Turbith (botanique)

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Le Turbith peut désigner plusieurs plantes[1] :

Étymologie[modifier | modifier le code]

D'après le TLFi le terme turbith a été emprunté à l'arabe turbid « turbith », et celui-ci à une langue de l'Inde, cf. par exemple hindi tarbud (d'apr. FEW t. 19, p. 190a, du sanskrit tripuṭa « triple; turbith (Convolvulus Turpethum) » ou trivṛitā « turbith (Ipomoea Turpethum) » (M. Monier-Williams, A Sanskrit English Dict.)[3].

Ce nom est également porté par un composé du mercure en raison de sa couleur jaune comme celle de la racine. On parle de « turbith minéral ».

Un jaune est appelé Jaune de turbith.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « ENCYCLOPÉDIE OU DICTIONNAIRE RAISONNÉ DES SCIENCES, DES ARTS ET DES MÉTIERS », sur portail.atilf.fr (consulté le )
  2. D'après Dorvault, dans l'ouvrage de Yannick Romieux, De la hune au mortier, Éditions ACL, Nantes, 1986.
  3. [1][2]