Avioth

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Avioth
Avioth
La basilique Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Verdun
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Montmédy
Maire
Mandat
Laurent Geoffroy
2020-2026
Code postal 55600
Code commune 55022
Démographie
Gentilé Aviotois
Population
municipale
130 hab. (2021 en diminution de 7,14 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 02″ nord, 5° 23′ 30″ est
Altitude 215 m
Min. 196 m
Max. 315 m
Superficie 6,5 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montmédy
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Avioth
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Avioth
Géolocalisation sur la carte : Meuse
Voir sur la carte topographique de la Meuse
Avioth
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Avioth
Liens
Site web avioth.fr

Avioth est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.

Les habitants sont nommés les Aviotois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la Lorraine gaumaise et est principalement connue pour sa basilique.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone 1 de sismicité très faible[2].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau traversant la commune :

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 970 mm, avec 14,1 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villette », sur la commune de Villette à 15 km à vol d'oiseau[8], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes d’Avioth
Breux
Thonnelle Avioth Thonne-la-Long
Montmédy

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Avioth est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43,4 %), terres arables (39,2 %), forêts (12,2 %), zones urbanisées (5,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Anciennes mentions : Avios (1223), Aviot (1230), Aiout (1270), Moneta Aviothensis et Moneta Avihotensis (XIVe siècle), Avioth (1527), Auioth (1599).

D'après Albert Dauzat et Charles Rostaing, ce toponyme provient probablement du patronyme latin Avius, et du suffixe -ot (diminutif dans l'est)[19]. Selon Charles Sadoul, aviot en patois lorrain signifie : lieu où il y a de l'eau. Cet écrivain cite l'exemple de la chapelle disparue de Notre-Dame-Des-Aviots à Rosières-aux-Salines et de la foire des aviots à Barbonville[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Initialement hameau dépendant de la paroisse du village disparu de Saint-Brice, Avioth doit son développement à l'extraordinaire découverte d'une statue en bois d'une Vierge à l'Enfant dans le courant du XIIe siècle. Dès lors le village fut un important lieu de pèlerinage et fut affranchie à la loi de Beaumont dès 1223. L'édification de la basilique Notre-Dame commence peu de temps après.

« Ville-libre », la commune d'Avioth avait donc déjà un maire et un tribunal échevinal qui fonctionnaient dès les années 1230[21]. Maire et échevins recevaient les actes de vente et donation de biens situés sur le territoire de la ville. L'atelier monétaire d'Avioth était connu pour ses moneta aviothensis en argent vers 1340.
Anciennement comté de Chiny, sous la dominance des comtes de Bar et de l'empire germanique, marquisat d'Arlon, duché de Luxembourg. Avant 1790, Luxembourg français, bailliage et prévôté de Montmédy.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1959 1995 Marc Chevalier SE  
1995 2008 Paulette Ferrari SE  
mars 2008 mai 2020 Edithe Lhuire SE  
mai 2020 En cours Laurent Geoffroy [22]   Agriculteur

Budget et fiscalité 2021[modifier | modifier le code]

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[23] :

  • total des produits de fonctionnement : 175 000 , soit 1 145  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 73 000 , soit 478  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 9 000 , soit 57  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 13 000 , soit 85  par habitant ;
  • endettement : 81 000 , soit 526  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 14,65 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 34,80 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 24,74 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 43,61 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 21,76 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 24 120 [24].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 130 habitants[Note 3], en diminution de 7,14 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
217247292428434449383408427
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
414395360296287275289289285
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
247221205179172153207128133
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
156152108103122115120135142
2021 - - - - - - - -
130--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[29] :

  • Écoles maternelles et primaires à Montmédy, Écouviez, Margut.
  • Collèges à Montmédy, Stenay, Carignan, Longuyon.
  • Lycées à Stenay.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[30] :

  • Médecins à Montmédy, Margut, Marville, Blagny, Stenay.
  • Pharmacies à Montmédy, Margut, Marville, Blagny, Stenay.
  • Hôpitaux à Longuyon, Mont-Saint-Martin, Sedan, Villerupt, Briey, Algrange.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses[32].
  • Culture et élevage associés.
  • Culture et élevage associés.
  • Élevage de vaches laitières.
  • Élevage d'autres bovins et de buffles.

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Hébergements et restauration à Montmédy, Montlibert, Flassigny, Williers, Marville[33].

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité[34].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Ce modeste village, jadis florissant au Moyen Âge, s'orne de façon tout à fait inattendue d'une merveilleuse église gothique des XIIIe et XIVe siècles : la basilique Notre-Dame d'Avioth Logo monument historique Classé MH (1840)[35]. L'intérieur recèle de très beaux ornements et notamment, dans le chœur, un mobilier de pierre parfaitement conservé des XIVe et XVe siècles, mais c'est à l'extérieur que se trouve le plus étonnant : la « Recevresse ».

La Recevresse.

« La Recevresse » est un monument unique au monde Logo monument historique Classé MH (1862)[36] et sa reproduction, grandeur nature, se trouve au Musée des monuments français à Paris. Ce chef d’œuvre du gothique flamboyant a vraisemblablement été construit à l’endroit de la découverte de la statue miraculeuse « sur son buisson d’épines ». Il remplace un premier oratoire plus modeste. Au début du XIVe siècle, lorsque la statue de Notre-Dame d’Avioth put entrer dans son église, une autre statue de la Vierge prit sa place pour recevoir, en son nom, les offrandes des pèlerins. On appela cette statue : la « Vierge Recevresse »[37]. Avec le temps, le nom de « Recevresse » fut donné au monument. Ainsi, depuis huit siècles, la basilique d’Avioth a été construite et entretenue grâce à des dons et à des offrandes. C’est encore le cas aujourd’hui. Grâce à la générosité des adhérents de l’association des amis de la basilique d’Avioth et des nombreux pèlerins qui viennent prier Notre-Dame d’Avioth, la commune peut engager régulièrement des travaux et obtenir l’aide du département, de la région et de l'État.

Les menottes au-dessus de la statue ont été placées là par des prisonniers en signe de reconnaissance à Notre-Dame d’Avioth pour leur délivrance.

Les armoiries sur le mur sont celles de Gilles de Rodemack, prévot de Montmédy et gouverneur du Luxembourg au début du XVe siècle. La « Recevresse » a été restaurée par Boeswillwald de 1844 à 1846.

La basilique Notre-Dame d'Avioth était autrefois un « sanctuaire à répit » très fréquenté. Aujourd'hui, un pèlerinage y est organisé tous les ans le 16 juillet et réunit de nombreux fidèles.

Notre-Dame d'Avioth est une des rares Vierges noires du Nord-Est de la France[38]. La datation au carbone 14 de la statue en tilleul de Notre-Dame d'Avioth montre que le bois a été coupé vers l'an 1095 et confirme la tradition selon laquelle la statue a été découverte au XIIe siècle[39].

Dans le sanctuaire, aussi bien que dans l'ancien cimetière, qui entourait autrefois l'église, se remarquent plusieurs épitaphes, pierres tombales, cénotaphes et même un tombeau avec son gisant. Ainsi peut-on lire dans le chœur sur une dalle noire en lettres capitales : « Sous ce marbre sont les corps de trois enfants de sang illustre, de Messire Jean d’Allamont seigneur de Malandrii gouverneur de Montmédii et de Madame Agnès de Mérode leurs père et mère, Jean François Arnold et Marie Ernestine qui décédèrent l’an de contagion 1636, âgés de 2, 3, 4 ou 5 ans. À peine ont-ils veu la vie que le ciel les a ravit. Lecteur ne les pleure pas mais aspire à leur félicité. » Sous ce texte, un blason avec armes d’Allamont-Mérode.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean François Arnold et Marie Ernestine[42].
  • Fabriciens d'Avioth :
Jean Lefebvre, prêtre[43].
Nicolas Lefebus, prêtre[44].
Louis Paqui, prêtre[45].
  • Jehan Proudon, curé de Villers[46].

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

La commune ne dispose pas actuellement de blason[47].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

"Avioth" Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le nom des habitants du 55 - Meuse - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Informations sur les risques naturels et technologiques
  3. Ruisseau la Thonne
  4. Ruisseau de Breux
  5. Ruisseau du Chue
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Avioth et Villette », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud,1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 42.
  20. « Revue des traditions populaires », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
  21. Goffinet, Cartulaire de l'abbaye d'Orval, acte no 391 de 1261, fait référence à un acte du tribunal échevinal rendu 30 ans plus tôt.
  22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  23. Les comptes de la commune
  24. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Établissements d'enseignements
  30. Professionnels et établissements de santé
  31. Paroisse Notre-Dame du Pays de Montmédy
  32. Annuaire Agriculture, sylviculture et pêche
  33. Hébergements et restauration
  34. Le cadre de vie des Territoires
  35. « Basilique Notre-Dame d'Avioth », notice no PA00106460, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Chapelle des Monts ou la Recevresse », notice no PA00106459, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Notice no PM55000040, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la CultureStatue dite de la Recevresse : Tête de Vierge
  38. E. Saillens, Nos vierges noires, leurs origines. Les Éditions Universelles, Paris, 1945.
  39. Ministère de la culture et de la communication – «Le carbone 14 confirme une tradition ». – La vie mystérieuse des chefs-d'œuvre, la science au service de l’art, 180-181. Paris : Éditions de la réunion des musées nationaux, 1980.
  40. Élue patronne-protectrice du Duché de Luxembourg en 1678 ; avant qu'Avioth, partie du Luxembourg français, ne soit cédé au royaume de France en 1659 par le traité des Pyrénées, la statue de Notre-Dame d’Avioth était connue comme Notre-Dame de Luxembourg
  41. Notice no PM55000027, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la CultureCiborium, statue Vierge à l'Enfant
  42. Notice no PM55001481, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la CultureDalle funéraire en mémoire de Jean-François Arnold et Marie-Ernestine d'Allamont
  43. Notice no PM55001485, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la CultureDalle funéraire de Jean Lefebvre, prêtre et fabricien d'Avioth
  44. Notice no PM55001484, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la CultureDalle funéraire de Nicolas Lefebus, prêtre et fabricien d'Avioth
  45. Notice no PM55001482, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Cultureinscription funéraire en mémoire de Louis Paqui, prêtre fabricien d'Avioth
  46. Notice no PM55001483, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la CultureInscription funéraire en mémoire de Jehan Proudon, curé de Villers
  47. Projet de blason