Auterrive

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Auterrive
Auterrive
La mairie
Blason de Auterrive
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Philippe Labache
2020-2026
Code postal 64270
Code commune 64082
Démographie
Gentilé Auterrivois
Population
municipale
142 hab. (2021 en augmentation de 11,81 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 02″ nord, 0° 59′ 51″ ouest
Altitude Min. 16 m
Max. 35 m
Superficie 3,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Salies-de-Béarn
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Auterrive
Géolocalisation sur la carte : France
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Auterrive
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Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Auterrive
Liens
Site web auterrive.fr

Auterrive est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Auterrive se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 72 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 52 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 26 km d'Orthez[4], bureau centralisateur du canton d'Orthez et Terres des Gaves et du Sel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-de-Béarn[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Carresse-Cassaber (1,3 km), Carresse-Cassaber (1,4 km), Saint-Dos (2,0 km), Escos (2,2 km), Labastide-Villefranche (2,3 km), Oraàs (3,3 km), Saint-Pé-de-Léren (4,3 km), Arancou (4,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Auterrive fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Auterrive.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, un bras du gave d'Oloron, le ruisseau de la Pounte et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[8],[9].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[10].

Au sud-ouest de la commune, s'étend le lac de Dumirail[7].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 314 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein à 11 km à vol d'oiseau[14], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 323,1 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Auterrive est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[18],[19],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Salies-de-Béarn, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,8 %), terres arables (39,8 %), forêts (12,8 %), eaux continentales[Note 5] (5,6 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales 28, 29 et 277[7].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Auterrive est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2009, 2014, 2018 et 2021[27],[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Auterrive.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. 3,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le toponyme Auterrive apparaît sous les formes Autarribe (XIIIe siècle[24], cartulaire de Bayonne[30]), Autaribe (vers 1360[24], titres de Came[31]), Sent-Miqueu d'Autarribe (1442[24], notaires de Labastide-Villefranche[32]), Autarrive en France (1675[24], réformation de Béarn[33]) et Hauterive sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[34]).

Étymologie[modifier | modifier le code]

Pour Michel Grosclaude[34], l’étymologie est sans conteste gasconne (auta arriba, du latin alta ripa) et signifie « rive haute ». Son nom béarnais est Autarriba.

On notera que aute arribe /autəriβə/ signifie en gascon aussi bien « haute rive » que « autre rive ». Toutefois cette dernière interprétation, sans attestation historique, n'a pas de vraisemblance toponymique.

Autres toponymes[modifier | modifier le code]

Dumirail désigne un hameau et un lac de la commune, déjà mentionnés en 1863[24], par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.

Graphie béarnaise[modifier | modifier le code]

Son nom béarnais est Autarriba[35] ou Autarribe[36].

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[24] note qu'Auterrive dépendait de la subdélégation de Dax.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Situation administrative[modifier | modifier le code]

Auterrive a fait partie de l'arrondissement de Pau jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui d'Oloron-Sainte-Marie[37].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2014 Josette de Caumia-Baillenx    
2014 En cours Philippe Labache    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Auterrive fait partie de sept structures intercommunales[38] :

  • la communauté de communes de Salies-de-Béarn ;
  • le SIGOM ;
  • le SIVU des cinq villages ;
  • le SIVU pour le regroupement pédagogique des communes de Léren, Saint-Pé-de-Léren, Saint-Dos et Auterrive ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable du Saleys et des gaves ;
  • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Le gentilé est Auterrivains[39].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].

En 2021, la commune comptait 142 habitants[Note 7], en augmentation de 11,81 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
245255287298300301287313345
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
320311302309289284281253265
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
240230248200202205212226201
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
195195163151146137128120129
2021 - - - - - - - -
142--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Au pied du gave se dresse une enceinte fortifiée, dite du Barry, poste d'observation et poste frontière entre la Navarre, le Béarn et la Gascogne. Cette petite enceinte eut une garnison de trois soldats jusqu'en 1682. Les ruines actuelles, bien que reposant sur des bases beaucoup plus anciennes, semblent remonter à la guerre de Cent Ans quand Auterrive fut occupée par les Anglais et rattachée au sénéchalat de Hastingues.

La maison Maisonnabe date de 1661 au quartier des Mirails ; la maison Pouey est une ancienne justice seigneuriale et la maison Haû, une ancienne dépendance de l'abbaye de Sorde.

Une petite plaque émaillée mentionne « juin 1875 » et rappelle la crue qui emporta le pont du village en faisant deux morts.

Il existe une minoterie qui n'est plus en activité construite sur un ancien moulin qui figure sur la carte de Cassini. Cette minoterie est en train de tomber en ruine. Une centrale hydroélectrique a été construite à côté de la minoterie sur le canal existant avec de nombreux déboires au fil des années ayant conduit à l’arasement du barrage. Elle fait l'objet en 2014 de gros travaux de mise aux normes demandés par l'administration avec une réhabilitation complète des dispositifs de montaison et de dévalaison.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Jean-Baptiste.

L'église date du XVIe siècle. On notera un retable du XVIIIe, un tableau de saint Michel terrassant le dragon. Fonts baptismaux datés (XVIIIe siècle), Vierge espagnole (XIXe siècle) peinte par un réfugié carliste Cornelio Galindo. Quelques vieilles sépultures autour de l'église dont celles de deux victimes du choléra.

Il existe plusieurs calvaires dont la croix de Saint-Michel (restaurée en 1992) qui marquait les limites de l'abbaye de Sorde.

La chapelle Saint-Jean des Mirailhs, appelée autrefois chapelle du Cabé, a été détruite vers 1990. Cette chapelle a servi de lieu de culte pour le quartier des Mirailhs et est signalée depuis le XIVe siècle. Les actes BMS d'Escos prouvent que cette chapelle a servi pour des baptêmes et des mariages de la famille Dumirailh, propriétaire. On ne trouve plus mention de cérémonies après 1750. En 1790, l'abbé Manesca, curé de Labastide, y célèbre la messe clandestinement. Une prébende y était attachée (maison Prébendé en face) signalée en 1739. Il devait y exister un petit cimetière puisqu'une inhumation y a eu lieu en 1792. Transformée en pressoir au XIXe siècle, on conserve encore la croix de pierre qui se trouvait au faîte de l'édifice ainsi que le bénitier.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

La marquise de Montehermoso[44] (1784-1869), née comtesse María del Pilar Acedo y Sarriá, comtesse d'Echauz, veuve du marquis du même nom et maîtresse de Joseph Bonaparte, roi d'Espagne, s'est mariée au village avec Amédée de Carabène, titulaire de nombreuses décorations françaises et étrangères, futur conseiller général et officier supérieur des campagnes napoléoniennes. Elle était également propriétaire du Barry, site fortifié du village.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Écartelé : au premier et au quatrième de gueules au geai d'argent, au deuxième et au troisième d'argent au lion de gueules.
Commentaires : Auterrive porte un geai dans ses armoiries pour symboliser le site défensif du Barry. Le geai est réputé donner l'alarme quand un intrus pénètre dans un bois.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Alexis Ichas, Historial d'Auterrive : Tomes I & II, Éditions Atlantica 1992 et 1995
  • Alexis Ichas Madame de Montehermoso, Éditions Atlantica, 2001
  • Alexis Ichas, Historial des gaves, Éditions Atlantica 2008
  • Alexis Ichas, Chroniques béarnaises du gave et du Saleys, Éditions Atlantica, 2006.
  • Alexis Ichas, Portraits béarnais, Éditions Gascogne 2015
  • Alexis Ichas, Dictionnaire historique du gave d'Oloron, Éditions Gascogne 2020.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune d'Auterrive », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Auterrive et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Auterrive et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Auterrive et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches d'Auterrive », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. a b c d e f g h i j k l m et n Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  8. « Fiche communale d'Auterrive », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. « Carte hydrographique d'Auterrive » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  10. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Auterrive et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Salies-de-Béarn », sur insee.fr (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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  25. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Auterrive », sur Géorisques (consulté le ).
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  30. Cartulaire de Bayonne ou Livre d'Or - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  31. Titres de Came - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  32. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  33. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  34. a et b Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)..
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  36. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
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  38. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  39. Gentilé sur habitants.fr
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. Alexis Ichas, Madame de Montehermoso, Atlantica-Séguier, (ISBN 978-2-84394-389-8).