Banvou

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Banvou
Banvou
L'église Saint-Ernier.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Argentan
Intercommunalité Flers Agglo
Maire
Mandat
Jean-Louis Pellerin
2020-2026
Code postal 61450
Code commune 61024
Démographie
Gentilé Banoïciens
Population
municipale
620 hab. (2021 en diminution de 2,05 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 39′ 54″ nord, 0° 33′ 11″ ouest
Altitude Min. 173 m
Max. 259 m
Superficie 12,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Flers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ferté-Macé
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Banvou est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 620 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Cette commune du Passais est aux confins du Domfrontais et du pays d'Houlme, en Bocage normand. Son bourg est à 11 km au sud de Flers, à 13 km au nord-est de Domfront et à 18 km au nord-ouest de La Ferté-Macé[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 942 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Briouze à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 920,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Banvou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Flers, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,6 %), terres arables (26,6 %), zones agricoles hétérogènes (9,4 %), forêts (3,6 %), zones urbanisées (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le lieu est attesté sous la forme Banvo en 1199[16].

La finale -ou, que l'on rencontre au sud de la Normandie et au-delà, s'explique généralement par le gaulois -avo > -avum, suffixe locatif.

René Lepelley[17] et Xavier Delamarre[18] expliquent le premier élément par le gaulois *banuos « jeune porc » (cf. irlandais banb « jeune porc », gallois banw « jeune porc », breton bano « truie »). Ce dernier pose un possible type toponymique *Banuavum équivalent des Porchères, Pourcieux de la toponymie romane, reprenant en cela la proposition d'Albert Dauzat et Charles Rostaing[19].

Le gentilé, Banoïcien, comme c'est fréquemment le cas, repose sur une étymologie erronée, puisque selon les règles de la phonétique historique, Banoicum ne peut pas avoir abouti à Banvou.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

À proximité de Banvou, vers le lieu-dit de Pic-Louvette et de la chapelle Sainte-Anne, se croisaient trois voies romaines 48° 40′ 19″ N, 0° 32′ 02″ O :

  • celle de Jublains à Vieux qui après avoir traversé Dompierre, a servi de limite entre la commune de La Ferrière-aux-Étangs de celle de Banvou, puis servait aussi de limite entre Saint-André-de-Messei et Banvou, avant de se diriger vers la commune du Châtellier [20] [21] [22];
  • celle du Mans à Valognes ;
  • puis enfin celle de Rennes à Lisieux.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Haut Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au VIe siècle, saint Innocent, évêque du Mans, envoie de nombreux ermites pour prêcher le christianisme dans les campagnes du Passais, et plus particulièrement saint Ernier à Ceaucé; celui-ci vécu également à Banvou. Dès le XIIe siècle une église dénommée "ecclesia St Ernerii de Banvo" est construite en ce lieu [23].

Une forteresse mérovingienne entourée de fossés pavés serait à l'origine du vieux bourg de Banvou, où se trouve actuellement la chapelle Saint-Ernier[24].48° 39′ 18″ N, 0° 32′ 13″ O

Période du duché de Normandie[modifier | modifier le code]

Au XIe siècle, Guillaume II Talvas de Bellême, est suzerain de Banvou et de toute la région environnante[25].

Période de l'Empire Plantagenêt[modifier | modifier le code]

Vers 1142, Thomas, seigneur de Banvou, donne l'église Saint-Ernier au chapitre de Sées, acte reconnu par Hugues de Saint-Calais, alors évêque du Mans.

Vers 1184, le pape Lucius III confirme à Raoul du Merle (descendant de Ranulf du Merle ?), prêtre et chanoine de Sées, la possession de l'église Saint-Ernier de Banvou, concédée par le prieur du chapitre de Sées[26].

Légende arthurienne[modifier | modifier le code]

Selon la légende, Banvou était Bannou et Banoicum vicum « le bourg de Ban »[27].

La paroisse de Banvou, était autrefois la plus au nord de l'ancien diocèse du Mans. Elle se situait sur la marche de quatre anciens diocèses : Le Mans, Séez, Bayeux et Avranches. Banvou occupe de fait une position privilégiée dans l'angle de la Varenne et des collines qui forment la ligne de partage des eaux entre le versant de la Manche et celui de l'Atlantique[28].

Plusieurs récits sont liés à saint Ernié et Banvou, celui d'une fontaine qui déclenche des orages lorsque l'on y plonge un reliquaire, d'une aubépine qui fleurit l'hiver. Le personnage de saint Ernié semble avoir fourni quelques traits à la confection d'un personnage de la Table Ronde, Léonce de Payerne (pagus Erneaie), régent du Banoïc dans les récits arthuriens.

Cette « gémellisation » des traits d'un personnage héroïque avec ceux d'un saint personnage est connue, elle a été étudiée par un clerc mayennais, l'abbé Moisan, qui en a fait sa thèse de doctorat ès lettres. L'érudit local René Bansard élargissant son champ de recherches à partir de ces constats, avait découvert dans cette région que d'autres ermites du Bas-Maine étaient, aux marches de la Normandie, dans le même cas que saint Ernier et que leurs hagiographies recoupaient, sur certains points, les récits légendaires de plusieurs chevaliers de la Table Ronde : saint Bômer (Bohamadus) et Baudemagu, le roi de Gorre, et surtout saint Fraimbault (Sanctus Frambaldus, soit le porteur (baldo)[Information douteuse] de lance (framée)) avec Lancelot du Lac, meilleur chevalier du monde, héros des romans arthuriens, né en la Marche de Gaule et de Petite Bretagne, en la demeure de son père, Ban de Bénoïc.

« En la marche de Gaule et de Petite Bretagne, il y avait autrefois deux rois qui avaient épousé deux sœurs germaines, l'un s'appelait Ban de Banoïc et l'autre Bohort de Gannes. (incipit du Lancelot en prose, XIIIe siècle). »

.

Cependant, sur ce point, la légende n'est évidemment pas en rapport direct avec Banvou qui n'a jamais été située sur la marche de petite Bretagne, si tel est le cas, il s'agit d'une interprétation littéraire. En effet, le village situé à la frontière méridionale de la Normandie (dans l'ancien diocèse d'Avranches) et qui colle à la fois aux diocèses du Mans et de Rennes (petite Bretagne) se nomme Les Loges-Marchis et se situe à plus de 50 km de là. En outre Landivy, village du diocèse du Mans à environ 47 km de Banvou, se situe à la fois près du diocèse de Rennes et de celui d'Avranches.

René Bansard[modifier | modifier le code]

René Bansard allait se forger l'intime conviction que le terroir du Passais avait servi de terreau à une matière qu'on appellera la Matière de Bretagne composée sous commande de Plantagenêts. Et il n'eut de cesse, jusqu'à sa mort, de développer ses hypothèses dans ce sens.

Prospectant activement sur le terrain qu'il parcourait en Vélosolex pendant près de vingt ans, il en était arrivé à la conclusion que le pays du Passais, a condensé sur son terroir un grand nombre d'événements symboliques que l'on retrouve à peine travestis dans la Matière dite de Bretagne. Ainsi, il avait croisé, à la façon d'un Schliemann vérifiant sur place les faits rapportés dans l'Iliade et l'Odyssée pour aboutir à la découverte du site hypothétique de l'ancienne Troie, parcourant à nouveau les itinéraires des chevaliers de la Table Ronde partis, par exemple, à l'aventure qui pour secourir la reine Guenièvre enlevée au royaume de Gorre (Gorron) par Méléagant le fils de Baudemagu, qui dans leur Quête du Saint Graal vers le Munt Salvage (Mont sauvage)[29].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

En 1504, Chauvin, curé de Banvou, jouissait des offrandes et de la chapelle de Frédebise, ce qui lui était contesté par le curé de Lonlay-le-Tesson [30].

Vers 1544, la famille De Neuville, de très ancienne noblesse, possédait les fiefs de Banvou, qui dépendaient de la seigneurie de la Ferrière [31].

Vers 1577, Julien de Neuville est seigneur de Banvou, son frère Jean de Neuville est seigneur de Bois-Guillaume dans cette même commune, et Guy de Neuville est prieur de Saint-Frout (ou Front ?) [32].

En 1614, aveu rendu au roi par Joachim de Falaise, pour les terres de la Ferrière et les droits de ses seigneurs. Il s'agissait d'un fief de haubert, s'étendant sur les paroisses de la Ferrière-aux-Étangs, Dompierre, Champsecret, et Banvou [33].

En 1678, François Bigeon est vicaire de Banvou, le sieur Julien Geslin est porte bénitier, et De la Haye est le curé de Banvou [34].

En 1706, Nicolas de Neuville est le seigneur de Banvou [35].

En 1777, la population s'élève à environ 700 habitants de plus de 12 ans. L'activité agricole dépend principalement de la production de seigle, d'avoine et de sarrasin; alors que l'activité industrielle se limite à la forge de la Gaudinière. La cure dépendant de l'abbaye Saint-Martin de Sées procure un revenu de 700 livres. La seigneurie de paroisse appartient à M. Lambert, et relève de la seigneurie de la Ferrière. [36]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1798, sous le Directoire, René Sauvage est ordonné prêtre en secret; après le Concordat de 1801 il est nommé curé de Banvou [37].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1826 1827 Louis Émile Deshayes de Marcère    
         
? 1993 Louis Jourdan    
1993[38] mars 2008 Jean-Louis Pellerin DVD Entrepreneur de travaux agricoles, vice-président de la communauté de communes
mars 2008[39] juin 2011[40] Martine Guérin SE Laborantine (retraitée), décédée en cours de mandat
juin 2011[41] En cours Joël Jourdan[42] SE Maire par intérim (été 2011), puis élu. Ancien 1er adjoint, entrepreneur

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints[42].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].

En 2021, la commune comptait 620 habitants[Note 4], en diminution de 2,05 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Banvou a compté jusqu'à 1 126 habitants en 1861.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0331 0791 1251 0141 0541 0431 0881 0781 084
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0731 1261 0571 0451 0661 0251 029955893
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
823815804653602605547496489
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
535488436418441456586659621
2021 - - - - - - - -
620--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La chapelle Saint-Ernier.
  • Église Saint-Ernier (XIXe) en pierre avec mobilier du XIXe.
  • Chapelle Saint-Ernier et croix sculptée de 1695.
  • Pont mégalithique de la Vallée, en limite avec Le Châtellier.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

La foire de la Saint-Ernier à lieu tous les ans le 9 août. Comme à Ceaucé, il existait autrefois une procession lors de laquelle le doigt-reliquaire de Saint-Ernier était exposé et transporté de l'église de Banvou jusqu’à la chapelle du Vieux-Banvou, où il était alors immergé dans une fontaine lors d'un rituel pluviométrique. Lors de sécheresses exceptionnelles, des processions particulières étaient également organisées[47].

Endurance de cross tous les deux ans en septembre[réf. nécessaire].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Émile de Marcère (1828-1918), homme politique et dernier sénateur à vie français, est inhumé au cimetière.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Banvou Blason
D'argent fretté de gueules ; au chef d'argent au combattant médiéval à mi-corps, équipé d'un heaume et d'un bouclier, le tout au trait de sable, brochant sur une flèche du même posée en barre, accompagné de quatre mouchetures d'hermine de sable, deux en chef à dextre et deux en pointe à senestre[48].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Banvou et Briouze », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Briouze » (commune de Briouze) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Briouze » (commune de Briouze) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Flers », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6), p. 51b.
  17. Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2). p. 58.
  18. Dictionnaire de la langue gauloise, Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Errance, Collection des Hespérides, 2003 (ISBN 2-87772-237-6). p. 66.
  19. Ibidem.
  20. Annales de Normandie-Voies antiques 1960, p. 5,10.
  21. Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne-tome3 1882, p. 116.
  22. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne-tome21 1902, p. 111.
  23. Les troménies bretonnes-Un mode d’anthropisation de l’espace à l’examen des processions giratoires françaises et belges 1902, p. 198.
  24. Site classé N° 61085-1 Romans de la Table Ronde 2013.
  25. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne-tome21 1902, p. 118.
  26. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne-t13 1894, p. 456.
  27. Georges Bertin, La quête du Saint Graal et l'Imaginaire, Corlet, 1998.
  28. P. Flament in La Légende arthurienne et la Normandie, Corlet, 1983.
  29. Georges Bertin, "La quête du saint Graal et l'Imaginaire", Éd. Corlet, 1998
  30. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne-tXXX 1911, p. 307.
  31. Revue historique et archéologique du Maine-tIX 1881, p. 364.
  32. Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne-t5 1886, p. 132.
  33. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne-tXXV 1906, p. 31.
  34. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne-tXXV 1906, p. 77.
  35. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne-tXLII 1923, p. 209.
  36. Dictionnaire topographique historique généalogique et bibliographique de la province et du diocèse du Maine-Tome I 1777, p. 68.
  37. Notice sur la commune de Lonlay-le-Tesson 1884.
  38. « Jean-Louis Pellerin mène une équipe « jeune et dynamique » », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  39. « Martine Guérin s'installe dans le fauteuil de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  40. « Ouest-france.fr - Démission du maire de Banvou, près de Flers »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  41. « Joël Jourdan, nouveau maire de Banvou, près de Flers », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  42. a et b Réélection 2014 : « Banvou (61450) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Les troménies bretonnes-Un mode d’anthropisation de l’espace à l’examen des processions giratoires françaises et belges 1902, p. 197-199,216-217.
  48. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Joël Hascoët, Les troménies bretonnes-Un mode d’anthropisation de l’espace à l’examen des processions giratoires françaises et belges (Thèse), t. I-Corpus historique et ethnographique, HAL, (présentation en ligne), « II-1.1 Ceaucé », p. 197-199, 203, 216, 217. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, t. XXV, , p. 31,77. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, t. XXX, , « CHAPELLE DE FRÈDEBISE », p. 307. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, t. XLII, , p. 209. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Revue historique et archéologique du Maine, t. IX, , p. 364. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne, t. III, , p. 116. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne, t. V, , « Certificats de l'état religieux de la noblesse du Bas-Maine 1577 », p. 132. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, t. XIII, , « Les du Merle au XIIIe », p. 456. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, t. XXI, , p. 111,118. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Gabriel Hubert, Annales de Normandie-10e année-no 3, (lire en ligne Accès libre), « Voies antiques. Les relations entre Jublains et Vieux(suite) », p. 5,10

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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