121e division d'infanterie (France)
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| 121e division d'infanterie | |
| Création | 14 juin 1915 |
|---|---|
| Pays |  France
|
| Branche | Armée de Terre |
| Type | Division d'infanterie |
| Rôle | Infanterie |
| Guerres | Première Guerre mondiale |
| Batailles | 1916 - Bataille de la Somme 1918 - Bataille de la Lys 1918 - 3e Bataille de Picardie 1918 - Bataille de la ligne Hindenburg 1918 - Bataille de la Serre 1918 - Poussée vers la Meuse |
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La 121e division d'infanterie est une division d'infanterie de l'armée de terre française qui a participé à la Première Guerre mondiale.
Les chefs de la 121e division d'infanterie[modifier | modifier le code]
La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
Composition au cours de la guerre[modifier | modifier le code]
- Infanterie :
- 36e Régiment d'Infanterie de à
- 352e Régiment d'Infanterie de à (dissolution)
- 404e Régiment d'Infanterie de à avril
- 417e Régiment d'Infanterie de à (dissolution)
- 45e Bataillon de Chasseurs à Pied de à avril
- 48e Bataillon de Chasseurs à Pied de à avril
- 55e Bataillon de Chasseurs à Pied de à avril
- cavalerie :
- 2 escadrons du 7e régiment de hussards de à
- 2 escadrons du 7e régiment de spahis de à
- artillerie :
- 2 groupes de 75 du 5e régiment d'artillerie de à
- 1 groupe de 75 du 30e régiment d'artillerie de à
- 3 groupes de 75 du 205e régiment d'artillerie de à
- 118e demi-batterie, puis batterie de 58 du 53e régiment d'artillerie de à
- 101e batterie de 58 du 205e régiment d'artillerie de janvier à
- 12e groupe de 155C du 113e régiment d'artillerie de janvier à
- 6e groupe de 155C du 135e régiment d'artillerie de juillet à
- génie :
- compagnie 15/10r du 6e régiment du génie
- 1 bataillon du 69e Régiment d'Infanterie Territoriale d'août à
Historique[modifier | modifier le code]
1915[modifier | modifier le code]
Constituée le dans la région de Jaulzy.
- – : occupation d'un secteur vers Autrêches et Moulin-sous-Touvent, étendu à droite, le , jusqu'à Pernant.
- - : retrait du front et repos vers Cœuvres-et-Valsery. À partir du , mouvement par étapes vers le camp de Crèvecœur : repos et instruction.
1916[modifier | modifier le code]
- 12 - : mouvement vers la région de Cœuvres-et-Valsery, par Montreuil-sur-Brêche, Saint-Just-en-Chaussée et Verberie ; repos.
- – : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Pernant et Moulin-sous-Touvent, réduit à gauche, le 1er mars jusqu'à Hautebraye.
- – : retrait du front ; mouvement vers Crépy-en-Valois et Nanteuil-le-Haudouin ; repos. À partir du , transport par V.F. dans la région d'Ailly-sur-Noye ; repos. À partir du , mouvement vers le Quesnel.
- – : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Herleville et Maucourt.
- – : retrait du front ; stationnement dans la région de Guillaucourt, puis dans celle de Marcelcave.
- – : mouvement vers le front : engagée dans la bataille de la Somme, vers Estrées-Deniécourt et l'ouest de Belloy-en-Santerre : les 20, et 1er août, attaques françaises.
- 3 – : retrait du front ; repos vers Chuignolles.
- 16 – : mouvement vers le front : engagée à nouveau dans la bataille de la Somme, entre l'est d'Estrées-Deniécourt et le sud de Belloy-en-Santerre : combats vers Estrées-Deniécourt.
- – : retrait du front ; stationnement vers Proyart.
- – : occupation d'un secteur vers Berny-en-Santerre :
- : extension du front, à gauche, jusqu'au sud de Belloy-en-Santerre.
- : attaque française.
- 16 – : retrait du front, repos vers la Faloise, puis, à partir du , vers Gournay-sur-Aronde.
- – : mouvement vers le front et occupation d'un secteur entre Plessis-de-Roye et le bois des Loges (exclu).
1917[modifier | modifier le code]
- – : retrait du front, repos vers Estrées-Saint-Denis. À partir du , mouvement vers Senlis ; instruction au camp de Pontarmé.
- – : mouvement vers Attichy, puis vers Ressons-sur-Matz ; à partir du , poursuite des troupes allemandes (Opération Alberich) : prise de Remigny et de Vendeuil. Organisation et occupation des positions conquises vers Cerisy :
- : extension du front, à gauche, jusque vers Essigny-le-Grand.
- : prise d'Urvillers.
- : extension du front, à droite, jusque vers Moy.
- – : retrait du front, repos et instruction vers Ricquebourg.
- – : transport par V.F. dans la région de Château-Thierry, puis transport par camions vers le front. À partir du , occupation d'un secteur vers la ferme de la Bovelle et à l'ouest de Cerny-en-Laonnois, étendu à droite, le , jusqu'à la ferme de la Creute.
- – : retrait du front ; repos et instruction dans la région de Fismes.
- – : mouvement vers le front, puis occupation d'un secteur entre la ferme de la Creute et l'ouest de Cerny-en-Laonnois : le , repli allemand ; progression jusqu'à l'Ailette.
- – : retrait du front ; repos et instruction vers Arcis-le-Ponsart.
- – : occupation d'un secteur sur l'Ailette, entre la ferme Vauclerc et la ferme Brunin, étendu à droite, le , jusqu'à la lisière est de la forêt de Vauclerc, et, à gauche, le , jusqu'à la ferme Malval.
1918[modifier | modifier le code]
- – : retrait du front ; repos vers Braine, puis vers Nanteuil-le-Haudouin. Le , transport à Pont-Sainte-Maxence ; au début de mai, travaux.
- – : transport par V.F. en Flandre. Engagée dans la 3e Bataille des Flandres, vers la Clytte et la ferme Godezonne : les 14, 20 et , combats violents.
- 2 – : retrait du front. À partir du , transport par V.F. dans la région de Beauvais, puis par camions dans celle d'Estrées-Saint-Denis, puis mouvement vers le front. Tenue prête, vers Marquéglise, à intervenir dans la Bataille du Matz ; non engagée.
- – : occupation d'un secteur vers Antheuil et la ferme Porte.
- 10 – : engagée dans la 3e bataille de Picardie : attaque des positions allemandes, entre Marquéglise et Ressons-sur-Matz, le , prise de Lassigny ; puis organisation des positions conquises, vers Plessis-de-Roye et Lassigny.
- – : reprise de l'offensive (poussée vers la position Hindenburg) : progression en combattant vers Plessis-Cacheleux, Lagny, la ferme Béhancourt, Sermaize, Bussy, Crisolles, Beaugies, Ugny-le-Gay, le fort de Liez et Travecy.
- 14 – : retrait du front ; repos vers Compiègne et Chevrières ; puis transport par camions à l'ouest de Braine.
- – : engagée à l'ouest d'Ostel : combats depuis le Chemin des Dames jusqu'à l'Ailette (franchie le ) ; poursuite vers Marchais et Liesse-Notre-Dame. À la fin d'octobre, engagée dans cette région, dans la Bataille de la Serre ; puis, à partir du début de novembre, organisation des positions conquises, en face des marais de la Souche.
- 5 – : engagée dans la Poussée vers la Meuse : le , franchissement de la Serre ; le 7 de la Brune, et, le 8, de l'Aube ; combats dans la région de Rocroi ; le , prise de Rocroi et des hauteurs de l'est.
Rattachements[modifier | modifier le code]
- Affectation organique :
- 7e corps d'armée, de juin à
- 25e corps d'armée, d' à
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- 5 –
- 14 –
- 24 –
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L'entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]
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La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
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L'après Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).
