à ceux de la nef. Le maître-autel, créé à l'occasion de la reconstruction, est sculpté par M. Darras, de Meigneux. On pourra noter la chaire en bois ainsi que l'arcade Renaissance provenant du château de Sarcus. Trois vitraux du chœur sont dédiés à la Vierge, ceux des bas-côtés représentent la Vie du Christ et celle de Jeanne d’Arc[103].
    L'église subit deux bombardements (de la part des Allemands et des Alliés) au cours de la Seconde Guerre mondiale[20].
  • Château, du XIXe siècle[20].
  • Deux maisons passives, 73 rue Filsac, ont été construites en 2007. Il s'agit, selon leur constructeur, Richard Lefevbre, gérant de la société Les Airelles[104], de maisons qui ne nécessitent aucun chauffage ni climatisation pour leurs habitants. Ces deux maisons sont les premières en France à avoir obtenu le label « Maison passive » décerné par le Passivhaus Institute[105],[106].
  • Monument de la Défense de Formerie lors de la Guerre franco-allemande de 1870, dédié à la mémoire du capitaine Dornat.
    Le monument, dû au sculpteur beauvaisien Henri-Léon Gréber est inauguré Place de la République (place Hervé-Joron) le [107]. Il a été déplacé sur la Place du Fryer après les destructions de la Seconde Guerre mondiale.
  • Fondaine, place du Fryer.
  • La Halle-au-beurre, place Hervé-Joron[108], reconstruite en béton après les destructions de 1940.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Plaque commémorative à Pierre Tisseyre.
Le cardinal François Duprat, seigneur de Formerie au XVIe siècle.
  • André Mellenne (1893-1961), homme politique né à Formerie.
  • Pierre Tisseyre, alors lieutenant de l'armée française, a défendu le bourg à la tête d'une section de 36 soldats pendant 55 heures du 7 au 9 juin 1940, lors de la Bataille de France. Emmené en captivité en Silésie, il y écrit ses souvenirs sous le nom de 55 heures de guerre[109]. Une place de la commune commémore son dévouement depuis 2000[110],[111].

Le nom de certains seigneurs nous est parvenu. Louis Graves indique en particulier « la seigneurie appartint, dès une époque reculée, à la branche de la maison de Montmorency qui portait le nom de Beaussault. Par une charte datée de Beauvais, en 1202, Philippe-Auguste en fit présent, pendant vingt-deux ans, à l'évêque Philippe de Dreux son neveu, pour l'augmentation du vidamé de Gerberoy. Ce domaine était alors in vadio, c'est -à-dire sous le séquestre. Les lettres stipulaient que dans le cas où le. Roi voudrait le rendre plus tard aux héritiers légitimes, ceux-ci seraient tenus de rembourser tous les trais raisonnables dépensés dans le bourg de Formerie, et de reconnaître le tenir à fief et hommage lige de l'évêque.
Huit ans après, Simon de Beaussault ayant souscrit à ces conditions, Philippe-Auguste, par une autre charte donnée à Mantes au mois d'août 1210, sanctionna la restitution de là forteresseet seigneurie de Formerie (...)
Des alliances portèrent la seigneurie successivement dans les maisons de Roye, d'Estouteville et de Sainte-Maure. Elle appartenait en 1507 à Adrien de Sainte-Maure, conjointement avec Charles de Boullainvilliers.
Ils eurent pour héritier Antoine Duprat, seigneur de Nantouillet, qui devint premier président au parlement de Paris, puis eu 1514 chancelier de France, ensuite après la mort de sa femme, évêque de Meaux, d'Albi, archevêque de Sens, enfin cardinal et légat
à latere en France.
Ses descendants directs furent Antoine Duprat, baron de Formerie et de Précy, prévôt de Paris ;
François Duprat, baron de Formerie et de Viteaux, en 1597;
Antoine Duprat, marquis de Viteaux, baron de Formerie, de 1632 à 1648.
À la fin de dix-septième siècle les Duprat, seigneurs de Formerie, portaient les titres de comte de Barbançon et de marquis
dé Viteaux. La terre est restée dans cette famille jusqu'en 1790[2] ».

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Formerie Blason
D'azur semé de fleurs de lys d'or, au donjon "Fort Marie" du même, surmontées d'une bannière de gueules chargée des mots in turribus firma en lettres aussi d'or brochants sur le semé ; à la bordure du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • A. Bellou, « Notice historique et archéologique sur le bourg de Formerie », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, Beauvais, Imprimerie départementale de l’Oise, vol. 12,‎ , p. 688-755 (ISSN 1280-5343, lire en ligne), sur Gallica
  • Bruno Ricard, « Formerie, des Juifs en sursis. L'opération « vent printanier » dans l'Oise, juillet 1942 », dans Francis Mercier (dir.), 1939-1945, l'Oise dans la Seconde Guerre mondiale. Bilan et perspectives de la recherche : Actes des journées d'études organisées à Beauvais les 18 et 19 mars 2005, Beauvais, Archives départementales de l'Oise, , 247 p. (ISBN 2-86060-023-X, BNF 41108875).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
  3. Le grec phormos a donné le latin forma, qui signifie « former » ou « mouler ». Ainsi, dans l'Antiquité, on parlait de caseus formaticus pour désigner le « fromage fait dans un moule ». Or, dans la langue française, seul le deuxième mot est resté, mettant l'accent sur la forme déterminée par le moule.
  4. Dans le pays de Caux, on distinguait : la grande acre (68 ares, 66 centiares) et la petite acre (56 à 75 ca)
  5. Le conseil municipal de Boutavent du 3 juillet 2018 a approuvé la fusion par 18 voix pour et une contre, par un vote à bulletin secret (Source : Stéphanie Petit, « Formerie et Boutavent-la-Grange fusionnent », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3562,‎ , p. 17).
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Régis Dagicour, né en1961, était gardien de but à l’ESF, titulaire en équipe junior. Participant à à un match avec l’équipe sénior B et gravement blessé au visage, il meurt quelques jours plus tard à l’hôpital en 1978 : « Formerie célèbre les 100 ans de son club de football l'Étoile Sportive : Formerie a célébré, samedi 18 décembre 2021, les 100 ans de son club de football l'Étoile Sportive. Une plaque a été inaugurée en hommage à Régis Dagicour au stade municipal », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Formerie et ses habitants les Formions, Formionnes
  2. a b c d e f et g Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Formerie, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 126 p. (lire en ligne), p. 47-50, sur Google Livres.
  3. « Communes limitrophes de Formerie » sur Géoportail..
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Formerie et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2019, document mentionné en liens externes.
  16. a b et c r Mathieu Marin, « D'un siècle à l'autre à... Formerie : La gare de Formerie a été mise en service en avril 1867 par la Compagnie des chemins de fer du Nord à l'occasion de l'ouverture de la ligne Amiens-Rouen », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Transports en commun à Formerie », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  18. Mathieu Marin, « Picardie verte. De nouvelles subventions votées pour le réseau de chaleur de Formerie : Les élus de la Picardie verte souhaitent installer un réseau de chaleur à Formerie pour diminuer les coûts énergétiques. Ils cherchent toujours de nouvelles subventions », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. a b c d e f et g Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 221.
  20. a b c d et e Daniel Delattre (préf. Jean-François Mancel), L'Oise : Les 693 communes, Grandvilliers, Editions Delattre, , 316 p., p. 116-117.
  21. A. Bellou, article mentionné en Bibkiographie, p. 691.
  22. A. Bellou, article mentionné en Bibliographie, p. 717-718
  23. A. Bellou, article mentionné en Bibliographie, p. 717-718.
  24. A. Bellou, article mentionné en Bibliographie, p. 720.
  25. Camille Lévy, Le combat de Formerie : par le capitaine breveté C. Lévi, Cambrai, Imprimerie de Régnier frères, , 76 p. (lire en ligne) sur Gallica.
  26. « Les combats de Formerie, 28 octobre 1870 », sur crdp.ac-amiens.fr (consulté le ).
  27. Aristide Martinien : Guerre de 1870-1871 : État nominatif, par affaires et par corps, des officiers tués du 15 septembre 1870 au 12 février 1871 page 77
  28. La Campagne du Nord en 1870-1871, Souvenirs du Lieutenant-Colonel Pigouche, Commandant l'artillerie du 22e corps à l'Armée du Nord
  29. Pauline Defoix, « Il y a 150 ans, l'armée prussienne reculait à Formerie : Pour le 150e anniversaire de la guerre de 1870, Jacques Matthieu, président de l'association cantonale des anciens combattants de Formerie est revenu sur le combat de Formerie », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. A. Bellou, article mentionné en Bibliographie, p. 721.
  31. « Avant/Après. La place du Fryer à Formerie était un marché aux porcs (Oise) : La place du Fryer à Formerie (Oise) était une place forte du commerce en Picardie verte. Le marché aux porcs avait une renommée nationale. », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Colonel Le Hénaff et capitaine Henri Bornecque (préf. général Gassouin), Les chemins de fer français et la guerre, Paris, Librairie Chapelot, , 276 p. (lire en ligne), p. 61-62 sur Gallica.
  33. Aurélien Prévot (préf. François Caron et colonel Daniel Vauvillier), Les chemins de fer français dans la Première Guerre mondiale : Une contribution décisive à la victoire, Auray, LR Presse, , 423 p. (ISBN 978-2-903651-76-3), p. 216-217.
  34. « On décore toujours : M. Chéron distribue des Croix de guerre », Le Rappel, no 18936,‎ , p. 2 (lire en ligne, consulté le ).
  35. décret du 6 avril 1922 - Journal Officiel du 8 avril 1922 (p. 3817)
  36. a b c d e et f Jean-Yves Bonnard, Les communes décorées de l'Oise : Croix de guerre 39/45, ONAC, coll. « Les sentiers de l'histoire », , 92 p. (ISBN 978-2-11-151411-9, lire en ligne [PDF]), p. 46.
  37. Ibid.
  38. Bruno Ricard, ouvrage mentionné en Bibliographie
  39. « Les déportés de Formerie », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. Cité dans l'article « Il y a 70 ans, le 7 juin 1940 : Les Allemands bombardent la ville », Le Réveil,‎ , p. 16.
  41. Robert Auzelle, « Plan de reconstruction et d'aménagement : approuvé par arrêté en date du 3 Decbre 1943 », Commissariat technique à la reconstruction immobilière (consulté le ), sur Gallica.
  42. « Fusion Formerie - Boutavent : réunion le 29 juin », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3504,‎ , p. 10.
  43. LP, « Au , Formerie et Boutavent ne feront plus qu’une : Les deux communes ont décidé de fusionner », Le Parisien, "dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. « Formerie et Boutavent-la-Grange fusionnent : Le vote concernant la fusion entre Formerie et Boutavent-la-Grange s'est tenu le mardi 3 juillet lors du dernier conseil municipal avant l'été. Verdict : la fusion aura bien lieu », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le mariage des deux communes pourrait charmer d’autres municipalités limitrophes. Blargies, Campeaux, Canny-sur-Therain, Saint-Arnoult entre autres pourraient solliciter un rattachement ».
  45. LP, « Au , Formerie et Boutavent ne feront plus qu’une : Les deux communes ont décidé de fusionner », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. « Arrêté préfectoral du 28 septembre 2018 portant création de la commune nouvelle de Formerie », Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Oise,‎ , p. 16-17 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  47. Benjamin Merieau et Ingrid Cordier, « La fusion de Formerie et de Boutavent officialisée pour le 1er janvier : La préfecture a validé la fusion des deux communes, qui ont désormais beaucoup de travail », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La fusion sera avantageuse pour Boutavent, qui pourra bénéficier de l'école et de la salle des fêtes de son ancienne voisine ».
  48. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  49. « Oise (60) - Formerie », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur. (consulté le ).
  50. « OISE (60) - Formerie », Résultats des élections municipales et communautaires 2014, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  51. a et b « Oise (60) - Formerie », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  52. « Commune de Formerie », Résultats de l'élection présidentielle 2022, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  53. Source : Notice historique et archéologique sur le bourg de Formerie par A. Bellou
  54. « Alexis, Achille Delaunay (1838-1915) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  55. « Décès du maire : la ville en état de choc », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  56. « Formerie : Municipales : Claude Berthuit fait figure de favori », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne) « René Ménival, l'actuel premier adjoint, pourrait postuler au fauteuil de maire. « Je compte vingt-quatre ans de présence au conseil, dont dix-sept comme premier adjoint, aux côtés d'Hervé Joron ».
  57. « René Ménival élu maire », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  58. « Le maire jette l'éponge », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « René Ménival a obtenu 18 voix. Le dix-neuvième conseiller a déposé un bulletin blanc. M. Bous a été élu premier adjoint ».
  59. « Hommage au fondateur des jardins familiaux : René Ménival, une vie au service des autres », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 16.
  60. « William Bous candidat à la mairie », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « William Bous brigue donc le fauteuil de maire, en accord avec René Ménival, maire sortant qui figure sur la liste mais ne souhaite pas se représenter comme que premier magistrat ».
  61. « William Bous nouveau maire de la commune nouvelle de Formerie : William Bous a été élu maire de la commune nouvelle de Formerie jeudi 3 janvier 2019 à Formerie (Oise). Le maire de Boutavent-la-Grange est devenu adjoint », Le Réveil,‎ (lire en ligne).
  62. Matthias Schweisguth, « William Bous, maire du nouveau Formerie : Formerie et Boutavent ont fusionné le 1er janvier 2019. Les élus des deux anciens conseils municipaux ont élu le nouveau maire et les adjoints », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 11 « William Bous, seul candidat, était réélu maire de Formerie. Au niveau des adjoints, les élus précédents étaient Micheline Binder, Gérard Besnier, JeanPaul Soulez et Guy Desmarest. Ils ont été réélus. L’ancien maire de Boutavent, Joël Hucleux, a été élu cinquième adjoint. Pour rappel, le conseil municipal de Boutavent n’avait qu’un seul adjoint, Yves Lefrançois ».
  63. « William Bous brigue un nouveau mandat : Il l'a annoncé à la fin des vœux vendredi soir. William Bous se représentera. Il espère que la commune fusionnée de Boutavent sera représentée au conseil municipal », Le Bonhomme picard, édition Breteuil - Crèvecœur, no 3585,‎ , p. 23.
  64. Pierre-Emmanuel Reger, « A Formerie, William Bous a été réélu maire : William Bous, maire de Formerie depuis 2001, a été réélu jeudi 28 mai 2020 à l'unanimité par le conseil municipal à la salle des fêtes Louis Jouvet à Formerie », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ) « William Bous était le seul candidat à sa propre succession. Maire de Formerie (Oise) depuis 2001, il a été réélu jeudi 28 mai 2020 à la tête de la commune (...) Il est élu au conseil municipal depuis 1989 ».
  65. Élie Julien, « Formerie : une usine de traitement en projet pour préserver la qualité de l’eau : Face à des taux de pesticides parfois problématiques, la commune vient de voter le budget consacré aux études de cet équipement estimé à 2 M€ et dont les travaux pourraient débuter dans moins de deux ans », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  66. Inspection Académique de l'Oise
  67. Pierre-Emmanuel Reger, « À Formerie, le groupe scolaire fête ses 60 ans ! : Le groupe scolaire de Formerie a été inauguré le 26 juin 1960 sous le mandat de Marcel Lecourtois, maire de Formerie. Témoignages de Formions qui y ont fait leur scolarité », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  68. Mathieu Marin, « Formerie. Au collège Jean-Moulin, un dispositif de remise à niveau pour les sixièmes : Une nouvelle principale Corinne Boulin est à la tête du collège Jean Moulin de Formerie (Oise). Par ailleurs, un dispositif de remise à niveau pour les sixièmes est testé », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  69. Liste des équipements culturels, sur le site du département de l'Oise
  70. Pauline Defoix, « À Formerie, la salle des fêtes Louis Aragon fait peau neuve : Des travaux d'accessibilité mais également de rafraîchissement étaient prévus pour la salle des fêtes Louis Aragon à Formerie. Ils sont désormais presque terminés. », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  71. Pauline Defoix, « L'Espace France Services à la Poste de Formerie, ça se précise : En octobre, nous annoncions la possible installation d'un Espace France Services dans les locaux de la Poste de Formerie. C'est désormais officiel », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  72. Pauline Defoix, « À Formerie (Oise), la municipalité réfléchit à agrandir la maison de santé : Lors du conseil municipal du mardi 16 février, le maire de Formerie a abordé la nécessité d'agrandir la maison de santé afin d'être en capacité d'accueillir de nouveaux médecins. », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  73. Maxime Bouhier, « Dès le jeudi 20 mai, la boutique du secours catholique de Formerie rouvre : La boutique du secours catholique de Formerie va ouvrir ses portes ce jeudi 20 mai. La vitrine a été changée », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  74. « À Formerie, une hausse inquiétante des inscriptions pour la campagne d'hiver des Restos du cœur : La 38e campagne d'hiver des Restos du cœur est lancée à Formerie. Face à la baisse du pouvoir d'achat, plus de 50 familles sont déjà inscrites aux distributions tous les jeudis », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  75. Annuaire des services de Police Municipale
  76. Pierre-Emmanuel Reger, « Donnez votre avis sur la vidéoprotection à Formerie : La vidéoprotection est en place depuis septembre 2018 à Formerie. Pensez-vous que le dispositif est efficace ? », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  77. Mathieu Marin, « Vidéoprotection. Formerie et Grandvilliers dans le dispositif du centre de supervision départemental : Le Conseil départemental de l'Oise vient de lancer un centre de supervision départemental à Beauvais pour aider les communes rurales dans la vidéoprotection. Explications », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  78. Pierre-Emmanuel Reger, « A Formerie, l'antenne de la Protection civile recherche des bénévoles : Alain Leroy est secouriste depuis 1973. Bénévole à Formerie depuis 1983, il est responsable depuis 2013 de l’antenne de la Protection civile de Formerie. », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  79. Carte judiciaire
  80. Pierre-Emmanuel Reger, « Une aire de camping-cars avec six places à Formerie : Une aire de camping-cars est en service depuis le 14 mai 2020 à Formerie (Oise). Elle est accessible par carte », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  81. Mathieu Marin, « Formerie. La fréquentation de l'aire de camping-car en hausse cet été : Située rue du Bois depuis mai 2020 à Formerie, l'aire de camping-car a vécu sa véritable première saison estivale après la crise sanitaire. Bilan », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  82. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  83. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  84. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  85. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Formerie (60245) », (consulté le ).
  86. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  87. Romain Amichaud, « Association des commerçants de Formerie. La traditionnelle brocante de retour le 1er mai : Après trois ans d'absence, en raison de la crise sanitaire, la brocante du 1er mai fait son retour dans les rues de Formerie. Elle est organisée par l'Association des commerçants », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  88. « L'édition 2022 de la fête patronale attire un public nombreux dans les rues de Formerie : La fête patronale de Formerie a connu un franc succès les 20 et 21 août. Fête foraine, cavalcade et spectacle de moto ont diverti les Formions. Dernier jour ce lundi 22 août », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  89. Mathieu Marin, « Formerie. La foire Saint-François fête sa 22e édition dimanche 16 octobre : Le centre-ville de Formerie sera animé par la foire-brocante, un vide-greniers et une exposition de motos anciennes de 6 h à 17 h, ce dimanche 16 octobre », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  90. Mathieu Marin, « Fanfares en fête va faire vibrer Formerie les 2 et 3 octobre : Formerie va vivre au rythme des fanfares, du 1er au 3 octobre. De nombreux musiciens vont se produire en plein air dans les rues de la ville. Un concert est aussi prévu à Blargies », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Chaque année, les musiciens du monde entier animent les rues du centre-ville de Formerie. Des dizaines de fanfares se succèdent pour faire vibrer et danser le public au rythme des cuivres et des percussions ».
  91. Mathieu Marin, « L'Étoile sportive de Formerie fête son centenaire dimanche 29 mai : Après des reports, L'Étoile sportive de Formerie (Oise) fête son centenaire avec un match de gala, dimanche 29 mai 2022, au stade Régis Dagicour. Avis aux amateurs de football ! », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  92. Mathieu Marin, « Cet été, les piscines de Formerie et Grandvilliers passent en service continu : Pour la première fois, les piscines de Formerie et Grandvilliers vont ouvrir leurs portes tous les jours, en matinée, durant la saison estivale du 4 juillet au 4 septembre 2022 », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  93. http://oise.fff.fr [réf. incomplète].
  94. Paroisses de l'Oise
  95. Système de pondération attribuant un coefficient à chaque membre du ménage (définition Insee)
  96. Classement des villes les plus riches, L'Express
  97. Mathieu Marin, « À vous la parole. Votre avis sur l'évolution du commerce dans le centre-ville de Formerie : Des épiceries s'installent dans certains villages de Picardie verte. Qu'en est-il de l'attractivité du centre-ville de Formerie ? Nous avons posé la question à nos internautes », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  98. « Le marché de Formerie, une véritable institution chaque semaine : À Formerie, les marchés du mercredi et dimanche font partie du quotidien. Nous avons rencontré ces commerçants bien connus des Formions », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  99. Pauline Defoix, « À Formerie, l'enseigne Aldi s'installe à la place du Leader Price : Un nouveau discounter vient s'implanter à Formerie. En effet, l'enseigne Leader Price va laisser place à Aldi. L'ouverture du magasin est prévue le 10 février 2021 », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  100. Maxime Bouhier, « Formerie : l’Intermarché ne s’installera finalement pas dans les prochains mois : À l’entrée de Formerie (Oise) était prévue l’installation d’un Intermarché d’ici quelques mois. Mais le maire, William Bous, annonce que ce projet n’aboutira pas », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  101. « Élément d'architecture : arcade provenant du château de Sarcus », notice no PM60000818, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  102. « L'incendie de l'église du XVIIe siècle », sur formerie.net (consulté le ).
  103. Dominique Vermand, « Formerie, église Notre-Dame : Diocèse : Rouen », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  104. Plus d'informations
  105. Passivhaus Institute
  106. Selon l'Adème, ces habitations utilisent les apports solaires et consomment moins de 15 kWh par m² et par an, soit 10 fois moins que l’habitat des années 90. Leur prix est plus élevé, mais les dépenses annuelles de chauffage sont inférieures à 200  pour une surface habitable de 132 m2.
  107. Jean-Yves Bonnard, « Le monument de la Défense de Formerie », La Guerre de 1870-1871 dans l'Oise, CDDP Oise - CANOPÉ 60, (consulté le ).
  108. Mathieu Marin, « D'un siècle à l'autre à... Formerie : En plein centre de Formerie (Oise), la halle au beurre est au cœur de la vie des habitants. Explications de ce lieu emblématique de la cité formionne », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  109. Pierre Tisseyre, 55 heures de guerre, Paris, Flammarion, (présentation en ligne).
  110. « Un hommage à Pierre Tisseyre qui a résisté aux Allemands à Formerie en 1940 : Pierre Tisseyre est un militaire français qui a défendu Formerie à la tête d'un groupe de 36 hommes en juin 1940. La Ville lui rendra hommage le 8 mai en dévoilant une plaque commémorative en présence de sa famille et de personnalités canadiennes », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3551,‎ , p. 17.
  111. « Se souvenir de « 55 heures de guerre » passées à Formerie : La réédition de ce livre sur trois jours de résistance de juin 1940 sera au centre des commémorations », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).