Allamps

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Allamps
Allamps
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
Blason de Allamps
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Colombey et du Sud Toulois
Maire
Mandat
Jean-François Baltard
2020-2026
Code postal 54112
Code commune 54010
Démographie
Gentilé Allampois
Population
municipale
496 hab. (2021 en diminution de 5,16 % par rapport à 2015)
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 32′ 53″ nord, 5° 48′ 37″ est
Altitude Min. 270 m
Max. 422 m
Superficie 7,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Meine au Saintois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Allamps
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Allamps
Liens
Site web http://www.allamps.fr

Allamps est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Fig 1 - Allamps, ban communal.

D'après les données Corine land Cover, le ban communal de 727 hectares, comprend en 2011, plus de 37 % de forêt, près de 53 % de terres arables et de prairies, 5,8 % de surfaces agricoles diverses et 4,7 % de surfaces urbaines.

Le territoire est arrosé par les ruisseaux de l'Aroffe (0,01 km), de l'Étang d'Allamps (3,791 km) parfois appelé de l'Etange ou Etanche[1],et des Naux (0,164 km) et la commune est desservie par la route départementale no 4[2].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]


Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 919 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Allamps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37 %), prairies (34,9 %), terres arables (11,8 %), zones urbanisées (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4 %), cultures permanentes (0,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village est attesté sous la forme Alonum dès le VIe siècle, puis Alun, Alomps, Alampum (forme latinisée artificielle) et Allamps depuis au moins 1700, même si courant XVIIIe siècle et début XIXe siècle on rencontre encore des variantes (Alan, Allans).

Albert Dauzat et Charles Rostaing recensent à l'article Allamps (les formes du type Allon(n)e(s) étant les plus fréquentes)[16], tous les toponymes et hydronymes dérivés d’Alauna, Alona qui semble être une épithète celtique de divinité, bien attestée dans l'épigraphie gallo-romaine, associée par exemple à Mercure : Genio Mercurii Alauni (CIR, 1717) ou encore à Auguste : Sacro Alaunarum Augusti nostri (CIL III, 1883, Munich)[17]. Pierre-Yves Lambert[18] y voit la signification de « nourricier » sur le thème celtique ala signifiant nourrir, avec un suffixe d'agent issu de -mn-.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village d'Alonum est compris dans la donation faite le roi Dagobert à l'évêque de Toul, Teutefrid en 622. Depuis cette époque, et jusqu'en 1790, Allamps fait partie du domaine temporel de l'évêque de Toul, compris dans l'ensemble des Trois-Evêchés. Et ce, même si, depuis 1388, sur décision de Robert, duc de Bar, les habitants du village sont sous la protection dudit duc.

En 1790, en suite de la départementalisation décrétée par l'Assemblée nationale constituante, Allamps devient chef-lieu du canton d'Allamps, l'un des neuf cantons du district de Toul, dans le département de la Meurthe.

Extrait annoté d'une carte réalisée par Albert Troux, et publiée en 1936 dans : Albert Troux, La Vie politique dans le département de la Meurthe d'août 1792 à octobre 1795, Nancy, Imprimeries Georges-Thomas, 1936. Consultable en ligne : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96298827
Situation du canton d'Allamps dans le district de Toul, d'après la réforme administrative de 1789

Une verrerie y fut fondée en 1765 par la comtesse de Mazirot pour valoriser l'exploitation de ses bois. Elle devint propriété de Nicolas Griveau de 1788 à 1823, puis de la famille Schmidt jusqu'en 1908, puis des Bourbonneux[19] jusqu'en 1960, ensuite de la Compagnie Française du Cristal CFC, et enfin de la Société Daum de Nancy.

Cette verrerie était appelée "Verreries de Vannes", bien que située sur le territoire de la commune d'Allamps, car ses propriétaires habitaient le château de la commune voisine de Vannes-le-Châtel[20].

Le , Allamps fusionne avec Housselmont sous le régime de la fusion simple[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1965      
1965 1995 Claude Vosgien SE  
1995 2000 Daniel Jussenhoven DVD  
2000 2001 Yvette Fringant DVD  
2001 2014 Christian Daynac DVG  
mars 2014 En cours Jean-François Baltard[22],[23]   Ancienne profession intermédiaire

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 496 habitants[Note 4], en diminution de 5,16 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
340367477447466455456507522
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
502504633622564476464458490
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
507461378377386396392423510
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
485434438515511517519531503
2021 - - - - - - - -
496--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

H Lepage écrit dans son dictionnaire des communes au sujet de ce territoire pour la période du XIXe siècle :

«On s'y adonne au labourage et à la culture de la vigne, et l'espèce dominante de bestiaux qu'on y élève sont les moutons et les porcs. Il y a, sur le territoire de cette commune, trois moulins alimentés par des sources qui jaillissent sur le ban, et qui forment un étang nommé l'Etange. Outre ces usines, le territoire d'Allamps renferme la verrerie de Vannes, située, ainsi que l'un des moulins, sur la route départementale de Vézelise à Vaucouleurs. On fabrique, dans le premier de ces établissements, dont MM.Schmid frères sont propriétaires, de la gobeletterie en tout genre.»[28]

Le village a donc eu une tradition agricole et viticole (cf vignoble lorrain).

Secteur primaire ou Agriculture[modifier | modifier le code]

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[29]), la commune d' Allamps était majoritairement orientée[Note 5] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant production de fruits et autres cultures permanentes[Note 6]) sur une surface agricole utilisée[Note 7] d'environ 8 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en forte baisse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 96 à 15 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 3 (4 auparavant) exploitation(s) agricole(s) ayant leur siège dans la commune employant 1 unité(s) de travail[Note 8]. (4 auparavant)

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • La famille de Mazirot.
  • Louis Nicolas Griveau, ex-notaire à Paris, exilé à Vannes-le-Châtel.
  • Bourbonneux (Albert), conseiller général, maître verrier, à Vannes-le-Châtel[19].
  • Robert Serf, (1897 - 1981), mécanicien formé à l’École de l'industrie de Paris, concepteur de voitures commercialisées sous la marque Robert SERF.
  • Lieutenant Gérard Clerc, officier de réserve natif d'Ile-de-France, courtier en coton de profession. Le 19 juin 1940, avec six de ses compagnons, Jean Lambert, Robert Bassy, Gabriel Fromeux, Jules Hennecent, Raymond Boucher et Louis Séguin, il dirige la résistance face aux armées nazies qui tentent alors d'occuper le village. Les corps sans vie de ces sept soldats sont retrouvés le 20 juin, à l'aube, çà et là par les habitants du village. La dépouille du lieutenant Clerc se trouvait de l'actuelle MJC du village. Depuis 1945, la rue où se sont déroulés les combats et où furent tués ces soldats, est dénommée rue du Lieutenant-Clerc. Six de ces soldats ont été inhumés dans le cimetière d'Allamps, avec l'accord de leurs familles[31].
Blason de Allamps Blason
Écartelé d'azur à deux bars adossés d'or accompagnés de quatre croisettes recroisetées au pied fiché du même, et d'azur à la coupe d'argent au chef cousu* de gueules chargé de trois cailloux d'argent.
Détails
Les armes du Barois (aux places d'honneur) rappellent la protection assurée sur la ville par le Duc de Bar, dès 1388. Le chef cousu aux 2d et 3e est une concession des armoiries du Diocèse de Toul, dont dépend la paroisse du lieu. Les cailloux de la lapidation de Saint-Etienne évoquent l'évêché de Toul, dont dépendait la paroisse d'Allamps. Le gobelet symbolise la verrerie[32].
Armoiries adoptées en 1979.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune :  production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Vignes, vergers, petits fruits • les pépinières ligneuses ornementales, fruitières, viticoles ou forestières ….
  7. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  8. Unité de travail annuel : mesure  en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Perrin, Bernard, 1929- ..., Histoire méconnue de nos villages., Malzeville, Trajectoire, , 249 p. (ISBN 2-908341-03-4 et 978-2-908341-03-4, OCLC 462193193, lire en ligne), p. 11.
  2. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Allamps et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris 1978. (ISBN 2-85023-076-6), p. 10b - 11a.
  17. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Éditions Picard 1985. (ISBN 2-7084-0299-4).
  18. La langue gauloise, édition errance 1994. (ISBN 2-87772-089-6).
  19. a et b Marcel Paul-Cavallier et Benjamin Fayolle, Trente ans d'activité économique 1905-1935, Chambre de commerce de Nancy et le département de Meurthe-et-Moselle, (lire en ligne), p. 4.
  20. a et b « Verrerie Schmidt, puis de Vannes-le-Châtel, actuellement cristallerie Daum », notice no IA54000118, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  21. « Recherche sur une zone géographique », sur insee.fr (consulté le ).
  22. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  23. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Lepage, Henri., Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, etc., (OCLC 561948412, lire en ligne), p. 12.
  29. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  30. « Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul », notice no PA00105988, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Isabelle Bertaud (dir.), En Allamps par la Lorraine, Imprimerie Gilles à Allain (54170), MJC d'Allamps, , p.55.
  32. Isabelle Bertaud (dit.), En Allamps par la Lorraine, p.90