Belvèze

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Belvèze
Belvèze
Ferme de Ratelle à Belvèze.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Serres en Quercy
Maire
Mandat
Claude Veril
2020-2026
Code postal 82150
Code commune 82016
Démographie
Population
municipale
218 hab. (2021 en augmentation de 9 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 19′ 50″ nord, 1° 05′ 32″ est
Altitude 190 m
Min. 154 m
Max. 271 m
Superficie 13,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Serres Sud-Quercy
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Belvèze

Belvèze est une commune française, située dans le nord-ouest du département de Tarn-et-Garonne en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Séoune et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (le « plaine de la Tourderie ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Belvèze est une commune rurale qui compte 218 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 852 habitants en 1806. Ses habitants sont appelés les Belvézois ou Belvézoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située dans le Quercy et plus précisément en Quercy blanc.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune est limitrophe du département du Lot. Les communes limitrophes sont Bouloc-en-Quercy, Lauzerte, Montaigu-de-Quercy, Montcuq-en-Quercy-Blanc et Valprionde.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Belvèze.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par la Séoune, un bras de la Séoune, le ruisseau de la Longagne, le ruisseau de la Ratelle et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[3],[Carte 1].

La Séoune, d'une longueur totale de 64,9 km, prend sa source dans la commune de Sauzet et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Sauveterre-Saint-Denis, après avoir traversé 24 communes[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 838 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montcuq - Rouil », sur la commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc à 9 km à vol d'oiseau[7], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 830,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12],[13].

Un espace protégé est présent sur la commune : la « plaine de la Tourderie », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 19,6 ha[14].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[15] : la « butte de serre Longue » (49 ha), couvrant 2 communes du département[16], et les « coteaux de la Longagne et de Bistournayre » (493 ha), couvrant 5 communes dont deux dans le Lot et trois dans le Tarn-et-Garonne[17].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Belvèze est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[18],[I 1],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,2 %), forêts (28,7 %), terres arables (24,1 %), mines, décharges et chantiers (4,1 %), prairies (0,9 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Belvèze est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Séoune. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 1999, 2000 et 2007[24],[21].

Belvèze est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 4],[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Belvèze.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 94 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 157 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 156 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Valbazes, Valbase, Valbazer, Vallebaze et Valbazes. Le nom occitan Velbaser a été proposé par Patrici Pojada[30].

Selon Ernest Nègre le nom est issu de l’occitan bèl et vezer, signifiant « bel aspect » soit la même étymologie que pour les communes nommées Belbèze et Beauvezer[31]. « Mais les sources paléographiques indiquent clairement qu’il s’agit d’un ancien Valbaze attesté dès 1063. Il est constitué de deux éléments dont le premier est manifestement l’occitan val qui désigne une vallée ; le second est plus obscur »[32].

« Alors la question se pose de savoir pourquoi ce nom est devenu Belvèze, forme qui apparaît pour la première fois sur la carte de Cassini, à la fin du XVIIIe siècle. Une étude du parler local indique que dans un tout petit secteur où se trouve cette commune, les gens disent bél pour désigner un « val ». Un phénomène identique se retrouve dans une zone située dans le Gers, où les gens disent béth au lieu de bath pour l’héritier du latin vallem. Les enquêteurs de Cassini, à l’audition de ce bél n’ont pas reconnu le val habituel et ont donc transformé le nom pour qu’il ressemble à quelque chose de connu, pratiquant ce qu’on appelle en toponymie une "remotivation" »[32].

Histoire[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Belvèze Blason
D'azur à la rivière ondée d'argent accompagnée en chef de trois croisettes au pied fiché d'or et en pointe, de trois épis de blé tigés et feuillés d'or, un posé en pal, celui à sénestre posé en barre et celui à dextre posé bande.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 En cours Claude Veril PRG Président de la Communauté de communes

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

En 2021, la commune comptait 218 habitants[Note 5], en augmentation de 9 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
536842852850809794804689761
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
718681632600594575505563512
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
516432410324330361309288286
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
252211178177192205210212205
2018 2021 - - - - - - -
214218-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 78 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 164 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 930 [I 4] (20 140  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 7,6 % 6,1 % 4,4 %
Département[I 7] 8,4 % 10,2 % 10,3 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 114 personnes, parmi lesquelles on compte 69,3 % d'actifs (64,9 % ayant un emploi et 4,4 % de chômeurs) et 30,7 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 69 emplois en 2018, contre 53 en 2013 et 61 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 76, soit un indicateur de concentration d'emploi de 90,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,8 %[I 10].

Sur ces 76 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 34 travaillent dans la commune, soit 45 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 94,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

22 établissements[Note 8] sont implantés à Belvèze au [I 13]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,3 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 22 entreprises implantées à Belvèze), contre 14,9 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture[modifier | modifier le code]

1988 2000 2010 2020
Exploitations 25 17 10 8
SAU[Note 9] (ha) 810 1 021 899 893

La commune est dans le Quercy Blanc, une petite région agricole ne concernant qu'une commune du département de Tarn-et-Garonne[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (25 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 893 ha[39],[Carte 6],[Carte 7].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église paroissiale Saint-Hilaire de Belvèze. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[40]. Le mobilier de l'église est référencé dans la base Palissy[40].
  • Église Saint-Jean d'Olmières. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[41]. Le mobilier de l'église est référencé dans la base Palissy[41].
  • L'ancienne église paroissiale Saint-Martin, détruite, nef du 12e siècle ; chœur reconstruit dans la 2e moitié du 15e siècle[42].
  • L'église Saint-Martin de Sept-Albres[43]. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[44].
  • La Ferme de Ratelle, inscrite au titre des monuments historiques en 1995[45]. Cette ferme a conservé le plan traditionnel des fermes du Quercy. À proximité de la ferme, au fond du vallon, on trouve une fontaine et un lavoir entourés de quelques chênes pluricentenaires.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Belvèze » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Belvèze » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Belvèze » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Belvèze » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Belvèze » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche communale de Belvèze », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  4. Sandre, « la Séoune »
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Belvèze et Montcuq-en-Quercy-Blanc », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  9. « Station Météo-France « Montcuq - Rouil », sur la commune de Montcuq-en-Quercy-Blanc - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « Les différents espaces protégés. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur observatoire-biodiversite-centre.fr (consulté le ).
  13. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « le « Plaine de la Tourderie » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Belvèze », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF la « butte de serre Longue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF les « coteaux de la Longagne et de Bistournayre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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