Biarne

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Biarne
Biarne
Église Saint-Jean-Baptiste.
Blason de Biarne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Dole
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Dole
Maire
Mandat
Olivier Lacroix
2020-2026
Code postal 39290
Code commune 39051
Démographie
Gentilé Biarnais
Population
municipale
432 hab. (2021 en augmentation de 7,73 % par rapport à 2015)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 08′ 48″ nord, 5° 27′ 27″ est
Altitude Min. 192 m
Max. 262 m
Superficie 6,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Dole
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Authume
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Biarne
Liens
Site web http://mairiebiarnejura.blogspot.com/

Biarne est une commune française située dans le département du Jura, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est dominée par le Mont Frit à 264 m. Biarne est située à 10 km au sud-est d'Auxonne et à 7 km au sud-ouest de Dole. Elle comprend le bourg principal, Biarne, et le hameau de Saint-Vivant en Amous (ou Amaous ou encore Saint-Vivant en Amaou[1]) qui lui est rattaché depuis le .

L'autoroute A36 (France) passe au sud de la commune.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Auxonne (Côte-d'Or) Rainans Rose des vents
N Jouhe
O    Biarne    E
S
Billey (Côte-d'Or) Sampans

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 950 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dole », sur la commune de Dole à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 023,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Biarne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dole, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 87 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,4 %), forêts (28,5 %), prairies (25,5 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), zones urbanisées (4,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Saint-Vivant fut complété par le nom du pagus dans lequel le village se trouvait : le pagus Chamavorum (du nom du peuple franc des Chamaves) ou pagus Amous (ou Amaous) provient des Chamaves dont le hameau de Saint-Vivant-en-Amous garde aujourd'hui le souvenir.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le hameau de Saint-Vivant garde le nom du monastère qui s'y est établi au IXe siècle et qui prit le nom du saint dont les moines vénéraient la relique.

Après avoir été chassés de Vendée dont ils fuyaient les incursions destructrices, les moines s'étaient tout d'abord mis en sécurité à Clermont puis avaient trouvé refuge sur des terres, prés, vignes, eaux et forêts qu'Agilmar (Agilmarus), évêque de Clermont propriétaire de ces biens en Bourgogne mettait entièrement à la disposition du monastère auquel il imposa le nom de Saint-Vivant[15]. Les moines y vécurent quelque temps avant d'être à nouveau chassés par les Normands d'Astings (ou Austin ou encore Hasting), vers 886, après le siège de Paris, lors de leurs incursions dévastatrices aux confins de la Bourgogne et d'être finalement recueillis par le comte Manassès qui leur donna résidence à Vergy où ils fondèrent le monastère de Saint-Vivant de Vergy.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
vers 1790 ---- Philippe Chevaux    
vers 1793 ---- Jean-Baptiste Meny    
vers 1805 1811 Nicolas Fleurot (adjoint : Philippe Champion)    
1811 1815 Emmanuel Javel    
1815 1816 Pierre Girardin    
1816 1825 Emmanuel Javel    
1825 1830 Jean-Baptiste Chevaux (adjoint :Pierre Bernoux)    
1830 1832 Pierre Girardin    
1832 1843 Jean-Baptiste Chevaux    
1843 18-- François Perron    
vers 1852 1855 Jean Courtois    
1855 1867 François Perron    
1867 1884 Jean Roussotte    
1884 1898 Benjamin Dubois    
1898 1908 Jules Courcet    
1908 1919 Ludovic Roussotte    
1919 1928 Elysée Fréret (adjoint :Pontarlier)   Chevalier de la Légion d'honneur
1928 1929 Charles Alhéritière    
1929 1935 Simon Fréret    
1935 1953 Georges Plubel    
1953 1977 Marius Ardiot SE  
1977 1995 Pierre Monti SE Chevalier de l'Ordre National du Mérite
des Palmes Académiques, du Mérite Agricole
médaille de bronze de Jeunesse et Sports
1995 2001 Pierre Ardiot SE  
2001 2020 Bruno Negrello DVD  
2020 En cours
(au 16 juin 2020)
Olivier Lacroix SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

L'école de Biarne est équipée depuis son ouverture en 2010 de panneaux solaires et est classée "Bâtiment Basse Consommation"[16].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].

En 2021, la commune comptait 432 habitants[Note 4], en augmentation de 7,73 % par rapport à 2015 (Jura : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
330296320260434423411409420
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
375374355314310308312275259
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
243230230215209196187185162
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
184146152255355354367364363
2014 2019 2021 - - - - - -
397409432------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Biarne compte une école maternelle et primaire publique qui est en Regroupement pédagogique intercommunal avec l'école de Jouhe.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Une brocante a lieu chaque année le dernier dimanche de mars.

Économie[modifier | modifier le code]

  • FabLab comtois, premier fablab de France en milieu rural depuis [21]
  • Produits de l'agriculture biologique à la ferme des Thivant, à Saint-Vivant.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Fontaine de 1856, sise dans le Quartier des Espagnes.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Jean-Baptiste[modifier | modifier le code]

Ce monument, terminé en 1610, est doté d'un clocher comtois en tuiles unicolores surmonté d'une girouette et d'un coq. La nef est dallée avec d'anciennes pierres tombales dont certaines proviennent de l'ancien monastère de Saint-Vivant[22].

Cette église est rattachée à la paroisse Notre-Dame des Jolis Monts[23], faisant partie du doyenné de Dole et du diocèse de Saint-Claude.

L'église comporte une chapelle qui occupe le transept sud, dédiée à la famille Laborey de Salans. Cette chapelle est de style Renaissance et possède un autel ainsi qu'un remarquable plafond à caissons. Un retable surmonte l'autel et est orné d'angelots en bois peint. Au centre se trouve une peinture de la Vierge Marie, dotée de l'inscription "Maria Mater Dei" (Marie, mère de Dieu). Ce tableau a la particularité de créer une illusion d'optique au niveau du regard de la Vierge : en effet, le visiteur a l'impression que la Vierge le suit du regard lorsqu'il se déplace.

La cloche[modifier | modifier le code]
La cloche actuelle remplace une ancienne cloche qui était fêlée.
La cloche et ses inscriptions.

La cloche, baptisée en 1972, se nomme Marie-Jeanne et sort de la fonderie Bollée à Orléans[22]. Elle produit un Do4. Son battant a été changé en [24] Nous pouvons lire les inscriptions suivantes :

Refondue et bénite en l'an de grâce 1972

J'ai reçu le nom de

MARIE-JEANNE

Mgr Claude Flusin étant évêque de Saint-Claude

M. l'Abbé Thuillier étant curé de la paroisse de Biarne

M. Ardiot Marius étant maire de la commune de Biarne

J'ai comme parrain Joly René et comme marraine Pontarlier Germaine.

Chapelle Saint-Hilaire
à Saint-Vivant en Amaous.
La chapelle Saint-Hilaire[modifier | modifier le code]

Cette chapelle est située au hameau de Saint-Vivant et fut construite entre le XVes. et le XVIIe s. Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1979[25],[26]. Mentionnée depuis 1187, elle fut reconstruite à plusieurs reprises avant de prendre sa forme actuelle vers 1836[27]. Le portail est orné d'un écusson en marbre de Sampans à l'honneur des jésuites et le cimetière abrite toujours quelques anciennes tombes.

Lieux naturels[modifier | modifier le code]

  • Étang de la Muyre, créé à la suite de la construction de l'autoroute A36 et situé à cheval sur les communes de Biarne et Jouhe.
  • La Vèze (ruisseau venant de Jouhe)
  • Ruisseau du Moulin de Biarne
  • Ruisseau du Moulin de Saint-Vivant
  • Source de La Motte

Voies[modifier | modifier le code]

21 odonymes recensés à Biarne
Allée Avenue Boulevard Chemin Impasse Montée Passage Place Route Rue Ruelle Autres Total
0 0 0 0 0 0 0 0 0 20 0 1[28] 21
Source : [1]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Biarne Blason
D'argent à un phénix de sinople sur son immortalité de gueules, chapé ployé du même ; à dextre à la bande d'or chargée d'un sautoir du troisième, à senestre à la croix latine ancrée, ajourée en losange et anglée de quatre clous, chaque bras pommeté d'une pièce, le tout d'or.
Détails
La chape dextre est aux armes des Laborey, seigneurs du lieu au XVIIe siècle. La chape senestre évoque le hameau de Saint-Vivant. Le phénix symbolise l'union entre Biarne et Saint-Vivant.
Création de Nicolas Vernot, adoptée le 28 mars 2014.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre Camp, Histoire d'Auxonne au Moyen Âge, 1960.
  • Pierre Camp, Guide Illustré d'Auxonne, 1969.
  • Pierre-André Pidoux de la Maduère, Le Vieil Auxonne, Réédition de 1999.
  • Lucien Millot, (fr) ''Étude critique sur les origines de la ville d'Auxonne, sa condition féodale et ses franchises, 1899.
  • Dom Simon Crevoisier, Chronique de Saint-Vivant, Manuscrit vers 1620, B.M. de Dijon (MS-961) ou Archives de la Côte-d'Or (H. 122).
  • Hélène Moulinneuf, Saint-Vivant-en-Amous: Vestige d'un passé lointain, Dole 1977.
  • Pierre Monti, Biarne et Saint-Vivant-en-Amaous, 1988.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Voir carte IGN
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Biarne et Dole », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Dole », sur la commune de Dole - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Dole », sur la commune de Dole - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Dom Simon Crevoisier, Chronique de Saint-Vivant, Manuscrit vers 1620 - B.M. de Dijon (MS-961) ou Archives de la Côte-d'Or (H. 122)
  16. « Inauguration officielle de l’école de Biarne », sur biarne.blogspot.fr (consulté le ).
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. « Une nouvelle imprimante 3D au FabLab Comtois de Biarne ».
  22. a et b Pierre Monti, Biarne et Saint-Vivant en Amaous, Dole, .
  23. « Paroisse Notre-Dame des Jolis Monts », sur www.eglisejura.com (consulté le ).
  24. « Pour que sonne gaiement la cloche », sur leprogres.fr, (consulté le )
  25. « Chapelle Saint-Hilaire (XVe-XVIIe s.) », notice no PA00101818, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. A. Lejeune (arch. du patrimoine), « Périmètre délimité des abords autour de l’église prieurale de Saint-Vivant », rapport d'étude, Unité Départementale de l’Architecture et du Patrimoine Jura, sur registre-dematerialise.fr, (consulté le ).
  27. « Chapelle Saint-Hilaire à Saint-Vivant (Biarne 39) | Racinescomtoises - Patrimoine et photographies de Franche-Comté », sur racinescomtoises.net (consulté le ).
  28. Quartier des Espagnes