Taller

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Taller
Taller
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes Côte Landes Nature
Maire
Mandat
Claire Luciano
2020-2026
Code postal 40260
Code commune 40311
Démographie
Gentilé Tallésiens
Population
municipale
668 hab. (2021 en augmentation de 10,96 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 52′ 25″ nord, 1° 04′ 18″ ouest
Altitude Min. 57 m
Max. 89 m
Superficie 41,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Dax
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Côte d'Argent
Législatives Première circonscription
Localisation
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Taller
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Taller
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Taller

Taller est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Tallésiens(nes).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Taller est une commune située dans le Marensin à 18 kilomètres de Dax.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Rion-des-Landes, Castets, Gourbera, Herm, Laluque, Lesperon et Boos.

Communes limitrophes de Taller[1]
Lesperon Rion-des-Landes
Castets Taller Laluque
Herm
(par un quadripoint)
Gourbera

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Arraoucs, Barrere, Bel Air, Bourrut, Bourthoumilan, Camin, Castillon, Clucq, hameau traversé par la via Turonensis, Dupouy, Laborde, Labourd, Lacay, Mancot, Matilot, Morassin, Nord, Ouyé, Peyrot Quillac, Rey, Rouncaou, Aux Tucs, Tucs Bieilhs.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Pendant la période estivale un réseau de navette dessert la Communauté de communes Côte Landes Nature reliant les bourgs aux plages.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Littoral charentais et aquitain, caractérisée par une pluviométrie élevée en automne et en hiver, un bon ensoleillement, des hiver doux (6,5 °C), soumis à la brise de mer[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 287 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rion-des-Landes à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 182,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Taller est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dax, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 60 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (57,6 %), forêts (31,1 %), terres arables (4,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), zones urbanisées (2,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Taller est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Taller est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[17],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Taller.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 5,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 276 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes de Taller sont Taliare,[Quand ?] Talleyras,[Quand ?] Taleras.[Quand ?][réf. nécessaire]

Histoire[modifier | modifier le code]

Néolithique[modifier | modifier le code]

Une pointe de flèche datant de cette époque fut découvert sur la commune[21].

Antiquité[modifier | modifier le code]

À partir du Ier siècle av. J.-C., une voie romaine reliant Bordeaux à Dax mentionnait dans l'itinéraire d'Antonin passait à proximité du bourg. Son tracé fut repris lors de la création des limites des paroisses. La voie part de la station relais de Coequosa (Sindères), elle est matérialisée par les frontières actuelle des communes de Rion et Lesperon, de Boos et Taller et de Laluque et Taller, puis elle part en direction d'Aquae Tarbelicae (Dax) en passant par Gourbera[22],[23].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au Xe siècle la partie occidentale du duché de Gascogne est ruiné et sans défense et subit plusieurs raids vikings. En l'an 982, s'est déroulée la bataille de Taller, opposant Guillaume Sanche, duc de Gascogne à Airald chef des Vikings, ceux-ci en étaient à leur troisième incursion, la dernière car défaits cette fois-ci par le duc de Gascogne.

Les cartulaires de l'abbaye de Saint Sever et de la cathédrale Saint Pierre de Condom (début XIème siècle) font état de cette bataille qui s'est déroulée dans une lande rase (rictis acis in planitie Taleras dicta). Celui de Condom précise pendant longtemps après le combat les os jonchaient la plaine. Cette thèse est accréditée par le fait que Guimbaud évêque de Gascogne et frère de Guillaume Sanche, qui avait participé à la bataille, a fait ériger à l'époque un hôpital nommé la Fosse Guimbaud ou Guibaud. Des vestiges découverts à l'occasion de fouilles en 1983 attestent de la présence de cet hôpital qui figurait encore au XVIIIe siècle comme halte sur la voie de Tours du chemin des pèlerins vers Compostelle[24].

Dès la fin Xème siècle, Taller était une seigneurie de la vicomté du Marensin, dans le duché de Vasconie. De cette époque jusqu'en 1792, Boos et Taller formaient un prieuré commun avec souvent un seul vicaire qui résidait à Taller.

L'hôpital de la Fosse Gimbaud (XIe et XVIIIe siècle) fondé par Guimbaud était géré par l'ordre des Antonins, possédait une chapelle qui servait d'église paroissiale aux habitants jusqu'à la construction de l'église Saint-Barthélemy au XIIe siècle[25].

Principalement du XIIIe au XVIe siècle, Taller était une étape sur les pèlerins de Saint Jacques de Compostelle sur la via Turonensis grâce à son hôpital et ses trois fontaines guérisseuse. Les pèlerins empruntaient plusieurs chemins, le plus important qui existe toujours aujourd'hui part de Lesperon, fait halte à Taller et prend la direction de Gourbera où il y avait l'hôpital de Pouymartet. Le deuxième qui finit par disparaitre au XVIIe siècle partait de Laharie, passait par Sindères, par Boos où il y avait un hôpital et puis rejoignait Taller[26],[27],[28],[29].

Suite au mariage d'Aliénor d'Aquitaine avec Henri II Plantagenet d'Angleterre en 1152, le territoire de la Gascogne appartient à la couronne d'Angleterre pendant 300 ans. Les conflits entre français et anglais obligent les seigneurs locaux à créer des lieux fortifiées au XIVe siècle, lors de la guerre de cent ans.

Ainsi l'église de Taller est fortifié par les anglais au XIVe siècle lorsqu'ils occupèrent les Landes de 1337 à 1453. La fortification ce manifeste avec la construction du clocher-donjon de forme massive quadrangulaire renforcé par 4 contreforts aux angles, percés d'imposantes archères sur ses trois façades nord, sud et ouest. La nef est surmontée d'un chemin de ronde munit de meurtrières sur les façades nord et sud. Le mur de la propriété qui longe l'édifice côté sud permettait d'entraver l'avancée des ennemis arrivant du vallon et de les viser par les meurtrières[30].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Étienne De Jossis (1623-1681) est le seigneur de Taller. La seigneurie reste dans les possessions de la famille de De Jossis jusqu'au mariage en 1734 de Marthe de Jossis avec Bertrand d'Antin écuyer seigneur de Saint Pée et de Hon. La famille d'Antin seront seigneur de Taller jusqu'à la révolution[31].

L'hôpital tombé en désuétude est unie aux hôpitaux de Dax en 1723. A la révolution le 27 janvier 1793, la nouvelle municipalité de Taller, autorise les citoyens à prendre les pierres de l'hôpital dit le monastère de la Fosse-Guimbaud. La même année, sur ordre du district de Castets, les cloches de l'église sont descendues pour l'armée afin d'être convertie en canon. Seule la cloche fondu en 1730 par le fondeur Lamier est restée en place[32].

Epoque contemporaine[modifier | modifier le code]

Le bas coté nord de l'église est agrandie en 1842, une deuxième cloche est fondu en 1841 par le fondeur Dacquois François-Dominique Delestan.

Le la Société des chemins de fer d'intérêt local du département des Landes met en service les lignes Laluque-Tartas et Laluque-Linxe, créant une halte à Taller. Le la Société des chemins de fer du Born et du Marensin ouvre la ligne Linxe-Saint-Girons-en-Marensin, permettant de relier Tartas à Saint-Girons via une ligne longue de 49 km[33].

Le bâtiment regroupant la mairie, la poste et les écoles des garçons et des filles est inauguré en 1906, dessiné par l'architecte Alfred Dorlanne. L'architecte Albert Pommade réalise la salle de réunion en 1910, ainsi que le monument aux morts en 1920 ça statue représente la France Victorieuse drapée des couleurs de la nation, elle sculptée par l'artiste Firmin Michelet.

Sous l'impulsion de l'abbé Victor Doussy (1878-1953), l'église est massivement restaurée, une troisième cloche est fondue en 1900, la maitre autel et les fonts baptismaux sont installés en 1932 et les vitraux en 1934[34].

Durant l'occupation en 1940, la Wehrmacht installe à Taller au lieu-dit les Trois Parcs , le deuxième plus grand dépôt d'armements et de munition de la guerre en France, via la ligne Linxe-Saint-Girons. Ce dépôt sera au cœur de l'attention de l'Etat-Major allemand lors de la percée du général Patton en Normandie et lors du sabotage du train de munition en gare de Laluque le 27 juillet 1944[35].

En 2013 une centaines d'obus furent découvert à l'emplacement du dépôt[36].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1968 1989 Paul Fosses    
1989 1995 Yves Lafitte    
1995 2008 Jean Castagnet    
2008 2020 Yves Saint-Martin   Directeur de clinique
2020 En cours Claire Luciano    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38]. En 2021, la commune comptait 668 habitants[Note 3], en augmentation de 10,96 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
408363332448516523527581594
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
610641642669603646632606576
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
572564579536488467453418414
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
422396404389396418406404559
2017 2021 - - - - - - -
606668-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Stade de football de l'Amicale tallésienne.
  • Église Saint-Barthélemy de Taller datant du XIIème siècle.
  • Salle de réunion de 1910
  • Lavoir datant du XIXe siècle, de forme ovale.
  • Stèle de l'hôpital de la Fosse-Guimbaud

Fontaines guérisseuses[modifier | modifier le code]

Trois fontaines guérisseuses se situent sur la commune de Taller :

  • La fontaine de Saint Eutrope en contrepas de l'église, était le lieu d'un important pèlerinage jusqu'au milieu du XXe siècle, les personnes estropiés, rhumatisants ou soufrant des membres inferieurs venaient puiser son eau et demander guérison.
  • La fontaine de lait, La houn de leit, en remontant le ruisseau du lavoir, dans la prairie de Merliton, les jeunes mères venaient y chercher une monté de lait salvatrice pour leurs nourrissons.
  • La fontaine Saint Jean située en propriété privée, était le lieu d'un pèlerinage le 24 juin jusqu'au milieu du XXe siècle, il était d'usage d'y jeter une pièce afin d'obtenir la guérison des maux gras des enfants, des boutons et autres blessures[41].

Pèlerinage de Compostelle[modifier | modifier le code]

Taller se trouve sur un itinéraire de la via Turonensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. On vient de Onesse-et-Laharie ; l'étape suivante est Dax.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Taller et Rion-des-Landes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rion-des-landes » (commune de Rion-des-Landes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Rion-des-landes » (commune de Rion-des-Landes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Les risques près de chez moi - commune de Taller », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. La région de Dax (lire en ligne)
  22. Jean Pierre Bost et Bénédicte Boyrie-Fenie, « Auguste, la Gaule et les routes d'Aquitaine », Bulletin de la société de Borda,‎ (lire en ligne)
  23. Carte des voies romaines landaises occidentales avec localisation des relais routiers. (lire en ligne)
  24. « La grande bataille commémorée », (consulté le )
  25. Sur le chemin du patrimoine tallésien
  26. « La stèle inaugurée », sur SudOuest.fr, (consulté le )
  27. « Un passé guerrier », sur Site officiel de la Commune de Taller (consulté le )
  28. Françoise Bériac, Hôpitaux et routes des Landes XIIIe- XVIe siècles (lire en ligne)
  29. Antoine (1859-1931) Auteur du texte Degert et Société de Borda Auteur du texte, « Bulletin de la Société de Borda », (consulté le )
  30. Yves Saint-Martin, président de "Taller Culture et Patrimoine", Eglise saint Barthélemy, un millénaire d'histoire
  31. Bernard-Augustin-Henri-Timothée de Cabannes (1822-1883 ; baron de) Auteur du texte Cauna, Armorial des Landes. Tome 3 / par le baron de Cauna, 1863-1869 (lire en ligne)
  32. « Cloche n°1 inventaire Ministère de la culture »
  33. « Laluque/Saint-Girons-en-Marensin », sur reseau-train-ho-de-paquito40.e-monsite.com (consulté le )
  34. « Eglise paroissiale Saint-Barthélemy de Taller »
  35. « Landes en vrac: LE SABOTAGE DE LALUQUE EN 1944 », sur Landes en vrac (consulté le )
  36. « Taller (40) : Une centaine d’obus de 1939-1945 découverts », sur SudOuest.fr, (consulté le )
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. sur le chemin du patrimoine tallésien Etape 6 lavoir et fontaine