Banize

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Banize
Banize
Le bourg de Banize.
Blason de Banize
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Sud-Ouest
Maire
Mandat
Luc Escoubeyrou
2020-2026
Code postal 23120
Code commune 23016
Démographie
Gentilé Banizois, Banizoises
Population
municipale
181 hab. (2021 en diminution de 2,69 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 55′ 55″ nord, 1° 59′ 51″ est
Altitude Min. 471 m
Max. 653 m
Superficie 15,24 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Aubusson
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ahun
Législatives Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Banize
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Banize
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Voir sur la carte topographique de la Creuse
Banize
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Banize

Banize est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

La Banize au sud du bourg.

Dans la moitié sud du département de la Creuse, en Haute-Creuse, la commune de Banize s'étend sur 15,24 km2. Elle est bordée à l'ouest sur plus de deux kilomètres par le Thaurion et est arrosée par son affluent la Banize.

L'altitude minimale avec 471 mètres se trouve localisée à l'extrême ouest, au nord du lieu-dit le Meigneau, là où le Thaurion quitte la commune et entre sur celle de Chavanat. L'altitude maximale avec 653 mètres est située au nord-est, au puy de l'Arbre[1].

À l'intersection des routes départementales (RD) 10 et 16, le bourg de Banize est situé, en distances orthodromiques, quatorze kilomètres à l'ouest d'Aubusson, la sous-préfecture, et vingt-huit kilomètres au sud-sud-est de Guéret, la préfecture.

Le territoire communal est également desservi par les RD 36 et 940, cette dernière marquant les limites nord et nord-est de la commune.

En provenance de la commune de Chavanat, le GR 4 traverse le territoire communal, passe dans le bourg de Banize et rejoint à l'est du bourg le GR 46 qui continue vers le sud et la commune de Vallière, passant au lieu-dit la Mouline. Au nord-est, sur trois kilomètres, un tronçon commun à ces deux chemins de randonnée passe au lieu-dit la Vallade.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Banize et des communes avoisinantes.

Banize est limitrophe de cinq autres communes.

Au nord-ouest, son territoire est distant de moins de 400 mètres de celui de Saint-Georges-la-Pouge.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 191 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aubusson à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 939,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Banize est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aubusson, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,5 %), prairies (36,7 %), zones agricoles hétérogènes (8,7 %), terres arables (3,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Banize est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Banize.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 50,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 134 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 62 sont en aléa moyen ou fort, soit 46 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Confolent, un ouvrage sur la Creuse de classe A[Note 3] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 4,7 millions de mètres cubes[20]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[21].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Banize est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Banize est une commune de maçons-migrants essentiellement vers Paris et Lyon et leurs régions, dans la tradition des maçons de la Creuse (mouvement qui concernait au XIXe siècle 12 % de la population creusoise, et 17 % dans le canton de Saint-Sulpice-les-Champs dont faisait partie la commune), phénomène qui au cours des derniers siècles a façonné la physionomie actuelle du département et bien sûr de la commune. D'un côté, les simples ouvriers-maçons qui investissaient cependant le gain de leurs campagnes dans l'achat d'un lopin de terre pour s'installer et gagner ainsi leur indépendance. D'un autre côté, ceux plus ambitieux, voire opportunistes, qui sont devenus entrepreneurs en bâtiment, dont certains ayant pignon sur rue encore aujourd'hui. La politique de réforme de l'urbanisme du baron Haussmann et les reconstructions post-guerres mondiales leur ont été très favorables : des contemporains de Martin Nadaud, pour citer le plus célèbre d'entre eux, ont créé de véritables dynasties toujours très influentes dans les coulisses du pouvoir, tant la matière est cruciale. Terre ingrate et pauvre, la Creuse a atteint ses lettres de noblesse grâce à la maçonnerie qui est devenue une spécialité creusoise au cours des siècles. On peut parler de véritable ascenseur social, et Banize en est un exemple flagrant au travers des familles Despagnat, Georges, Mazet, Delavallade, Fiallon, Desgranges, Delouis, Chabanaud, etc.[Interprétation personnelle ?][23],[24]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie en 2018.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1959 Adrien Pacaud   Cultivateur
1959 1969 Henri Gloumeaud   Filateur
1969 1989 Roger Bord   Ébéniste
1989 1995 Marcel Bouard   Agriculteur
1995 1998 Didier Peyne   Instituteur
1998 2007 Georges Coudert   Agriculteur retraité
2007 2014 Benno Servazeix   Entrepreneur en travaux publics retraité
2014
(réélu en mai 2020)
En cours Luc Escoubeyrou SE Agent d'État (DGDDI)

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 181 habitants[Note 4], en diminution de 2,69 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
780706710691689732700702686
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
640635573594586618594641612
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
622578623554398354346334307
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
290225172174149134159155160
2014 2019 2021 - - - - - -
182182181------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Sulpice : l'église du XIVe siècle de type « austère » au plan simple et chevet plat, dont l'intérieur est couvert de fresques médiévales. Dissimulées sous un badigeon blanc, leur mise au jour et leur restauration ont eu lieu en 2020 et 2021. Un autel en pierre auparavant recouvert de boiseries pour ne pas faillir à la mode en vogue au XVIIIe et XIXe siècles a également été dégagé. Elle a subi de très gros dégâts lors de la tempête de décembre 1999 qui ont occasionné d'importants travaux de restauration[réf. nécessaire]. L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 2007[29]. La châsse en émail champlevé classée au titre des monuments historiques depuis 1889 est en dépôt au musée de Guéret[30].
  • La chapelle mortuaire de la place de Banize[31] : cette chapelle est celle de la famille Georges de Rebéry, hameau de Banize. Si comme en témoigne encore une petite tombe dans le fond de la place, à l'origine le cimetière entourait l'église jusqu'en 1905, comme cela était de mise partout en France jusqu'à une disposition de la fin du XVIIIe siècle qui les fit éloigner des centres-bourgs pour des raisons d'hygiène ; le terrain où est élevée cette chapelle appartenait quant à lui à ladite famille, laquelle a voulu l'édifice regardant leur propriété. Elle fit par la suite don de la parcelle, assorti d'une soulte en or à la commune de Banize, moyennant que la municipalité s'engage à créer une place arborée et à entretenir leur dernière demeure pour leur postérité.[réf. nécessaire]
  • Le canon de Banize : la commune de Banize a la particularité de posséder sur sa place un canon de siège de calibre 120, fabriqué à Liège en 1892 pour l'Armée royale belge, pris par l'Armée allemande lors de l'invasion de la France via la Belgique et mis en batterie par celle-ci, puis abandonné sur les champs de bataille des Ardennes après l'armistice de la Première Guerre mondiale, pour être enfin offert par le président Gaston Doumergue en 1924 en ornement du monument aux morts de la guerre de 1914-1918, par l'intermédiaire de son ami Eugène Despagnat (1863-1925), entrepreneur en bâtiment à Paris, président de la Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics. C'est cependant tout à fait par hasard qu'il s'est retrouvé à côté de la chapelle de la famille Georges sur la place. En effet, à l'origine placé face à la mairie, à gauche du monument aux morts auquel il est lié, il fut caché en 1944 de la vue de l'aviation alliée dans le bois de Lamand, aujourd'hui disparu, lors des opérations de libération de la France, afin que celle-ci ne l'assimile pas à de la DCA lors des repérages aériens et ne bombarde pas le bourg de Banize par erreur. Il y reste près d'une trentaine d'années jusqu'à ce qu'un régiment en manœuvre le pensant abandonné ne tente de se l'approprier vers 1973. C'est alors qu'à la suite de cet épisode, l'agriculteur du hameau de Lamant, désireux de défricher l'endroit en profita pour le déménager et, les roues étant en très mauvais état d'une part, et ne sachant qu'en faire d'autre part, le déposa sur la place du village à côté de la chapelle. Depuis le centenaire de l'armistice de la Première Guerre mondiale, il a retrouvé sa place originelle à gauche du monument aux morts face à la mairie.[réf. nécessaire] Seuls trois autres canons de ce type existent encore de par le monde : deux en Belgique, et un en Roumanie.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Banize Blason
Parti ondée ; au premier d'or à un canon de gueules et au second d'azur à une crosse d'évêque d'or accostée d"un truelle du même ; au chef ondé d'azur semé de fleur de lys d'or ; à la bande de gueules chargée de trois lions d'argent posés en barre.
Détails
En Chef (haut) le blason de la Marche, ancienne province de l'Ancien Régime dans laquelle le village faisait partie, l'ondée représente la rivière de la Banize qui arrose la commune et qui a donnée le nom du village. La crosse d'évêque évoque l'église du village sous le vocable de Saint Sulpice. Le canon et la truelle de maçon pour les emblèmes.

Création adoptée le .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[19].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Puy de l'Arbre » sur Géoportail (consulté le 18 septembre 2018)..
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Banize et Aubusson », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Aubusson_sapc » (commune d'Aubusson) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Aubusson_sapc » (commune d'Aubusson) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Banize », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Banize », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. Article R214-112 du code de l’environnement
  20. « barrage de Confolent », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  22. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  23. Archives communales et minutes notariales de Banize
  24. Étude sur les migrations réalisées à partir des archives de Banize (minutes notariales).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Église Saint-Sulpice », notice no PA00100003, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 18 septembre 2018.
  30. « châsse dite de saint Sulpice », notice no PM23000102, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture depuis 1925, consultée le 18 septembre 2018.
  31. Archives communales de Banize.
  32. Archives communales de Banize, archives départementales de la Creuse et archives de la Société archéologique de la Creuse.
  33. « tableau et cadre : les Disciples de saint Jean-Baptiste, ou l'Invention du chef de saint Jean-Baptiste et sa translation à Constantinople », notice no PM23000383, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 18 septembre 2018.