Châlons-sur-Vesle

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Châlons-sur-Vesle
Châlons-sur-Vesle
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Reims
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Reims
Maire
Mandat
Martial Dupin
2020-2026
Code postal 51140
Code commune 51109
Démographie
Gentilé Châlonnais, Châlonnaises
Population
municipale
198 hab. (2021 en diminution de 0,5 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 17′ 24″ nord, 3° 55′ 03″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 136 m
Superficie 4,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fismes-Montagne de Reims
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Châlons-sur-Vesle est une commune française située dans le département de la Marne, en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Châlons-sur-Vesle
Chenay
Trigny Châlons-sur-Vesle Merfy
Muizon Thillois Champigny

Châlons-sur-Vesle est une commune située à l'ouest de l'agglomération rémoise et à une dizaine de kilomètres de Reims. Le village, sur le bord sud du massif de Saint-Thierry, surplombe la vallée de la Vesle en avant-poste de la commune de Chenay au nord.

Les communes riveraines sont au nord sur le massif celles de Trigny, Chenay et Merfy et au sud dans la vallée de la Vesle, celle de Muizon.

Son territoire communal comprend trois parties de nature très différentes :

  • au sud, la vallée de la Vesle son moulin (Moulin compensé) avec ses fonds marécageux partiellement boisés et les étangs résultant du creusement des tourbières ;
  • au nord, le rebord sud du massif de Saint-Thierry partiellement boisé et qui laisse apparaître la sablière qui fait la notoriété de la commune dans tout le pays rémois ;
  • entre les deux, une pente sur laquelle s'étend la grande culture.

Il existait autrefois un ruisseau dit du vivier qui descendait se jeter dans la Vesle en traversant le territoire communal en sa limite Ouest. Si sur Chenay un lieu-dit (le Vivier) rappelle ce ruisseau, il a aujourd'hui disparu.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 750 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chambrecy-Civc », sur la commune de Chambrecy à 14 km à vol d'oiseau[3], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 734,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22,1 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Châlons-sur-Vesle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 295 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,7 %), forêts (25,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,2 %), cultures permanentes (3,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Géologie[modifier | modifier le code]

Les Sablières[modifier | modifier le code]

La sablière.

Géologie [14][modifier | modifier le code]

La situation de Châlons-sur-Vesle est unique avec sa sablière qui laisse apparaître une véritable coupe géologique des sables qui témoignent des fonds et du rivage de l’immersion du Bassin parisien à l’ère tertiaire. Sur une base de craie blanche et de marnes issues du Crétacé (étage Campanien) à la fin de l’ère secondaire (45 millions d’années avant notre ère) a été déposée à l’ère tertiaire (35 millions d’années) au Paléocène (étage Thanétien) une importante couche de sables marins. Ces couches s’empilent successivement sur un socle de tuffeau dit du Moulin Compensé, une importante couche de sables marins dans lesquels sont inclus des blocs de grès ferrugineux, des sables fluvioestuariens qui contiennent des blocs de grès blancs siliceux.

Le grès ferrugineux est le résultat de la concrétion du sable par des oxydes de fer. Ces dalles présentent des dépressions circulaires qui sont les traces des pivots racinaires de la végétation de l’époque (probablement des palmiers).

Ces sables contiennent une variété impressionnante de fossiles marins et aussi des esquilles de silex et des éléments de lignite témoins de l'influence fluviatile.

Faune et flore de la sablière[modifier | modifier le code]

La faune présente un caractère particulier avec les passereaux qui creusent des nids dans le sable comme dans les bois alentour.

Ces sables sont recouverts pour la partie supérieure par une pelouse de type silico-calcaire caractérisée par sa diversité exceptionnelle et son originalité. Les espèces protégées y sont très nombreuses.

Protection environnementale[modifier | modifier le code]

Ce site exceptionnel très fragile et soumis à la forte contrainte d'une fréquentation importante a été classé Natura 2000 (arrêté du 10 février 2016), au même titre que les sablières de Chenay, et sa fréquentation est règlementée par arrêtés municipaux.

En 2009, a été créée l'Association loi 1901 « Sauvegarde des sablières » pour contribuer au sauvetage du site, son entretien et sa mise en valeur.

En janvier 2021 la réserve naturelle régionale des marais et sablières du massif de Saint-Thierry est classée par délibération du conseil régional.

La carrière du moulin Compensé[modifier | modifier le code]

Dans la vallée non loin de la Vesle, les affleurements de craie d'un blanc pur composée à 95 % de carbonate de calcium sont encore exploités. Cette craie aisément soluble est utilisée en agriculture (marnage) pour équilibrer les sols trop acides.

Histoire[modifier | modifier le code]

Mésolithique[modifier | modifier le code]

Les premières occupations du site datent sans doute du Mésolithique (6 000 ans av. J.-C.) comme en témoignent les objets en silex (grattoir, nucléus, pointes de flèches) retrouvés sur le territoire communal. Sans doute les échanges entre les populations de la vallée de l'Aisne et celles de la vallée de la Vesle et du Tardenois empruntaient ce qui devint la première voie le long du massif sur son flanc Est via Cormicy, Hermonville, Pouillon, Merfy.

Période préhistorique[modifier | modifier le code]

Peu de témoignages pour cette période ; néanmoins, il ne restait qu'un dolmen haut de trois mètres vandalisé et détruit en 1858. Rappelons que les derniers dolmens élevés le furent au mieux mille ans avant les premières arrivées des Celtes. Les premières constructions mégalithiques se rencontrent déjà au Mésolithique récent et au Néolithique.

Période celtique[modifier | modifier le code]

Pas de témoignages conservés.

Période gallo-romaine[modifier | modifier le code]

La vallée de la Vesle est une voie naturelle qui mène vers l’Ouest et le Bassin Parisien, de Reims à Paris, de Durocorturum à Lutèce. Les traces d’occupations romaines sont nombreuses sur la commune comme en témoignent les fouilles effectuées notamment au lieu-dit Sur le Mont avec un ensemble funéraire, des monnaies, des bijoux, qui sont désormais exposés au musée Saint-Remi de Reims. Les fouilles du début des années 1970 ont permis d’identifier l’appartenance d’un certain nombre de squelettes à la tribu des Lètes (IIIe siècle apr. J.-C.)[15].

Ont été retrouvés dans le village, outre des sépultures, un four à potier et du mobilier (vases, amphores, coupes…), monnaie romaine… Dans les années 1950 fut mis au jour les restes d’un petit temple gallo-romain (fanum) datant du Ier – IIe siècle apr. J.-C.

Période du Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le territoire communal ressort de l'abbaye de Saint-Thierry après avoir été aux mains des Normands de 882 à 922, est restitué aux religieux de Saint-Thierry par acte du roi Charles III du 31 mai 922 non sans avoir été occupé par les seigneurs de Roucy jusqu'en 973.

La peste ravage la commune en 1111. La légende veut que ce fléau cessa lorsque les moines apportèrent sur place les reliques de saint Thierry et de saint Théodulphe.

Le village restera toujours une petite agglomération d'une centaine d'habitants jusqu'au XXe siècle. Néanmoins, il connait une relative activité économique notamment avec le moulin Compensé au bord de la Vesle. Une bulle du Pape Adrien VI en 1156 mentionne déjà ce moulin qui sera racheté en 1892 par la Compagnie des Eaux Vannes de Reims afin de supprimer la chute d'eau qui entrave le libre cours de la rivière. L'agriculture au XIXe siècle est principalement céréalière avec un assolement en betteraves, foins et lentilles.

Période classique[modifier | modifier le code]

Les religieux de Saint Thierry au XVIe siècle décident de vendre la Seignererie de Châlons et le Moulin Compensé au Sieur de Juvincourt puis à Jean Beguin.

Dès le XVIe siècle, l'église de Châlons-sur-Vesle est desservie par le curé de Trigny. Il en sera ainsi jusqu'en 1968, date du départ de l'abbé Marcel Pata, dernier curé résident, pour Cormicy. Dès le XVIIe siècle, la commune possède une école avec comme premier instituteur connu Jean Chopiton[16].

Période moderne[modifier | modifier le code]

Le village fut occupé par un détachement de troupes prussiennes lors de la guerre de 1870.

Guerre 1914-1918[modifier | modifier le code]

La gare de Muizon avec celle du Marais de neuf en contrebas est le point le plus avancé de l'approvisionnement du Front. Châlons-sur-Vesle, avec ses sablières, est donc une zone stratégique pour les soldats montant au front et ceux en revenant. Le village abrite alors une ambulance et aussi un petit cimetière militaire. Le village devient un enjeu lors de l'offensive allemande du 27 mai 1918 et est alors occupé par l'armée allemande jusqu'au 1er octobre 1918, jour de la libération de la commune.

Économie[modifier | modifier le code]

Décorations françaises[modifier | modifier le code]

Photo Croix de guerre 1914-1918
Croix de guerre 1914-1918 : 30 mai 1921.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1865 1869 Jacques Edmond Arnould dit Arnould-Baltard (1821-1893)[17]    
         
1871 1880 Renard [18]    
         
mars 2001 En cours
(au 4 juillet 2014)
Alain Cullot   Réélu pour le mandat 2014-2020[19],[20]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 198 habitants[Note 4], en diminution de 0,5 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
9610292123110110101109108
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
123112110988675708176
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
718598929712412413392
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
118127153148161160160192188
2021 - - - - - - - -
198--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux, monuments et patrimoine[modifier | modifier le code]

  • La Sablière de Châlons-sur-Vesle.
  • Église entourée de son ancien cimetière clos est du XIIIe siècle avec une façade et un portail reconstruit en 1843. Elle contient une chapelle dédiée à sainte Madeleine, patronne de la commune.
  • La commune comporte plusieurs grandes fermes relevant de l'architecture traditionnelle du secteur comme on en trouvait encore aux alentours (ferme du Château à Muizon, ferme Lefort à Trigny...). La ferme est organisée autour d'une grande cour parallélépipédique totalement close avec un haut mur sur rue percé d'un vaste portail. En face, le vaste bâtiment d'habitation qui témoigne de la richesse de l'exploitation et de part et d'autre les communs. Les constructions sont en pierre couvertes de tuiles ou d'ardoises.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Jean-Pierre et Colette Lallement créent en 1975 un restaurant gastronomique à Châlons-sur-Vesle, l'Assiette champenoise, qui acquiert une solide réputation avant de transférer leur établissement à Tinqueux, aux portes de Reims. En 2001, avec leur fils Arnaud Lallement, l'établissement reçoit sa première étoile au guide Michelin, en 2005 sa seconde et en 2014 sa troisième.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Sources[modifier | modifier le code]

  • Émile Maussenet, Recherches statistiques et historiques sur le village de Châlons-sur-Vesle, Bron-Bourquin, Reims, 1998
  • Anonyme, Le site archéologique de Châlons-sur-Vesle, lieu-dit Sur le Mont, Bulletin de la société archéologique champenoise / Groupe d'études archéologiques de Champagne-Ardenne. - 1978 (4, p. 71-79)
  • Maurice Jonot, Patrimoine : l'église de Châlons-sur-Vesle - (in : Entre deux terroirs, pages d'histoire du massif de Saint-Thierry) 2010 (no 65, p. 11-13)
  • F. Chiesi / V. Louvet, Étude anthropologique de la nécropole de Châlons-sur-Vesle, Groupe d'études archéologiques de Champagne-Ardenne - 1990 (2, 14 p)

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Châlons-sur-Vesle et Chambrecy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Chambrecy-Civc », sur la commune de Chambrecy - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Chambrecy-Civc », sur la commune de Chambrecy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. « La sablière de Châlons-sur-Vesle ».
  15. collectif, « Les fouilles de Châlons-sur-Vesle (Marne) », Groupe d'études archéologique de Champagne Ardenne,‎ .
  16. Maussenet Emile, Châlons-sur-Vesle, Bron-Bourquin (Reims), .
  17. site de la famille Baltard Arnould
  18. Almanach Matot-Braine de 1879, p225
  19. Liste des maires au 1er août 2008, site de la préfecture de la Marne, consulté le 22 décembre 2008
  20. « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.