Doissat

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Doissat
Doissat
La mairie de Doissat.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède
Maire
Mandat
Bruno Lallier
2021-2026
Code postal 24170
Code commune 24151
Démographie
Population
municipale
102 hab. (2021 en diminution de 5,56 % par rapport à 2015)
Densité 6,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 43′ 56″ nord, 1° 04′ 11″ est
Altitude Min. 131 m
Max. 323 m
Superficie 15,30 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web doissat.fr

Doissat est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune de Doissat est bordée par la Beuze, un affluent de la Nauze.

À l'écart des routes principales, le modeste bourg de Doissat est situé, en distances orthodromiques,sept kilomètres au sud-est de Belvès et onze kilomètres au nord de Villefranche-du-Périgord.

Les routes principales sont la route départementale (RD) 54 qui longe en grande partie la Beuze, et la RD 60, dans le sud.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Doissat est limitrophe de huit autres communes dont Besse au sud-est sur environ 400 mètres.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Doissat est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4b-c, date du Santonien moyen à supérieur, composée de calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac), faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 831 - Belvès » et « no 832 - Gourdon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Carte géologique de Doissat.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 131 m et 323 m[6],[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 15,30 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 15,65 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Beuze, le Gaugeard, le Lécadou, le Merdalou, le ruisseau de Trompette et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 15,5 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Beuze, affluent de la Nauze, prend sa source sur la commune et lui sert de limite au nord-ouest sur quatre kilomètres et demi face à Orliac et Sainte-Foy-de-Belvès. Son affluent le Gaugeard arrose le nord du territoire communal sur quatre kilomètres, dont un demi-kilomètre face à Saint-Laurent-la-Vallée.

Le Merdalou, affluent de la Vallée, naît également sur la commune et marque sa limite territoriale à l'est sur un kilomètre, face à Saint-Pompont. Son affluent le Lécadou prend sa source à l'est de la commune, lui servant de limite sur un kilomètre et demi face à Saint-Laurent-la-Vallée.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].

La quasi-totalité du territoire communal dépend du SAGE Dordogne amont. Seule en est exclue une partie minime d'environ 17 hectares à l'extrême sud, au sud de la RD 54, ne dépendant d'aucun SAGE.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 927 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 7 km à vol d'oiseau[21], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Doissat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[25],[26],[27]. La commune est en outre hors attraction des villes[28],[29].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64 %), zones agricoles hétérogènes (28,2 %), prairies (4,1 %), cultures permanentes (3,8 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Doissat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].

Doissat est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[33]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[34],[35].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Doissat.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[36]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 84,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[38].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999, par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[31].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En occitan, la commune porte le nom de Doissac[39].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

Dès 1790, la commune de Doissat a été rattachée au canton d'Orliac qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Belvès dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[6].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Fin 2000, Doissat intègre dès sa création la communauté de communes Entre Nauze et Bessède. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au par la communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[40],[41].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
  1959 Étienne Robert Vialard    
1959 1977 Fernand Merchadou    
1977 1983 Roger Lanternier    
1983 1995 Catherine Joffre    
mars 1995 mars 2008 Brigitte Pundiak    
mars 2008 mars 2014 Jean-Jacques Varga SE[42] Retraité de l'aéronautique
mars 2014 février 2021[43] Christian Boissy[Note 6]   Retraité de l'agriculture
février 2021 juin 2021 Bruno Lallier[44]   2e adjoint faisant fonctions de maire
juin 2021[45] En cours Bruno Lallier    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Doissat relève[46] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[48].

En 2021, la commune comptait 102 habitants[Note 7], en diminution de 5,56 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
417530538556572618617637640
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
609564533503505502502503459
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
404388345279255232209209174
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
154153137127125127112118126
2015 2020 2021 - - - - - -
108102102------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[50], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent cinquante personnes, soit 46,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (huit) a augmenté par rapport à 2010 (six) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 16,0 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte quinze établissements[51], dont sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six au niveau des commerces, transports ou services, un dans l'industrie, et un relatif au secteur administratif[52].

En 2021, la commune compte une nouvelle entreprise spécialisée dans la réalisation de drones ainsi que la prestation de service de ces derniers, dans le domaine audiovisuel, agricole et technique[53].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Hilaire.
  • Château de Doyssac[54],[55] : la terre de Doyssac a été achetée par le capitaine huguenot Geoffroy de Vivans (ou Vivant) à Marguerite de Lustrac en 1578. Le château a été construit par son fils, Jean, en 1605. Le château sera en partie démoli en 1794.
  • Église Saint-Hilaire construite en 1869, comme l'indique la plaque placée au-dessus du portail.
  • Manoir de Mondiol constitué d'un corps de bâtiment du XVIIe siècle accosté d'une tour[56]. Il a appartenu successivement aux familles Bessou de Signac et Savy[56]. Joseph Savy du Mondiol, fils de Louis Savy et de Mathurine de Bessou, dame du Mondiol, y est né le 29 août 1779, mort à Toulon le 20 juillet 1847. Il est entré à 12 ans dans la marine sous les ordres de Pierre-Félix Lapalisse (de Belvès). Il s'est battu à Aboukir, à la prise du vaisseau anglais le Swiftsure, au cap Finisterre, et à Trafalgar. Il est nommé capitaine de frégate en 1821, et chevalier de la Légion d'honneur en 1822, officier en 1835[57],[58].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Geoffroy de Vivans a acheté la terre de Doissac à Marguerite de Lustrac en 1578. Le château a été construit par son fils, Jean de Vivans, en 1605. Le château a été en partie démoli en 1794.
  • Jean-Baptiste Sirey (1762-1845), jurisconsulte français fut le curé de Doissat.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason à dessiner Blason
Écartelé: au 1er de sinople à trois écus de gueules chargés, le premier d'un lion léopardé d'or, le second de trois lionceaux d'or, de troisième d'une croix cléchée vidée et pommetée de douze pièces d'or, accompagnés en coeur de l'inscription « DOYSSAC » en lettres capitales d'argent, au 2e d'argent à l'écusson de pourpre chargé de deux demi-coquilles de noix, accolées en fasce, celle de dextre avec son cerneau, celle de senestre vide, le tout au naturel, l'écu surmonté d'une couronne murale de quatre tours du champ, ouverte et maçonné de sable et soutenu des inscriptions « LA NOIX » et « ET LE NOYER » en lettres capitales de sable, l'une au-dessus de l'autre, au 3e d'argent à l'écusson d'azur au chevron d'or accompagné de trois étoiles du même, au 4e de sinople à l'écusson d'or au lion de gueules[59].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. La ligne de partage des eaux entre le bassin de la Dordogne et le bassin de la Garonne le bassin de la Dordogne et le bassin de la Garonne est représentée par une ligne verte en tirets-points.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Décédé en fonctions.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Doissat » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « Carte géologique de Doissat » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Doissat », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 831 - Belvès de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 832 - Gourdon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Doissat », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Doissat », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
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  19. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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