Dominique Champtiaux
Cet article est une ébauche concernant un militaire français.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| Directeur de cabinet du directeur général de la Sécurité extérieure (d) | |
|---|---|
| - | |
| Directeur des opérations (d) |
| Nationalité | |
|---|---|
| Activité |
| Distinction |
|---|
Dominique Champtiaux est un officier général français.
Biographie[modifier | modifier le code]
Dominique Champtiaux a été le directeur de cabinet de Pierre Brochand, directeur des opérations de la DGSE. Il est auparavant celui de Jean-Claude Cousseran, le prédécesseur de Pierre Brochand[1].
Au cours de sa carrière militaire, Dominique Champtiaux a notamment servi au 1er régiment de chasseurs parachutistes (RCP) ainsi au 9e RCP, régiment qu'il a d'ailleurs commandé entre 1989 et 1991.
Au sein de la DGSE, il a dirigé le Service Action (SA) de la Direction des Opérations (DO) avant de prendre la tête de cette dernière.
Le général Dominique Champtiaux est le directeur des opérations (Service Action de 1996 à 1997[2],[3]) de la DGSE.
Il fut cité dans l'affaire des écoutes des proches de François Léotard dans les suites de l'affaire Sawari 2 concernant la vente de 3 frégates La Fayette à l'Arabie saoudite.[réf. nécessaire]
Il est cité en 2006 dans l'Affaire Clearstream 2 où Imad Lahoud lui attribue un rôle prépondérant[4] et en 2010 dans l'affaire du compte japonais de Jacques Chirac[5].
Décorations[modifier | modifier le code]
Références[modifier | modifier le code]
- Jean-Dominique Merchet. Chaises musicales dans les services secrets. Libération, 17 décembre 2003. Lire en ligne
- La DGSE de 2000 a 2002, Le Monde du Renseignement, 15 juin 2008
- Présentation de l'Action Spéciale, Sciences-Po, 2011-2012
- L'informaticien tente de s'abriter derrière le secret-défense. Le Figaro, 20 mai 2006. Lire en ligne
- François Labrouillère. Les dossiers secreets de la DGSE. Paris Match, 30 mars 2010. Lire en ligne
