Uruffe

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Uruffe
Uruffe
Mairie d'Uruffe.
Blason de Uruffe
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Colombey et du Sud Toulois
Maire
Mandat
Elisabeth Delcroix
2020-2026
Code postal 54112
Code commune 54538
Démographie
Population
municipale
368 hab. (2021 en diminution de 7,07 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 34′ 12″ nord, 5° 44′ 41″ est
Altitude Min. 257 m
Max. 401 m
Superficie 13,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Meine au Saintois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Uruffe
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Uruffe
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Uruffe
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Uruffe

Uruffe est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village est traversé par le ruisseau de la Deuille (2,906 km), qui se jette dans l'Aroffe (4,704 km) en contrebas[1],[2].

Fig. 1 - Uruffe (ban communal).

D'après les données Corine Land Cover, le territoire communal de 1 297 ha se composait en 2011 de près de 35 % de forêts, 63 % de prairies et surfaces agricoles et 2 % de zones urbanisées.

La forme du territoire communal laisse penser que la commune fut liée à sa voisine de Gibeaumeix, de fait les chroniques historiques les relient dans la gestion du spirituel[3],[4].

Vue du village
Vue sur le village d'Uruffe.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 902 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 15 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Uruffe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,6 %), terres arables (36,8 %), prairies (15,4 %), zones urbanisées (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Rufia (707-735) ; Rufiaco villa (xe siècle) ; Uruffiæ (1402) ; Huruffe (1516) sont les graphies recensées par le Dictionnaire topographique de la Meurthe[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et antiquité[modifier | modifier le code]

Jules Beaupré évoque, dans son répertoire archéologique, de rares traces de l'occupation du territoire communal avant le Moyen Âge :

« Vers 1830, découverte de deux squelettes dont la tête était protégée par des pierres. (Olry). — Voie romaine dite Chemin Brabant. »[19]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le village est cité dans les documents anciens dès le 8e siècle, mais les archives, d'après la monographie communale, sont inexistantes avant 1650.

Henri Lepage nous apprend, dans sa courte notice, que :

« En 1455, Edouard, comte de Bar, exempta pour toujours les habitants d'Uruffe, prévôté de Gondrecourt, de 12 deniers par conduit ; cette exemption fut confirmée par Ferry de Bar ; En 1465, le roi René réunit la ville d'Uruffe à la prévôté de Foug et à la création des nouveaux bailliages, en 1751, Uruffe fut placé dans le ressort de Lamarche. »[3]

Rue de l'église
Rue de l'église.

En désaccord sur ces dates, l'abbé Grosse ajoute dans son ouvrage que l'on voyait, à Uruffe, un château-fief, qui appartenait aux seigneurs de Vassimont[4]. De fait , d'après un parchemin conservé au château de Foug :

« Les fossés, dont on remarque encore les traces autour du cimetière actuel, font supposer qu’au centre se trouvait un château-fort avec les débris duquel on a construit l’église qui fut détruite pour faire celle qui existe aujourd’hui au milieu du village. »

Ces sources font écho à une probable grande pauvreté du territoire qui incita son seigneur à alléger les impôts pour  permettre son développement, pauvreté qui se trouvait sans doute aggravée par la position du village, coté est de la Meuse et donc à la frontière entre les territoires sous influence du roi de France et les territoires ayant allégeance au Saint Empire germanique (Le Barois Mouvant).

La monographie communale évoque également les ravages causés par la guerre de Trente Ans (entre 1630 et 1636) et même au-delà de 1648 (paix de Westphalie) jusqu'en 1659.

D'après les écrits de Lepage, après être tombé à seulement 180 personnes vers 1707, le nombre d'habitants croît jusqu'à 418 en 1750 et même 600 en 1810, signe d'un développement indéniable avant et après la Révolution française[20].

XXe siècle[modifier | modifier le code]

Pendant la Seconde Guerre mondiale, un camp de transit allemand pour les prisonniers de guerre français est installé sur le territoire.

Le village défraie la chronique judiciaire lorsqu'en 1956, le curé Guy Desnoyers assassine sa maîtresse et l'enfant qu'elle portait dont il était le géniteur.

Il est aussi le lieu d'une affaire associée à la combustion humaine spontanée, avec la mort inexpliquée de la retraitée Ginette Kazmierczak à son domicile dans la nuit du 11 au 12 mai 1977[21].

XXIe siècle[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Uruffe Blason
D'azur à trois pals d'argent au chef d'azur chargé de trois cailloux d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1935 1939 Pierre Bernard    
1939 1940 Auguste Martin    
1940 1977 Gabriel Arnould    
1977 1984 Jean-Jacques Yung DVG  
1984 ? José Fays    
mai 2020 En cours Elisabeth Delcroix [22]    


Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 368 habitants[Note 3], en diminution de 7,07 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
557638635684742775799888880
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
920870830809928804794805739
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
704658520469400363368392404
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
367320280311326348345378396
2020 2021 - - - - - - -
371368-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Henri Lepage[3] et E. Grosse[27] donnent quelques indications à caractère économique dans leurs ouvrages de 1836 et 1843 en accord sur la surface totale de la commune :

« Territ.:1483 (1505) hect., dont 748 à 825 en labours, 46 à 182 en prés, et 15 à 40 en vignes, 591 en bois. Moulin à grains , four à chaux... »

indiquant tous deux le caractère agricole et viticole de l'activité, bien que la vigne, comme les vergers, n’occupe et n’occupera jamais qu’une superficie restreinte, en raison de l’orientation de la vallée, du versant tourné vers le nord-est.

L'exploitation des archives municipales (registres des Actes) permet également de révéler un artisanat probablement solide vers 1846 avec ceux dont le travail principal est le tissage, les tisserands, sont bien représentés en 1846. On trouve aussi un sabotier, des cordonniers, un charron, un bourrelier qui fait, vend ou répare les harnachements des animaux de trait pour cette agriculture. Trois aubergistes tiennent table ouverte en ce milieu du XIXe siècle.

Au début du XXe siècle, dans les bois d'Uruffe et dans tout le massif de Meine, les charbonniers élaboraient le charbon de bois à l'aide de branchages, la charbonnette (bois au diamètre inférieur à 7 cm) qui servait l'industrie de l'époque (verrerie, boulangerie...).

Secteur primaire ou Agriculture[modifier | modifier le code]

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs. D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[28]), la commune d' Uruffe était majoritairement orientée [Note 4] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 5] d'environ 373 hectares (surface cultivable communale) stable depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 301 à 280 entre 1988 et 2010. Il y avait encore 2 (8 en 1988) exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 7 unités de travail[Note 6], (jusqu'à 8 auparavant) ce qui plaçait la commune parmi celles dont l'activité agricole s'était maintenue mais resserrée.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Maison seigneuriale : tour XVIe siècle.
  • Lavoir monumental, fontaine monumentale.
  • Ancienne batterie, ancien fort de Pagny-la-Blanche-Côte (398 m).

Édifice religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin XIXe siècle néo-gothique.

.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean d’Ourches seigneur d’Ourches, d’Uruffe, de Sorcy Saint-Martin et de Montbras[29].
  • Benoît Cachedenier de Vassimon,(1701-1776), Maître des Comptes du Barrois[30].
  • Antoine Benoît Cachedenier de Vassimon (1730-1798 ?) seigneur de Brin-sur-Seille et d’Uruffe, fils aîné de Benoît, conseiller depuis 1753 à la Cour souveraine de Lorraine et du Barrois qui siégeait à Nancy.
  • Guy Desnoyers (1920-2010), curé du village de 1950 à 1956, qui assassina sa maîtresse et l'enfant qu'elle portait dont il était le géniteur.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  5. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  6. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Ruisseau l'aroffe [B20-0200] - Cours d'eau », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  2. « Fiche ma commune », sur SIGES (consulté le ).
  3. a b et c Henri Lepage, Le département de la Meurthe. Première partie : statistique historique et administrative , Nancy, Imprimerie PEIFFER, 1843, p. 582 (lire en ligne)
  4. a et b E. Grosse, Dictionnaire statistique du département de la Meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836) (ISBN 978-1-278-24895-0 et 1-278-24895-1, OCLC 936241814, lire en ligne), p. 525

    « Quant au spirituel, ce village (de GibeauMeix) était annexé à la paroisse d'Uruffe; il forme aujourd'hui une succursale dans le ressort de Colombey »

    .
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Uruffe et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie,impériale, 1862
  19. Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, A. Crépin-Leblond (Nancy), (OCLC 944818541, lire en ligne), p. 138.
  20. Lepage, Henri., Les communes de la Meurthe., (OCLC 163303783, lire en ligne).
  21. « Combustion spontanée : Uruffe s’interroge encore » (consulté le ).
  22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Grosse, E., Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique ..., Nabu Press, (ISBN 978-1-278-24895-0 et 1-278-24895-1, OCLC 936241814, lire en ligne), p. 138.
  28. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  29. Charles Aimond, Histoire de Bar-le-Duc, Bollaert, (lire en ligne).
  30. Ambroise (1703-1757) Auteur du texte Pelletier et Félix Auteur du texte Collin de Paradis, Nobiliaire de Lorraine et Barrois, ou Dictionnaire des familles anoblies et leurs alliances : d'après l'Armorial général de Dom Pelletier : par Félix Collin de Paradis, (lire en ligne).