Ennemain

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Ennemain
Ennemain
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de l'Est de la Somme
Maire
Mandat
Patrice Grimaux
2020-2026
Code postal 80200
Code commune 80267
Démographie
Population
municipale
258 hab. (2021 en augmentation de 6,61 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 50′ 50″ nord, 2° 58′ 00″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 86 m
Superficie 6,44 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Péronne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Ennemain
Liens
Site web https://ennemain.fr/

Ennemain est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Panorama du village.

Description[modifier | modifier le code]

Entrée du village

La commune est un village rural picard, est situé à 15 km du bourg de Ham, 13 km de Péronne et 52 km d'Amiens[1].

Elle est traversée par l'A29, dont une sortie se trouve en limite de son territoire, à Athies, où elle se connecte à l'ex-route nationale 37 (actuelle RD 937).

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 51, Mesnil-Bruntel - Saint-Christ-Briost - Ham)[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est limitée à l'ouest par la Somme et ses étangs (et jouxtant le canal de la Somme), ainsi qu'au nord, par l'Omignon.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 704 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records ESTREES-MONS-INRA (80) - alt : 87m, lat : 49°52'29"N, lon : 3°01'52"E
Records établis sur la période du 01-01-1989 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,4 3,3 5,1 8,5 11,2 13 13 10,4 7,8 4,5 1,9 6,8
Température moyenne (°C) 3,7 4,3 7,3 10,1 13,6 16,4 18,7 18,6 15,5 11,6 7,3 4,3 11
Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,2 11,2 15,1 18,6 21,6 24,4 24,3 20,5 15,4 10,1 6,6 15,1
Record de froid (°C)
date du record
−15,8
07.01.09
−12,7
07.02.1991
−10,2
13.03.13
−3,3
21.04.1991
−1
07.05.1997
1,5
05.06.12
4,6
11.07.1993
4,6
29.08.1989
0,7
30.09.18
−4,8
29.10.03
−9,1
24.11.1998
−12,5
18.12.10
−15,8
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
14,7
09.01.15
18,6
26.02.19
24
31.03.21
27
20.04.18
30,9
28.05.17
34,9
18.06.22
41,9
25.07.19
38,4
12.08.03
34,4
15.09.20
27,6
01.10.11
19,8
07.11.15
16,6
07.12.00
41,9
2019
Précipitations (mm) 49,6 43,8 45,8 37,1 58,8 59,8 56,6 65,2 51,3 58,2 57,9 63,4 647,5
Source : « Fiche 80557001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ennemain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,9 %), zones urbanisées (5,6 %), forêts (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), eaux continentales[Note 3] (3,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

A l'origine, le village était situé sur les bords de l'Omignon, en face de la ville d'Athies.

Dès 875, Nemincum et Memnincum sont relevés, pour évoluer en Memmium en 894. Puis Hennemaing en 1384 dans le dénombrement du temporel de Notre-Dame de Ham. La graphie actuelle, Ennemain, est relevée dans les coutumes de Péronne en 1567[1],[15].

Le nom Nemincum de 875 semble formé avec le suffixe pré-celtique incum sur un premier élément gaulois nem-, « sanctuaire » (cf. Nemours, Nîmes).[réf. nécessaire]

Le nom a, semble-t-il, subi par la suite l’attraction du suffixe germanique ing donnant la finale aing , qui a fait dire à Dauzat & Rostaing que ce nom pourrait être dérivé du nom d’homme germanique Enno en s’appuyant sur le nom d’Ennebourg (S.-M.), formé, lui, avec burgus.[réf. nécessaire]

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant la Révolution française, le village relevait de l'élection, du bailliage et du prévôté de Péronne. Au point de vue religieux, la collectivité fait alors partie du doyenné d'Athies et du diocèse de Noyon[1].

L'ancien moulin sur l'Omignon a été transformé en minoterie en 1903. Il fournissait en farine une dizaine de boulangeries du secteur avant de cesser de fonctionner en 1954[16].

Première Guerre mondiale

À la fin de la guerre, la commune est considérée comme totalement détruite[17]. Elle a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

La commune fait partie depuis 1801 du canton de Ham[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune fait toujours partie, est modifié, passant de 19 à 67 communes.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes du Pays Hamois, qui succédait au district de Ham, créé en 1960, que Brouchy avait rejoint en 1961.

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[20], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le 30 mars 2016 prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[21].

La fusion intervient le et la nouvelle structure, dont la commune fait désormais partie, prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[22],[23].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981   Charles Valingot    
Les données manquantes sont à compléter.
1989 2001 Gérard Valingot[16]    
mars 2001 2008 Marc de Pourcq    
mars 2008[25] 2014 Gérald Objois    
2014[26] 2020[27],2020[28] Patrice Grimaux   SE

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 258 habitants[Note 4], en augmentation de 6,61 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
206272316404427432457475442
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
420435418415418405381390354
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
380374335248224231219223234
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
228234232253257248235216257
2021 - - - - - - - -
258--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école.

Les enfants du village sont scolarisés par un Syndicat Intercommunal Scolaire (SISCO) des Étangs de la Haute Somme, qui regroupe Cizancourt, Ennemain, Épénancourt, Falvy, Pargny et Saint-Christ-Briost[32].

L'école de la commune dispose de deux classes en 2020[16].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin[33], totalement reconstruite dans les années 1920 après les destructions de la Première Guerre mondiale en briques et pierres[16].
  • Vestiges de la Chapelle Notre Dame-des-Joies[34], où ne subsistent qu'une grande croix métallique et un caveau au sol, dans lequel est enterré un ex-propriétaire important du village[16].
  • Ruines du moulin d'Ennemain. L’existence du moulin est antérieure à 1791 et il a fut transformé en minoterie en 1903. Reconstruit en 1924 en béton-armé après les destructions de la Première Guerre mondiale par Eugène Pointier pour remplacer l'édifice précédent construit en briques. Il fonctionnait à grâce à une turbine hydraulique et à un moteur Duvan de 50 chevaux, qui pouvait produire jusqu'à 120 quintaux de farine par jour (mais, le plus souvent, la production se limitait à 90 quintaux journaliers, produite par deux ouvriers) et fournissait 8 boulangers et des gens du pays.
Le moulin ainsi que les bâtiments de la ferme ont été occupés lors de la Seconde Guerre mondiale par l'ennemi, qui a profité de l'électricité fournie par l'entreprise. L'exploitation a cessé en 1953 et le moulin est laissé depuis à l'abandon[35],[36],[16]..

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Laon [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Dictionnaire topographique du département de la Somme, J. Garnier, tome 1, Mémoires de la Société des Antiquaires de Picardie, imp. Lemer Aîné, place Périgord, 3, Amiens, 1867, p. 324.
  2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Ennemain et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. [Ennemain] Jacques Garnier, secrétaire perpétuel, Société des Antiquaires de Picardie, « Dictionnaire topographique du département de la Somme » [PDF], 3e, sur Archives départementales de la Somme, Lemer Aîné, Amiens, Place Périgord, 3, (consulté le ), p. 324 (166/269).
  16. a b c d e et f « Dans la mémoire du plus ancien habitant d’Ennemain : Gérard Valingot, habitant d’Ennemain depuis 1933 et ancien maire, est un témoin privilégié de l’évolution de ce bourg situé au cœur de la vallée de l’Omignon », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Celui qui a été maire de 1989 à 2001 égrène alors avec nostalgie les différents commerces qui composaient le village d’antan ».
  17. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  18. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  21. Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
  22. V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Imposée par l’État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
  23. « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50,‎ , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l’Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
  24. « Les maires de Ennemain », sur francegenweb.org (consulté le ).
  25. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  26. « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  27. « Patrice Grimaux se présente à nouveau pour la mairie d’Ennemain : Patrice Grimaux, maire sortant d’Ennemain, veut garder son écharpe et se présente à nouveau aux élections municipales », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Patrice Grimeaux réélu maire d’Ennemain pour un deuxième mandat », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « le SISCO des Étangs de la Haute Somme, identité, compétences, financement », sur comersis.fr (consulté le ).
  33. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église d'Ennemain, d'après nature, 18 octobre 1876 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  34. « A) Carte postale ancienne : Ennemain : Chapelle N.-D.-des-Joies. - Coll. P.-D.
    B) Gravure : Ennemain : Chapelle N.-D.-des-Joies (XVIe siècle). - Extrait de "France Album".
    C) Carte postale ancienne : Chapelle Notre-Dame-des-Joies près Ennemain (Somme). - [Carte postale] Royer, Nancy. - Coll. "La Picardie illustrée".
    D) Chapelle N.-D. des Joies à Ennemain. - Extrait de "L'arrondissement de Péronne" par l'abbé Paul de Cagny
     », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le )
    .
  35. « Le moulin d'Ennemain », Moulins, La vallée de l'Omignon (consulté le ).
  36. « Cartes postales du moulin d'Ennemain », Moulins, La vallée de l'Omignon (consulté le ).