Écoust-Saint-Mein

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Écoust-Saint-Mein
Écoust-Saint-Mein
L'église.
Blason de Écoust-Saint-Mein
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Sud-Artois
Maire
Mandat
Olivier Houplain
2020-2026
Code postal 62128
Code commune 62285
Démographie
Gentilé Écoustois
Population
municipale
487 hab. (2021 en diminution de 1,81 % par rapport à 2015)
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 10′ 57″ nord, 2° 54′ 39″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 117 m
Superficie 8,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Écoust-Saint-Mein
Géolocalisation sur la carte : France
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Écoust-Saint-Mein
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Écoust-Saint-Mein
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Écoust-Saint-Mein
Liens
Site web mairie.ecouststmein.free.fr/

[1]

Écoust-Saint-Mein est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Écoustois.

La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Artois qui regroupe 64 communes et compte 27 232 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se situe à 17 km au sud-est de la commune d’Arras (chef-lieu d'arrondissement) et fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Arras.

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes de Écoust-Saint-Mein
Croisilles Bullecourt
Saint-Léger Écoust-Saint-Mein
Mory Vaulx-Vraucourt Noreuil

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 8,43 km2 ; son altitude varie de 84 à 117 m[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 727 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[9]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[10].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espèces faunistiques et floristiques[modifier | modifier le code]

Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 211 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 39 protégées et 19 taxons (espèces et sous-espèces) menacées et quasi-menacées[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Écoust-Saint-Mein est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94 %), zones urbanisées (5,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Dans sa partie est, la commune est traversée par l'autoroute A1 et par la LGV Nord. La commune est desservie par les routes départementales D 5 et D 956 et est située à 11 km de la sortie no 14 de l'autoroute A1, reliant Paris et Lille[18].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 16 km, au sud-est, de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[19].

De 1880 à 1969, la commune est desservie par l'ancienne ligne de chemin de fer de Boisleux à Marquion.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Scultis de 1154-1159 ; Scolt en 1176 ; Escout en 1228 ; Scuz en 1232 ; Escot en 1292 ; Escoult en 1435 ; Escoult-Sainct-Main en 1546 ; Escou-Longastre en 1720 ; Escoust-Longastre en 1793[20], Ecousr Saint Mein en 1793 ; Ecoust-Saint-Main et Écoust-Saint-Mein depuis 1801[1]

Durant la Révolution, la commune porte le nom de Écoust-Lougastre[1]. La partie haute du village s'appelle Longastre ou Longatte[20].

Le toponyme d’Écoust-Saint-Mein serait issu d’Escoult (1435), voire Ecoust ou Ecout, celui-ci désignant un lieu planté de chênes, et de l'hagiotoponyme Saint-Méen, qui fut le premier abbé du monastère de Gaël (v.600-617) en Bretagne[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'histoire de la commune est consultable dans le Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais paru en 1873[22].

Carte de Cassini[modifier | modifier le code]

La carte de Cassini du secteur vers 1750.
Le moulin d'Ecoust avant 1914.

La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Écoust-Saint-Mein, qui s'écrivait Escout était une paroisse située à l'ouest du Grand Chemin de Bapaume à Douai. Le hameau de Longastre, aujourd'hui Longatte, était à l'époque éloigné du village. Un château est représenté au nord du village. À l'est du chemin, un moulin à vent en bois aujourd'hui disparu était en activité à cette époque. Ce moulin que l'on voit sur la carte postale ci-contre, a été détruit pendant la Première Guerre mondiale. Le village était alors beaucoup plus peuplé qu'aujourd'hui (830 habitants contre 492 en 2019).

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Après la bataille des Frontières du au , devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le , les Allemands s'emparent du village d'Écoust-Saint-Main et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'au début de 1917. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.

En , les Allemands décident de se retirer sur la ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à seulement 1 km à l'est avant Bullecourt. Avant leur départ, le village est évacué de ses habitants et toutes les constructions (église, mairie, maisons) sont systématiquement dynamitées, tous les arbres sont coupés, les puits pollués avec du fumier [23]. Les troupes britanniques prennent alors possession des ruines du village le qui est situé à seulement 1 km du front.

Écoust-Saint-Main repassera aux mains des Allemands en lors de l'Offensive du Kaiser jusqu'au , date à laquelle le village sera définitivement repris par les troupes du Commonwealth après de violents combats, attestés par la présence de nombreux cimetières britanniques et allemands dans le secteur[24].

Après l'armistice, les habitants reviennent peu à peu au village. Alors commença une longue période de reconstruction.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Bapaume. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1801, rattachée au canton de Croisilles[1].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014[26] Yves Ledieu DVG  
mars 2014 2020 Michel Guidez   Retraité[27],[28],[29]
23 mai 2020 En cours
(au 14 février 2022)
Olivier Houplain   Ouvrier qualifié[30],[31]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

La cabine à livres.

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune administre, en regroupement pédagogique intercommunal (RPI), l'école maternelle Jean Moulin[32].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[33].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Écoustois[34].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2021, la commune comptait 487 habitants[Note 4], en diminution de 1,81 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8348128019391 0469821 0081 015995
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
921921906871812802779720731
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
744707659449543502488463476
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
460466453468443429475509492
2021 - - - - - - - -
487--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 239 hommes pour 254 femmes, soit un taux de 51,52 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,0 
6,3 
75-89 ans
8,8 
14,8 
60-74 ans
13,9 
21,8 
45-59 ans
18,6 
22,1 
30-44 ans
21,7 
12,1 
15-29 ans
15,8 
22,5 
0-14 ans
21,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Henri Bachelet (1852-1930), personnalité politique, né dans la commune.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Écoust-Saint-Mein Blason
D'azur à trois mains dextres appaumées d'or ; à la filière d'or[41].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails

Adopté par la municipalité.

La commune dans les arts[modifier | modifier le code]

  • 2019 : 1917, le film de guerre britannico-américain réalisé par Sam Mendes, se déroule à Écoust et dans ses environs. Le village y est montré ravagé et en proie aux flammes. Le réalisateur a cependant pris des libertés artistiques concernant la géographie et la topographie locales en situant la commune au bord d'une rivière comprenant des rapides et une cascade.
  • Écoust-Saint-Mein est également le titre de l'une des musiques composées pour la bande originale de 1917[42].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[43] :

  • A. Bourgeois, Cuinchy à travers les siècles, Cuinchy, 2002.
  • J. Moleda, La première guerre mondiale à Cuinchy, 1914, Cuinchy, Club d'histoire de Cuinchy, 1999.
  • L. Mortreux, Cuinchy. Les sombres années de la guerre 1940-1944, Arras, Littéra, 1996.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Écoust-Saint-Mein et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  19. « Distance entre la commune et la gare d'Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  20. a et b « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  21. « Saint Méen », sur Diocèse de Quimper (consulté le ).
  22. « Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais. Tome 2 », sur Gallica, 1873-1883 (consulté le ).
  23. https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/67/Ligne_Hindenbourg_Carte_Nord_2_bonne.jpg
  24. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Ecoust-Saint-Main_Lib%C3%A9ration.jpg
  25. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  26. « Ecoust-Saint-Mein : vœux sereins pour Yves Ledieu, en fin de dernier mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Ecoust-Saint-Mein : Michel Guidez devient maire après avoir été premier adjoint », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  29. A.D. (CLP), « Écoust-Saint-Mein : un dispositif de « Voisins vigilants » pourrait voir le jour : Après avoir été conseiller, deuxième, puis premier adjoint, Michel Guidez estdevenu maire en mars. L’un de ses grands projets sera la mise en œuvre d’un réseau de « Voisins vigilants », lui qui a été victime d’un cambriolage », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  32. « École élémentaire », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  33. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  34. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Écoust-Saint-Mein (62285) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  40. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  41. « 62285 », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  42. (en-US) « 1917 Original Motion Picture Soundtrack With Music By Six-Time Grammy® Award-Winning Composer Thomas Newman Available Everywhere Now », sur www.sony.com (consulté le ).
  43. « La commune d'Écoust-Saint-Mein », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).