Domèvre-en-Haye

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Domèvre-en-Haye
Domèvre-en-Haye
Église Saint-Léger.
Blason de Domèvre-en-Haye
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Jean-François Segault
2020-2026
Code postal 54385
Code commune 54160
Démographie
Population
municipale
405 hab. (2021 en augmentation de 5,19 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 06″ nord, 5° 55′ 49″ est
Altitude Min. 210 m
Max. 316 m
Superficie 8,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.domevre-en-haye.fr

Domèvre-en-Haye [dɔmɛvʁ ɑ̃ ɛ] est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Fig. 1 - Domèvre-en-Haye (ban communal).

Village à flanc de coteau, ancien village de vignerons[1].

D’après les données Corine land Cover , le ban communal de 861 hectares comprend en 2011, plus de 48 % de terres arables et de prairies, 42 % de forêt et seulement moins d'1 % de zones urbanisées[2].

Le territoire est arrosé par le ruisseau de Naly-fontaine et comporte plusieurs sources, ce ruisseau n'est pas recensé par le SANDRE, mais le ruisseau de l'Esch(e)[3] (parfois orth. Ache ou Esse) arrose la commune sur 820 mètres.

L'altitude moyenne est de 220 mètres environ.

Des éléments permettent de supposer que le village s'est formé à proximité d'un établissement gallo-romain le long d'une voie secondaire reliant la voie romaine Toul-Metz à la commune de Pannes[4]. (Fig. 1 - ban communal)

Comme d'autres communes dans la région touloise, Domèvre a été le lieu de productions manufacturées à base d'argile étant donné la disponibilité de l'eau (nombreux ruisseaux) et surtout de matière première : l'argile de la Woëvre. Une tuilerie a fonctionné sur ce territoire[5] au sud-ouest du village (Section C parcelle 488).

communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 843 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 18 km à vol d'oiseau[8], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Domèvre-en-Haye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,4 %), terres arables (40,9 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,3 %), prairies (3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ecclesia Domni Apri ; Nicolaus de Domevria (1135) ; Rodulfus de Domeivre (1184) ; Dommeivre (1404) et Dompmeivre (1498), sont les graphies recensées par le Dictionnaire topographique du département de la Meurthe[19].

Le toponyme, apparu au Xe siècle sous la forme (ecclesia) Domni Apri, vient du latin médiéval Domnus Aper, où Domnus, littéralement seigneur, maître, désigne le saint. Cet hagiotoponyme, qui fait d'un saint le maître et le protecteur d'un lieu et de ses habitants, est fréquent au Haut Moyen Âge. Saint Èvre, septième évêque de Toul, était particulièrement vénéré dans ce diocèse (on y compte une cinquantaine d'églises qui lui sont dédiées)[20].

Aper signifie sanglier en latin.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et antiquité[modifier | modifier le code]

L’occupation du territoire communal doit être ancienne puisque les chroniques archéologiques signalent la découverte de sépultures de l'âge du Bronze[21].Par ailleurs le Musée lorrain détient un vase romain découvert sur le ban communal[22].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La paroisse dépendait de deux seigneurs, E. Grosse cite le seigneur de Viange[23], mais de par son toponyme on comprend bien que le village fut étroitement lié à l'abbaye de Saint-Evre.

Dans une notice sur les seigneurs de Manonville H. LEFEVBRE indique[24]

«Nous savons seulement qu'en 1395, intervint un accord en date du 19-e jour de juin, entre Marguerite de Haraucourt, veuve de Thirion, seigneur de Manonville, et les habitants de Domêvre, par lequel ces derniers furent déchargés de la main-morte et de diverses autres servitudes. Le titre de cet accord n'existe malheureusement plus et nous en ignorons les détails. Il a été produit par les habitants de Domêvre, lors de la vérification du dénombrement présenté par Henri de Beauvau, en 1613. C'était un acte sur parchemin passé devant l'official de Toul. Dans la déclaration de la communauté en 1700, il est dit que les habitants ont un droit d'usage sur un bois appelé les Bois-bas (Fig. 1) de 150 arpens, mesure de Bar, ...».

Il y signale également d'anciennes forges au lieu-dit "au Pied de la côte que recouvre la forêt de Gueumont ou de Grenet" (Fig. 1 "guémont") et que l'emplacement des bois de Gueumont dût être habité puisque vers 1867[22], on y a découvert un vieux puits au fond duquel on a retrouvé, sous une épaisse couche de pierres, une statue équestre mutilée, et une autre très fruste représentant un personnage barbu accroupi et tenant en sa main un objet informe.

ll existait également, d'après cette notice, autrefois un moulin appelé le moulin de Grenet, entre les bans de Rogéville et de Domèvre et mû par un petit affluent de l'Esche. Ce moulin appartenait par moitié aux seigneurs de Manonville et à l'abbé de Saint-Léon de Toul.

Epoque moderne[modifier | modifier le code]

La carte spéciale des régions dévastées. 52 SE, Commercy [Sud-Est] / [Service géographique de l'armée] 1920, indique le lieu-dit Bois de bas (fig. 1) comme "bois disparu, démoli ou coupé" , en vue de la détermination des indemnités de dommage de guerre[25] .

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juillet 2003 2014 Christian Lucie    
avril 2014 En cours
(au 23 mai 2020)
Jean-François Segault[26],[27]
Réélu pour le mandat 2020-2026
  Ancien artisan, commerçant ou chef d'entreprise

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 405 habitants[Note 4], en augmentation de 5,19 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
295298319312336387391377395
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
402427410408383385357354355
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
336298252204197177170241218
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
193178276312353439460445395
2019 2021 - - - - - - -
403405-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'abbé Grosse indique dans son dictionnaire statistique pour cette commune vers 1836 :

«Surf, territ. , 5o5 hect. , dont 25o en terres labour. , 90 en prés , 82 en bois et 81 en vignes dont les produits sont assez recherchés. Mesures de Pont-à-Mousson , mais la toise de Lorraine de 10 pieds y était en usage, ainsi que les suivantes : le jour de terres labourables valait 400 verges, ou 3a ares 70 centiares 5. Le jour de prés, vignes , chènevières, seulement 200 verges, ou 16 ares 35 cent. L'arpent de bois valait 230 verges, ou 20 ares 44 cent.»[1]

Indiquant les traditions agricoles et viticoles du village avant les épidémies qui ont détruit les vignes du Toulois.

Secteur primaire ou Agriculture[modifier | modifier le code]

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[32]), la commune de Domèvre-en-Haye était majoritairement orientée[Note 5] sur la production de céréales et d'oléagineux sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 149 hectares (surface cultivable communale) en hausse depuis l'an 2000 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 20 à 0 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 1 exploitation agricole ayant son siège dans la commune employant 1 unité de travail[Note 7].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifice religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Léger : tour romane, nef XVIIIe siècle, cadran solaire double. La nouvelle église a été bénie le 29 septembre 1737, jour de la Saint-Michel.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Domèvre-en-Haye Blason
D'or à la croix de sable frettée d'argent.
Détails
Création Ed. Des Robert, 1953.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune :  production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  7. Unité de travail annuel : mesure  en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b E. Grosse (abbé.), Dictionnaire statistique du Département de la Meurthe : contenant une introduction historique sur le pays, avec une notice sur chacune de ses villes, bourgs, villages, hameaux, censes rivières, ruisseaux, étangs et montagnes, Creusat, (lire en ligne), p. 182.
  2. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
  3. « Ruisseau d'esche [A71-0200] - Cours d'eau », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  4. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne).
  5. Tuileries et tuiliers d'autrefois (partie 2) https://www.etudes-touloises.fr/archives/70/art3.pdf
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Domèvre-en-Haye et Nonsard-Lamarche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
  20. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
  21. « Gallica - », sur visualiseur.bnf.fr (consulté le ) : « Bleicher et Barthélémy : Note sur une sépulture de l'âge dit bronze, découverte à Domêvre en-Haye », p. 131-134.
  22. a et b Société d'archéologie lorraine Auteur du texte, « Revue historique de la Lorraine / publiée tous les deux mois par la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain », sur Gallica, (consulté le ) : « Le M. L. possède un vase romain en terre cuite provenant de Domèvre (P104) ».
  23. E. Grosse (abbé.), Dictionnaire statistique du Département de la Meurthe : contenant une introduction historique sur le pays, avec une notice sur chacune de ses villes, bourgs, villages, hameaux, censes rivières, ruisseaux, étangs et montagnes, Creusat, (lire en ligne), p. 183.
  24. Société d'archéologie lorraine Auteur du texte et Musée lorrain (Nancy) Auteur du texte, « Mémoires de la Société d'archéologie lorraine », sur Gallica, (consulté le ) : « MANONVILLE - ET SES SEIGNEURS - PAR M. H. LEFEBVRE. ».
  25. France, Carte spéciale des régions dévastées, Service géographique de l'Armée, (lire en ligne).
  26. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».