Dissay

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Dissay
Dissay
Le château de Dissay.
Image illustrative de l’article Dissay
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Grand Poitiers
Maire
Mandat
Michel François
2020-2026
Code postal 86130
Code commune 86095
Démographie
Gentilé Disséens
Population
municipale
3 185 hab. (2021 en diminution de 1,03 % par rapport à 2015)
Densité 134 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 42′ 06″ nord, 0° 25′ 57″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 144 m
Superficie 23,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Jaunay-Marigny
Législatives Première circonscription
Localisation
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Dissay
Liens
Site web http://www.dissay.fr

Dissay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Disséennes et Disséens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Neuville-de-Poitou à 14,34 km à vol d'oiseau[4], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 704,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Dissay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33,5 %), terres arables (30,6 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %), zones urbanisées (11 %), prairies (3,9 %), cultures permanentes (3,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %), eaux continentales[Note 3] (1,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Dissay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Châtellerault, regroupant 17 communes concernées par un risque de débordement de la Vienne et du Clain. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs pour la Vienne sont les crues de février 1698 (1 670 m3/s à Châtellerault), de juillet 1792 (1 520 m3/s), de mars 1913 (1 500 m3/s), de décembre 1944 (1 510 m3/s) et de janvier 1962 (1 500 m3/s). Les crues historiques du Clain sont celles de 1873 (330 m3/s à Poitiers) et de décembre 1982 (330 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[16],[17]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999 et 2010[18],[14]. Le risque inondation a vocation à être pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du projet plan de prévention des risques (PPR) inondation (PPRI) « Clain aval section Dissay / Beaumont Saint-Cyr », prescrit le , dont le périmètre regroupe 2 communes[19].

Dissay est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[20]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 4],[21], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [22],[23].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Dissay.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[24]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[25]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. 73,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[27].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

L’occupation humaine sur le territoire de Dissay est très ancienne puisqu'en 1998, une tombe, unique en Poitou-Charentes, et datant de 4 300 ans av. J.-C. y a été mise à jour pendant l’été.

À l’époque gallo-romaine, des habitations se développent le long de la voie romaine qui relie Saintes à Tours en passant par Poitiers. Sur le territoire de Dissay, cet ancien axe existe encore sous la forme d’un chemin en ligne droite. La tradition disséenne le nomme toujours « la voie romaine ».

C’est de l’an 673 que date le premier écrit où Dissay est cité. Il s’agit de la charte de Saint-Bercaire (charta sancti Berchatii). Bien que cela ne soit qu’une hypothèse, « in villa Diséio supra fluvium Crete » pourrait désigner Dissay puisque d’autres toponymes voisins y sont cités. Dans son Dictionnaire topographique de la Vienne, Louis Rédet, premier archiviste de la Vienne, énonce comme probable cette hypothèse.

La châtellenie de Dissay appartient, depuis au moins la première moitié du XIIIe siècle, aux évêques de Poitiers. Vers 1240, elle fait partie de la juridiction et du domaine temporel de Poitiers. Les seigneuries du Deffends et de Marit relèvent de la Tour de Maubergeon, tandis qu’une partie de la paroisse, sur la rive gauche du Clain, dépend de la châtellenie de Jaulnay. Le village, sur une des routes de Compostelle est décrit dans le « Liber de miraculis Sancti Jacobi » conservé aux archives de la cathédrale de Compostelle.

Le château, qui ne devait être alors qu’une bâtisse en bois au sommet d’une motte, est transformé par Hugues de Combarel qui obtient de Charles VII l’autorisation de « fortifier son hostel » le 11 janvier 1434 (v. s.). C’est son successeur, Pierre d’Amboise qui fait reconstruire le château de 1484 à 1493, reproduisant l'entrée de celui de Chaumont, où il est né. L’église de Dissay a été également construite au XVe siècle par le même Pierre d’Amboise.

La population de Dissay est composée au XVIIIe s. de 200 feux (foyer au sens fiscal). Les trois quarts sont des paysans : journaliers et laboureurs à parts égales. Les rôles de taille et procès-verbaux d’assemblées de paroisse font apparaître une population moins nombreuse que les paysans mais très présente dans la vie disséenne : les artisans et les marchands. En 1789, Dissay compte huit maçons, quatre sabotiers, un tonnelier, un cordonnier, trois boulangers, cinq maréchaux, un meunier, un charpentier, un tailleur de pierre, un blanchisseur, deux sergiers et un menuisier. Il n’y a qu’un marchand.

On dénombre 257 feux au recensement de 1790 (1 003 habitants).

Comme le reste de la France, accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution, le 14 juillet 1790, le jour anniversaire de la prise de la Bastille. Mais choisi trop gros, il ne tarde pas à mourir desséché[28]. Elle est une des premières communes à le faire. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires, comme les victoires des armées républicaines ou les autres fêtes révolutionnaires[29].

La population passe à 1 192 habitants en 1836 et baisse lentement durant le XIXe siècle, puisqu'elle est de 1 129 habitants en 1901. Elle remonte après la Seconde Guerre mondiale avec le développement industriel et artisanale de la commune en bordure de la Nationale 10 et en direction du village de Longève dans les années 60 et 70. Le dernier recensement de 2015 a dénombré 3 218 Disséennes et Disséens. La commune s'étend sur 23,71 km2.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
octobre 1947 mars 1977 Gaston Baliteau    
mars 1977 juin 1995 Jacques Karaguitcheff[30] PCF Employé administratif de l’Armée
juin 1995 mars 2001 Jean-Louis Guilbaud    
mars 2001 mars 2014 Louis Remblier DVG  
mars 2014 En cours Michel François DVG Chef d'entreprise
Vice-président du Grand Poitiers

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics[modifier | modifier le code]

Les réformes successives de la Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[31].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 3 185 habitants[Note 6], en diminution de 1,03 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0321 1068881 1051 1561 1921 1701 2601 068
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0731 0651 0641 1121 2171 2311 2741 1251 129
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1191 1691 0411 0251 0249669251 0181 097
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 3091 4361 7452 4642 4982 6342 8752 9123 143
2017 2021 - - - - - - -
3 2333 185-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 123 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département de la Vienne, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie[modifier | modifier le code]

Dissay bénéficie d’une implantation géographique sur l’axe Poitiers-Châtellerault.

Agriculture[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[36], il n'y a plus que 6 exploitations agricoles en 2010 contre 27 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 057 hectares en 2000 à 843 hectares en 2010. 47 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 14 % pour les oléagineux (pour moitié du colza et pour une autre moitié, du tournesol) et 32 % pour le fourrage En 2000, 11 hectares (0 en 2010) étaient consacrés à la vigne[36].

3 exploitations en 2010 comme en 2000 abritent un élevage de bovins (558 têtes en 2010 contre 516 têtes en 2000). Les élevages d'ovins et de volailles ont disparu en 2010 (respectivement : 24 têtes sur 3 fermes en 2000 et 286 têtes sur 12 exploitations)[36].

Commerce[modifier | modifier le code]

Plus de 80 commerçants, artisans, entreprises industrielles et de services sont actuellement implantés dans le centre bourg et sur les deux parcs d’activités de la commune.

Emploi[modifier | modifier le code]

Sa population active est de 1 506 actifs (taux d’activité : 78,2 %).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Vue du château de Dissay en noir et blanc (2010).
  • Le château de Dissay date du XVe siècle. C’est Pierre d’Amboise, évêque de Poitiers, qui le fit construire. Il servira d’ailleurs de résidence aux évêques jusqu’à la Révolution.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Pierre d'Amboise (1450-1505), évêque de Poitiers fit construire le château de Dissay.
  • Léopold Thézard[38], fils de Jean Thézard, instituteur est né le 22 juin 1840 à Dissay. Il fut conseiller municipal de Poitiers (1881-1888) et maire de cette ville (1893-1895, sénateur de 1891 à 1907). Il fut agrégé de droit et attaché à la faculté de Poitiers, il y devient en 1871 professeur titulaire du code civil et doyen en 1881. Il est l'auteur d'ouvrages juridiques estimés. Il meurt le 13 février 1907 à Poitiers.
  • Tony Lainé : psychiatre puis psychanalyste, il devint, à partir de 1971, chef du service de psychiatrie infantile de l’hôpital Barthélemy-Durand à Étampes et de l’Institut médico-pédagogique du Pradon, à Sainte-Geneviève-des-Bois. Spécialiste des problèmes de l’enfance, notamment de l’autisme, il incarna ce qu'on a appelé la psychiatrie alternative. Mais ce sont surtout ses réalisations de films diffusés à la télévision (et les livres qu’il en tira) avec le cinéaste Daniel Karlin qui le firent connaître du grand public. Tony Lainé a vécu à Dissay durant son enfance où sa mère était institutrice. L'école maternelle de Dissay porte désormais son nom.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Écartelé : au 1) et au 4) palé d’or et de gueules, qui est d'Amboise au 2) d’azur au croissant d’argent accompagné de six croisettes recroisetées au pied fiché du même, trois rangées en chef et trois rangées en pointe, qui est de Bueil au 3) d’azur à la bande d’argent côtoyée de deux double cotices potencées et contre potencées d’or de Champagne; sur le tout d’or au dauphin d’azur crêté, barbé, loré, peautré et oreillé de gueules du Dauphiné ; le tout sommé d’un comble d’azur chargé de l’inscription DISSAY en lettres capitales d’argent[39].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Livres[modifier | modifier le code]

  • Jean-Jacques Coulombeix, L’évolution de la propriété foncière dans la commune de Dissay entre 1812 et 1912, octobre 1962 – Diplôme d’études supérieures
  • François Rollo, Étude économique et sociale d’une paroisse rurale. Dissay à la fin du XVIIIe siècle, 1998
  • Virginie Lebret, La commune de Dissay pendant la Révolution française. 1999 – mémoire de maîtrise
  • François Grossin, Dissay, histoire d’une commune. 2001
  • Laurent-François Busseau, Étude sur un ensemble de peinture murale de la fin du XVe siècle : la chapelle oratoire de l'évêque Pierre d'Amboise à Dissay",Université de Montréal, Québec, 2001 (sources ?)

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Dissay et Neuville-de-Poitou », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Neuville de Poi » (commune de Neuville-de-Poitou) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Neuville de Poi » (commune de Neuville-de-Poitou) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Dissay », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Châtellerault », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le ).
  17. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Les plans de prévention des risques naturels (PPRN) dans la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ).
  20. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  21. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  22. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Dissay », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  28. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 34-35.
  29. Robert Petit, op. cit., p. 183.
  30. La fiche biographique de KARAGUITCHEFF Jacques sur le Maitron en ligne
  31. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. a b et c Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  37. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00105453
  38. Léopold Thézard
  39. Gaso.fr